Chapitre 10

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Il ne fallut pas longtemps aux chasseurs d'ombres pour repartir à la recherche d'un plan. Il faut dire qu'ils ne sont pas habitués à être motivé par une humaine aussi déterminée que Sarah. Pendant que tout le monde s'activaient à la tâche, je restais assise sur ma chaise. Je ne me sentais plus vraiment à ma place depuis la prise d'otage. Mais déjà bien avant cette histoire je ne savais pas où était ma place. Avec cette histoire, j'ai crut bêtement que ma place était peut-être celle d'être l'intermédiaire entre les terrestres et les chasseurs d'ombres. Je m'étais sentis tellement utile lors de cette conférence de presse. Jace interrompit le cour de mes pensées et me dit :

« Hé, tu m'écoutes, que penses-tu de l'attaquer par surprise avant qu'il puisse nous présenter comme des assassins sans scrupule ? »

« Même si nous utilisons une attaque direct contre lui, nous n'arriverions pas à le battre car il utilise forcément nos actions pour nous faire passer pour les méchants. Il faut penser stratégie plutôt que force physique. »

Mon argument parut le faire réfléchir.Mais il ne le laissa pas me reposer sur mes lauriers, il reprit de plus belle : « Alors qu'est-ce que tu nous conseillerais de faire ? »

Je ne savais pas trop quoi répondre,pour moi nous étions déjà fichu. J'avais beau chercher, je ne voyais pas ou ça pouvait nous mener. Quoi que nous choisissons de faire cela nous retomberaient dessus. Si nous restons impassible,nous allons nous faire massacrer et si nous décidons d'attaquer nous serons perçut comme hostile auprès de la population. Je regarda en direction de Jace, se dernier affichait un rictus. Je comprit qu'il  c'était moquer de moi. Si il avait autant insister c'était seulement pour m'inciter à m'investir autant que les autres, pour me donner confiance en moi. Et je dois dire que ça à marcher.

Pendant ce temps, Sarah trouva une idée qui pourrait nous aider dans cette nouvelle batailles. Elle nous rejoignis en salle de réunions et nous présenta son projet :

« J'ai pensais à quelques chose de potentiellement intéressant. Et si on les prenait de cour, en annonçant le décès de Sydney avant qu'ils n'aient pu le faire ? Ainsi on pourrait contrôlait la situation et reprendre l'avantage.Ils utilisent l'opinion du public pour nous livrer bataille.»

Les personnes qui assistaient à la réunion parurent réfléchir à ma proposition mais l'un d'eux me dit : « Que proposes-tu après cela. C'est bien beau d'avoir pensé à ça mais si il n'y a pas de suite alors ton plan perd de son intérêt. »

C'est alors que Jace prit la parole :

« Et si nous utilisions la conférence de presse pour les attirer vers ce que nous voulons ?Nous n'avons pas affaire à des amateurs mais à des anciens chasseur d'ombre bien formé. Nous savons comment ils pourraient réagir car c'est comme cela qu'ils ont été entraîné. »

L'assistance parut prendre en considération l'intervention de Jace dans leur réflexion car ils finirent par approuver notre plan.


Le lendemain, les journalistes se jetaient sur nous à notre arrivée à cette petite conférence de presse improvisée. L'élaboration du plan nous avait pris une bonne partie de la nuit. D'où nos tête de déterrer. La tension monte d'un cran. J'avais cette impression que la terre aller s'ouvrir sous mes pieds et allée m'engloutir. Je m'étais toute seule mis dans cette situation. Et aujourd'hui, j'en assumais les conséquences.

Une fois que nous étions tous installée, les questions des journalistes formés un brouhaha autour de moi. Je pris une inspiration et ....

Avant que je ne puisse dire quoi que se soit Jace réclama le silence à ma place. C'est alors que commença la première phase de notre plan :

« Bonjour à tous et à toute, je vous ai convoqué aujourd'hui pour vous parler d'une tragédies qui nous concernent tous.J'ai le regret de vous annoncée le décédée de Sydney, la journaliste qui était sous notre protection mais aussi et surtout mon amie. J'ai été témoin de se crime odieux et je vais également m'en remettre à la police pour trouver le véritable assassin. Je suis sur que certaine personne essayerons de nous mettre en cause, nous ne pouvons les blâmer pour cela. »

Sans attendre leur réaction, je me leva et partie en direction de la sortie. Nous avions contacter la police qui bien évidement m'attendait à l'entrée. Ils me lirent mes droit, me placèrent les mains dans le dos pour y mettre les menottes. Avant de monter dans la voiture, je me retourna vers Jace et lui dit « Je t'aime ».

La voiture partie et je regarda les bâtiments défilés devant moi. La première partie de notre plan était en marche.



ShadowsHunter: une nouvelle aireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant