Le vas et viens,
des vagues.Ta main au creux de mes reins,
et tes futiles blagues.Un stupide bonheur,
prend place alors.Si différent de notre habituel malheur,
je souris encore et encore.Il n'y a plus de temps,
plus d'heures.L'espace d'un instant,
on a oublié nos rancœurs.Tu a sortis ton paquet,
de cigarettes.À n'en plus pouvoir, j'ai fumé,
sans que rien que tu dises ne m'arrête.Longuement,
tu m'as regardé.Puis doucement,
tu m'as embrassé.

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sunset
Poetryun soleil couchant, une plage, le cri des mouettes, le vent qui souffle, un amour en peine. ou bien, un souvenir. © mourire | automne 2016