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Dans tes bras,
je suis logée.

De la ville aux fracas,
nous sommes éloignés.

Le souffle de vent,
sur ta peau au teint de porcelaine.

Charme insignifiant pourtant,
me déshabillant de haine.

La lune,
aux couleurs blanchâtres.

Allongés sur les dunes,
à observer les astres.

Dis moi que dans ton coeur je ne suis qu'une,
dis le moi mon bellâtre.

Avec toi pas besoin de fortune,
j'oublie mon passé noirâtre.

A toi seul,
tu fais mon bonheur.

Et quand je serais recouverte d'un linceul,
quand il sera mon heure.

N'oublie jamais que tu auras était le seul,
à m'avoir fais oublié ce putain de malheur.

On fume,
on boit.

Je t'écrirais à la plume,
ô combien tu comptes pour moi.

sunsetOù les histoires vivent. Découvrez maintenant