Capitolo Uno

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 Hey ! Avant de commencer je voudrais d'abord vous remercier de jeter un coup d'œil (ou plus si affinités ;) à mon histoire. J'adore écrire mais j'aime encore plus partager mes écrits, ça me tient vraiment à cœur car grâce à vous je pourrais m'améliorer et peut-être un jour publier mon propre bouquin !  Alors surtout n'hésitez pas à développer votre sens critique avec moi. x) 

Ah oui... Il faut aussi que je vous prévienne que mon histoire contient des passages à caractère sexuel pouvant choqué les plus jeunes.  Et pour ceux qui sont assez grand et que ça ne choque pas ( bande de coquins ) je ne peux vous souhaiter qu'une bonne lecture ! :) 

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" Quel temps de merde ... "

Ça faisait déjà plusieurs heures qu'on roulait, j'eu le temps de réécouter la playlist de mon Iphone 3 fois fois alors qu'elle comptait une bonne centaines de chansons. Par la vitre je voyais défiler, entre les goûtes de pluie qui dégoulinaient sur le verre, les paysages de la Californie tellement différents de ceux de Paris.

Quand j'aperçus enfin cette fameuse maison un grand sentiment de soulagement m'envahit. A première vue elle avait l'air plutôt grande. Un chemin de dalles traversait le petit jardin avant qui l'éloignait du trottoir. Un style très américain. De plus, elle embrassait le commencement de la plage.

Sophie- On est arrivé.

Je regardai ma tante et lui adressai un petit sourire. Elle sortit la première de la voiture puis courra s'abriter sous le porche. Je soupirai et lui emboîtai le pas. L'intérieure de la maison était spacieux. Une grande cuisine américaine de base, un salon avec omniprésence de blanc, un immense tapis crème à l'entrée.

La première chose que ma mère fit quand elle me vit fut de me m'étouffée dans ses bras. Ça ne faisait qu'une semaine que l'on ne s'était pas vu, ma mère et ses débordements d'affections.

Jennyfer- Ça va mon cœur ?

- Ça va maman.

J - Le voyage n'a pas été trop fatigant ?

- Un peu quand même, mais ça va.

J - Monte voir ta chambre, j'ai juste placer tes meubles. Tu déballeras tes cartons quand tu voudras.

Je hochai la tête et obéis. La pièce était lumineuse, un parquet d'un bois clair recouvrait le sol et des murs amande encadraient la pièce. Je décidai finalement de ne pas attendre pour déballer mes cartons et y passai l'après-midi. Quand j'accrochai mon dernier dessin sur le mur la pièce me paru presque familière. Depuis mon arrivée la pluie n'avait pas cessé de tomber. De ma terrasse je pouvais observer une bonne partie de la plage qui se trouvait juste en bas,mais étant trempée à cause de l'orage je me contentait de regarder par la baie vitrée.

On ne distinguait même pas l'horizon, le ciel se confondait avec la mer. Je fus étonnée de voir une personne assise sur le sable mouillé, à la merci des rafales de pluies. C'était un jeune homme d'une vingtaine d'années plutôt grand. Je ne pu m'empêcher de me demander ce qu'il faisait là tout seul à fixer l'horizon où même à quoi il pensait. Il avait peut être perdu son chien avec lequel il avait grandi. Un gros dog allemand recouvert de poils blanc immaculé avec des petit yeux noir pétrole. Ou peut être sa petite amie, l'amour de sa vie pour lui, amourette de lycée pour elle. Elle l'a peut être trompé avec son meilleure ami,quelle trahison... En même temps , la plus belle blonde du coin, normal qu'elle soit convoitée. Des formes généreuse, des cheveux long et soyeux et... Non, une brune... il préférait peut être les brunes.

Love and other drugs.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant