Plus tard ce jour-là, Alex revint chez moi et nous allâmes se promener dans le village. Au loin, j'apperçu une chevelure familière.
...
C'était Lucas.
-Ok, Alex, c'est Lucas là-bas. Il ne peut pas me voir.
-Lexa... Vous devez régler ça! Vient, nous allons allé acheter un café comme si rien était.
Il me prit par le bras et nous allâmes vers le petit café. Lucas ne prit pas de temps pour me voir. Ses yeux étaient remplis de tristesse. Il semblait vraiment fatigué. Tout d'un coup, je me senti désormais très mal. J'avais le goût de pleurer. Je m'ennuyais de lui comme il ne pourrait jamais le savoir. Je l'aimais encore plus que jamais.
-Lexa..., dit Lucas.
-Lucas...
-Je vais allé chercher quelque chose à manger, tu veux quelque chose Lex? dit Alex.
-Un frappucino au fraise s'il-te plaît.
-Comme moi, je t'adore hahaha.
Alexandre me regarda avec un énorme de sourire. Le sourire de grand frère que je n'ai jamais eu.
-Alors, tu as un nouveau copain maintenant? dit Lucas.
-Non... C'est mon frère.
-Tu as un frère?
-C'est une longue histoire, et quand je dis longue, c'est parce que c'est vraiment long.
-Ah ok.
Je pris la chaise en face de lui et m'assis.
-Lucas... Je suis désolé de ne pas avoir répondu à tes appels... Je suis sûr que tu comprends... Si tu t'imaginais moi avec un autre gars, je ne pense pas que tu voudrais répondre à mes appels non plus.
-Je m'excuse tellement Lexa! Il partit à pleurer et nous fûmes récompenser avec quelques regards. Je ne voulais pas te blesser! Je t'aime tellement et je m'ennuie de toi! Oh mon dieu, quel con que je suis! J'haïs cette fille! J'étais vraiment saoul et je n'aurais jamais dû faire ça. Je m'excuse mille fois! Je t'aime Lexa!
-Je ne sais pas si je pourrais te pardonner... Mais une chose est que je t'aime beaucoup et je trouve ça vraiment dommage ce que tu as fait.
-Je comprends... Prend ton temps...
-Merci Lucas. Au revoir, je dois aller voir mon frère.
Je me leva, poussa ma chaise, et partit en direction de la porte pour rentrer à l'intérieur. Alex m'attendait sur une jolie petite table dans un coin près de la fenêtre.
-Salut ma jolie petite sœur.
-Hahaha, salut Alexou.
-Quel joli surnom que tu m'as baptisé!
-Je sais, dis-je fièrement.
-Alors, qu'est-ce qui s'est passé?
Je lui raconta tout de a à z.
Le lendemain
Je ne savais plus quoi faire. Je n'avais plus rien à dire à personne. Ma tête était vide or, mon coeur ne l'était pas. Mes sentiments envers Lucas étaient toujours là, mais je ne savais pas qu'est-ce que la bonne décision était.
Ce qui me tracassait le plus est que l'école recommençait dans une semaine et demie et il faudra que je le voie à tous les jours. La pire erreur que j'ai jamais fait c'était de fréquenter quelqu'un de mon école, surtout Lucas évidemment.Je passa le reste de mes journées de congé chez Alex avec Sherpa. J'avais aussi transférer ma jument chez lui alors je pouvais monter avec Alex et sa sœur. Je dormais souvent là-bas c'était pratiquement ma nouvelle maison. Ce qui me rassurait était qu'Alex venait étudier avec moi cette année à mon école.
Lucas m'appellait à tous les jours et je ne pourrais pas nier que j'adorais écouter les messages qu'il me laissait parce que je m'ennuyais tellement de sa voix. Je ne répondais jamais par exemple, mais même malgré ça, il n'abandonnait jamais. Je pleurais souvent quand j'écoutais ses messages et je sursautais tout le temps quand mon téléphone sonnait. Parfois, on se rejoignait à une table pour dîner seuls. Je m'ennuyais de lui donner des câlins, des bisous, qu'il m'achète des cadeaux, etc.
On ne réalise jamais à quel point qu'on aime une personne tant qu'on la perd. C'est mon cas. On réalise aussi à quel point c'est dur de se détacher de la personne quand nous la perdons. C'est difficile d'oublier quelqu'un qui est dans ton entourage à tous les jours. Surtout quelqu'un avec qui tu as partagé tellement de beaux moments... J'avais réalisé que je m'avais tellement attacher à Lucas qu'il était devenu une nécessité dans ma vie. Malheureusement, cette nécessité était devenu impossible pour moi d'avoir. Quelques fois, il m'envoyait un "bon matin" par texto, mais ce n'était pas les même "bon matin" que quand on sortait ensemble. Je ne suis plus capable de pleurer maintenant que j'ai vidé toutes les larmes de mon corps. Rien ne pourra me blessé autant que de m'avoir séparer de Lucas.
"Dinnngg" fit mon cellulaire.
Lucas: Salut. J'ai besoin de te parler. Est-ce qu'on peut se rencontrer quelque part?
Lexa: Um, bien sur.
Lucas: Vient chez moi.
Lexa: D'accord...
Merde. Lucas voulait que j'aille chez lui. Je vais y aller pour savoir ce qu'il voulait... J'étais trop curieuse. Alors, je me précipita vers la porte et marcha jusqu'à sa maison. Heureusement, il ne vivait pas tant loin. Je cogna à sa porte et il m'ouvrit.
-Salut, dis-je.
-Bonjour, rentre.
L'odeur de sa maison m'était si familière... J'étais aux anges dans son habitat. Tout était vraiment propre et bien rangé. Sa mère était une maniaque du ménage. Il me fit un chemin pour monter en haut... Vers sa chambre. Mes paumes étaient devenus moites et je sentis mon visage rougir. Je tremblais de partout et me sentais inconfortable. Pourtant, j'étais tellement habituer à venir ici avant... C'était comme ma deuxième maison. Dans sa chambre, je m'assis sur son lit. Son lit était encore pareil, tout comme sa grande chambre grise. Ça sentais comme lui dans sa chambre. Dès que je me suis assis sur son lit, un poids de moins s'avait enlevé de mes épaules.
-Alors, que voulais-tu me dire? lui demandais-je.
-Lex... Je m'ennuie de toi. Je m'ennuie de nous. J'aimerais pouvoir te caresser dans mes bras comme je pouvais le faire avant... J'ai besoin de toi! Ça fait 2 mois maintenant que nous sommes plus ensemble et je n'arrive juste pas à t'oublier! Sans toi ma vie n'est pas pareille! J'ai réalisé que j'ai vraiment besoin de toi. C'est grâce à toi que je souris à tous les jours. Maintenant, je ne souris juste plus du tout depuis que nous ne sommes plus ensemble... Je m'ennuie Lexa. Je m'ennuie tellement...
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Un enfer sans toi
Teen FictionDepuis que je suis petite, j'ai peur d'aller au secondaire. J'avais peur que les grands allaient me juger, mais personne ne m'a jamais dit que l'amour du secondaire allait faire encore plus peur? Je me suis fait intimider par l'amour, pas par les gr...