Chapitre 5

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Je suis prête pour aller à ma première fête. Pour se genre d'événements je pense qu'un jean et un top classique suffisent amplement pour passer inaperçu. Quant-à Anderson il est loin d'être prêt. Pour un garçon c'est pas normal de prendre autant de temps pour se préparer.
Voilà déjà une heure qui vient de passer et monsieur n'est toujours pas prêt. S'il continue je vais partir toute seule. " T'aimerais bien hein mais dommage pour toi tu sais pas où c'est" ferme là stupide conscience. "Non moi c'est ta voix intérieure pas ta conscience mais t'inquiète on confond souvent". O....k.
Après l'avoir appelé au moins cent fois Andsou se décide enfin à faire son apparition. Je dois avouer que tout se temps passer à se préparer aura bien servi à quel chose. Il porte un jean destroy noir pas trop déchiré et un tee-shirt bleu comme le mien sauf que pour lui est plus long il lui arrive aux hanches et les manches sont repliées et ces cheveux sont légèrement redresser sur sa tête avec une mèche, non plusieurs mèches (parce ce que une seule mèche c'est pas rationnelle) qui retombent légèrement sur son front et ont une certaine façon à elles de faire ressortir ces yeux bleu- vert magnifiques. Je l'avais déjà remarqué avant mais Andsou est vraiment beau. Quand les gens vont nous voir tout les deux sortir de sa belle BMW ils vont sûrement ce dire que je suis là pour nettoyer après la fête.

- T'aurais pu au moins te maquiller. Dit-il me sortant ainsi de mes pensées. Non seulement tu seras plus canon mais en plus tu auras plus de chance de pecho un gars se soir. Il continue un sourire narquois au visage.

- Donc c'est pour ça que vous allez à des fêtes vous? Pour "pecho" ? Sérieux.? Je ne suis pas une pro des fêtes mais quand même.
Sérieux si c'est pour aller embrasser des gens, voir même de parfait inconnu, je préfère rester ici à réviser pour le contrôle d'après demain. Et d'ailleurs qui fait une fête en semaine. "Un mardi en plus" me rappelle ma...voix intérieure?

- Oui...quelques un mais c'est pas mon truc de pecho, ou plus ( il me fait un clin d'oeil ) des meufs déchirées. Je préfère qu'elles soit conscientes comme ça elles diront pas que j'ai abusé d'elles. Je suis pas un Conrad quand même.

Il a une morale incroyable. Mais le fait qu'embrasser des filles qu'il ne connaît même pas ne le dérange pas plus que ça me gêne un peu. Puis d'un ton narquois et une voix plus rauque il ajoute:

- Même si je préférerais largement rouler une pelle à une fille brune qui ne bois pas au point de se saouler et qui préférerais bosser plutôt tôt que d'aller s'éclater à une super teuf.

Je lève les yeux au ciel en poussant un grognement râleur. J'ai l'habitude avec Anderson il me taquinbe toujours comme ça. Je marche juste derrière Andsou quand je trébuche sur un des jouet de Dju et c'est seulement à ce moment que je me rends compte qu'elle n'est pas là. Puis je demande intriguée à Andsou:

- Ou est ma chienne.

Je rougis légèrement en pensant au côté obscène de ma phrase puis je me rectifie en espérant qu'Anderson n'ai pas pensé comme moi.

- Mon berger allemand.

Il sourit et ajoute.

- Ta peur de dire chienne ou quoi. Ta chienne est partit avec ton frère chez un ami à lui.

- Ah ok. Dis-je avant de sortir avec lui.

Une fois dans sa voiture Anderson et moi nous nous remémorons nos souvenirs d'enfance, puis il me parle de son ex ( je savais même pas qu'il avait une copine...on a vraiment du temps à rattraper tout les deux) qui était une vrai pétasse. Et moi évidemment je lui parle de se qui c'est passé avec se crétin de Stefan cet enfoiré/fils de merde et bien entendu ma dispute avec Océane et de se snobe de Benson sans dire son nom une seule fois. Au lieu de ça je dis "le snobe du centre commercial".
Nous parlons tellement que Anderson failli presque dépassé l'endroit ou à lieu la fête.
Je ne peu m'empêcher de pousser un petit waw en voyant l'immense maison...non manoir dressé devant nous. Anderson n'a pas l'air très impressionné. Évidemment quand on vie dans une maison comme la sienne je vois pas se qu'il pourrait envier aux autres. Celui qui organise cette fête doit vraiment être un gosse de riche lui aussi.
Andsou et moi avançons et entrons dans l'imposante maison. L'extérieur comme l'intérieur est bourré de monde. Il n'y à pas une seule fille ici qui soit vraiment habillée. Elles on toutes soit un décolleté omniprésent, soit des jupes ou robes microscopiques quasiment inexistantes, des talons de plus de 10 centimètres et des maquillages des plus extravagants et provocateur. Elles même sont provocantes.
Comme je m'en doutais les gens nous regardent bizarrement Andsou et moi. Et le fait qu'Andsou me tienne la main n'arrange pas les chose mais se geste me rassure et apaise la tentation qui pèse sur moi en se moment. Nous marchons toujours je ne sais pas ou on va mais Anderson lui sait très bien. Nous arrivons dans le jardin magnifique bondé de monde et dominé par une grande piscine avec une forme géométrique non identifiée. La piscine est remplie de gens qui se roulent des pelles et de filles sans aucun vêtements et quand je dis aucun croyez moi aucun. Puis je vois Andsou faire signe à une personne au bar. Oui oui un bar dans une putain de maison. Et nous nous dirigeons ensuite vers elle.
Andsou ne m'a toujours pas lâché la main quand nous arrivons au bar. Et là il y à un garçon d'à peu près notre âge enfin l'âge d'Andsou (mais je suis pas si jeune que ça le mois prochain j'aurais 17 ans.) plutôt pas mal il a une barbe de 4 jours à peu près. Il blond lui aussi.

Le garçon idéal.(Ou Presque)[en pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant