Un enfer sans toi

Prendre sa vie en mains

Quelques années plus tard

J'étais heureuse enfin. J'avais un Husky appelé Bellay avec des yeux glaçants. J'avais étudié en communication et journalisme et ne pu être plus heureuse quand j'avais trouvé un travail. J'étais journaliste pour des compétitions et galas équestre. J'avais poursuit mon rêve d'avoir des chevaux, puis ils s'appellaient Junon et Gaelia. Je ne voyais pas tant de gens la fin de semaine ou après le travail. En fait, je ne voyais personne à part mes collègues. Je préférais rester avec mes animaux et durant mes temps libres, je me pratiquais à cheval.

Alors, parfois, mon patron me laissait aller en compétition avec Junon & Gaelia, mais seulement en échange que je fasse des articles sur ce qui s'était passé en compétition. Cela me convenait à merveille.

J'avais toujours rêver de rentrer dans l'aréna seule sur mon cheval et que l'annonceur m'appelle au micro, nomme mon numéro, puis le nom de mon cheval. Que tout le monde me regarde galoper émerveillés. J'étais enfin connu à travers le pays, dans le monde des chevaux, pour reineuse professionnelle et journaliste exceptionnelle.

J'amenais toujours mes deux chevaux en compétition avec moi pour deux fois plus de chances de me classer. Puis Bellay, mon chien, nous accompagnaient aussi. J'étais tellement fière de mes amours parce que sans elles, je n'aurais jamais pu me rendre aussi loin. Elles donnaient toujours leur 100% à chaque compétition et je leur étais amplement reconnaissante.

Par ailleurs, la vie de couple n'étais pas pour moi. Depuis le secondaire, je n'avais pas eu de copain et cela me convenait. J'avais plus de temps pour me concentrer sur mon travail et mes chevaux.

Puis, un jour, je me promenais sur le trottoir et je reconnus une voix masculine familière. En me retournant, j'ai vu Lucas. Ses yeux perçants croisèrent mon regard surpris. Il avait évolué et était encore plus beau que je me souvenais. Le jeune homme s'approcha vers moi et me fit la bise sur les deux joues.

-Wow, tu es magnifique! me dit-il.

-Toi de même!

Sa voix avait maturer, mais était encore aussi douce que le miel. Ses muscles étaient bien plus définis qu'avant et étaient très visible à travers sa chemise moulante. Il n'était plus le même Lucas du secondaire qui couchait avec toutes les filles.

-Alors que fais tu ces temps-ci? me demanda t-il.

-Je suis journaliste pour des compétitions et des galas équestres, aussi non j'ai deux chevaux et je compétitionne beaucoup avec eux, toi?

-Et bien je suis vétérinaire, alors n'hésite pas de me passer un coup de fil si jamais tu cherches quelqu'un pour tes chevaux!

-Merci, c'est gentil!

-À la place de placoter dans le milieu du trottoir, voudrais-tu aller t'asseoir quelque part? me demanda t-il poliment.

Je pris sa main en guise d'acquisition et il me serra celle-ci encore plus fort. Nous sommes allés dans un petit café non-loin de notre point de rencontre. Il a commandé un chocolat chaud et moi un café au Mocha Blanc.

-Donc es-tu en couple Lucas?

-Non, je vie la vie du célibat et toi?

-Pas depuis le secondaire.

Il regarda son cellulaire et ses yeux remontèrent en ma direction. Il me tendit un papier et dit:

-Voici mon numéro, si jamais tu veux me contacter, car j'ai un patient qui m'attend et je dois y aller.

-Vient chez moi, demain à 6 heures et nous en discuterons davantage sur nos vies ennuyantes! lui répondais-je.

Il me fit une fois de plus la bise et me salua. Je l'observa sortir du café et marché vers, ce que je présume, était son auto. Je resta encore un long moment assis à la même place en essayant d'analyser ce qui venait de se produire. Mon ancien copain du secondaire venait chez moi demain, dans MA maison. La vie était étrange parfois.

6 heures le lendemain

Quelqu'un sonna à la porte et je savais très bien qui c'était. J'avais opter pour ma robe noir serrée. J'ouvris la porte et un magnifique jeune homme se tenait devant moi à en couper le souffle. Une fois de plus, il portait une chemise moulante ce qui me procurait tant de désir en vers lui. Il avait un bouquet de fleurs entre les mains accompagné d'une bouteille de vin.

-Tu es tellement jolie Lexa...!

-Je pourrais dire la même affaire sur toi! Rentre!, lui répliquais-je avec un sourire.

-Tu as une merveilleuse maison, me dit-il.

Je lui souris en guise de remerciement. Nous sommes allés nous installer à table et nous avons débuté notre repas. Nous avons discuter pendant plusieurs temps et je voyais qu'il avait maturer. Il n'était plus pareil et j'appréciais mille fois mieux le nouveau Lucas.

Vers la fin de la soirée, nous sommes allés faire un tour dans l'écurie et je lui ai présenter mes chevaux. Bien sur, Bellay nous avait suivi partout. Il était mon ange gardien et n'aimait pas ça que les gens m'approche.

J'ai même fais une démonstration de travail au sol en liberté avec mes deux chevaux pour Lucas. Il semblait vraiment intéresser et cela me rassurait. Je me sentais tellement bien quand Junon & Gaelia m'écoutait au sol. Ça faisait ma journée!

Après ça, nous sommes retournés en dedans, car nous étions fatigués. Je ne voulais pas qu'il part et ça se voyait qu'il ne voulait pas partir non plus. Je lui proposa donc d'aller regarder un film dans ma chambre. J'ai allumé ma télévision et ouvert mon Netflix, puis j'ai dis à Lucas de choisir un film pendant que je prenais une douche.

Quand je suis sorti, il avait choisi un film et le commença aussitôt qu'on soit comfortables. Je lui avais prêter des vieux vêtements à mon frère Alex que j'avais volé chez lui. L'odeur à Lucas était toujours le même et je ne pourrais jamais me tanner de celui-ci. J'adorais être aussi proche de lui. C'était réconfortant d'être dans les bras de l'homme que j'avais tant aimé auparavant.

En fait, je n'avais jamais arrêter de l'aimer.