Brioche grillée [BriPhano] [Léof]

Chapitre 13 : Arrestation.

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Yo mes pandas =) La musique est à écouter lors des moments tristes pour être dans l'ambiance de ce chapitre.

Bon. Je ne parle pas plus. Je vous laisse avec ce chapitre 13 :p

Bisou mes pandas <3 

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PDV de Frigiel

Putain Brioche ! Tu es trop con ! Pourquoi tu as fait ça... Pour Julien tu dis... Je te comprend de plus en plus. Je l'appela donc une 10ène de fois et il fini enfin part répondre.

Allo Siphano ?

Pourquoi tu m'appelles à cette heure là ?

C'est Grégoire !

Je veux plus entendre parler de lui !

Attend s'il te plait...

Quoi et... pourquoi tu es en pleure ?

Bah c'est Bri... Il... Il est à l'hôpital.

QUOI ?! Pourquoi... Comment ?!

Bah j'étais sur un passage piéton et un camion m'es foncer dessus. J'ai pus voir rapidement que c'était Blondie qui le conduisais. Alors, pour me sauver, Brioche ma pousser de l'autre coté du trottoir mais malheureusement, il ces fais renversé. Il ma dit aussi que si il ma sauvé, c'était pour toi.

Pour... Pour moi ? C'est pour moi qu'il a fait ça ? C'est pour moi qu'il t'as sauvé ?..

Oui, pour toi. A croire qu'il voulais se suicider juste pour toi, l'homme qu'il aimais tellement.

Et les autres, ils sont au courant ?

Oui, je l'ai est appeler. Ils nous attendent tous là haut.

D'accord ! J'arrive alors.

Je me dirige vers l'hôpital où ce trouve mes amis.Quand je rentre, mes amis étais là, sur un banc, en pleure. Je les rejoignis et nous attendons pendant très longtemps. La porte d'entrer s'ouvre et j'aperçois Julien. Je le fis signe et nous rejoins.

PDV de Siphano

J'arrive à l'hôpital et vis Fri' qui me fait signe. Je le rejoins avec les autres. Nous attendons au moins 20 minutes avant que la porte de sa chambre ne s'ouvre. Il étais placé dans la chambre N°56. La porte s'ouvre et tout le monde rentra. Je rentre en fermant les yeux pour ne pas le voir allonger, sans vie. J'ouvre doucement les yeux et le vis sur son lit brancher de partout. Je sentis alors des larmes couler le long de mes joues. Je m'approcha de lui en sanglotant. Il étais recouvert de bandage. Des infirmiers arrivent et changent ses bandages couvert de sang. Je vis alors ses blessures qui étais très profondes. Il avait des tas et des tas de cicatrices sur lui. L'appareil qui étais brancher sur lui fis que des lignes droite à croire qu'il étais... MORT ?! Non... Ne pense pas à ça Julien ! Brioche ne mourra pas ! Enfin... je crois. Nous quittons alors l'hôpital tous en pleure. Et si il étais dans le coma... Ou encore pire... Bon je vais arrêter de penser à ça. Je m'en veux tellement de l'avoir rejeter comme ça hier. C'est à cause de moi si il est dans cette état là... Attend... C'est aussi de la faute de cette folle ! Blondie ! C'est elle qui conduisais ce camion de malheur. C'est elle qui l'as renverser ! Je vais me venger pour ce qu'elle a fait à Alexandre et surtout à ma Brioche ! Tous rentra à la maison de vacances encore traumatisé. Tout les autres sont partit jouer mais Fri et moi, nous allumons la télé et nous tombons sur une chaine info. Avant de changer de chaine, un avis de recherche s'afficha. Nous regardons qui cela peux bien être et vis alors Blondie. Elle étais rechercher pour meurtre. Ont se fixa et nous étions mort de rire. Blondie étais rechercher pour meurtre ?! Putain mais qui aurais cru ça ? Frigiel et moi prenons une arme. Je pris juste un revolver quant à Frigiel, il pris la kalash  que lui avait offert Bboy quand ont étais à l'armée. Nous prenons des tenues de militaire et nos badge de l'armée. Et oui, ont à fait l'armée avec notre ami Bboy. Il étais notre commandant et il avait alors à cette époque 22ans. Moi, j'avais alors que 15ans et Fri 13ans. Avant de sortir. J'appelle alors Blondie en numéro masqué. Je pris un modificateur de voix  pour pas quelle me reconnaisse. Je vais me faire passer pour Arm'.

Allo Clémence ?

Salut Arm' ! Ça va ?

Oui et toi ?

Ouai. Alors Arm', pourquoi m'appelles-tu ?

J'aimerais te parler d'un truc. Tu me rejoins dans la forêt ok ?

Ok mais pourquoi dans la forêt ?

Bah comme ça on s'arrange pour savoir quand on va tuer Siphano sans que personne entend.

Bonne idée ! Je te rejoins dans 10 minutes ok ?

D'accord ! A toute suite.

Bisou.

Blondie raccrocha alors. Nous pouvons enfin rigoler de nos connerie. Nous quittons la maison nos arme à la main. Les gens nous regardent bizarrement mais ont s'en foutais un peu. Nous nous dirigeons vers la forêt et nous voyons Blondie attendre contre un arbre. Nous le contournons pour être derrière Blondie. Nous nous trouvons alors derrière l'arbre où elle se trouvais. Je la plaqua au sol et Frigiel place alors le bout de son arme sur le crâne de Clém.

C'est vous qui a appeler ?! Demanda-t'elle.

Et ouai salope c'est nous qui t'avons appeler. Tu vas faire quoi maintenant ? Tu es à terre sans aucune défense. Frigiel, menotte la.

Tu es sérieux connard ? Dis-t'elle énervé.

Et ouai ma pute. Tu vas passer le reste de ta vie en prison.

C'est bon Julien, je l'ai attacher.

Va l'amener dans la cabane au fond en attendant que j'appelle les flics.

Ok. Aller vien là ma pétasse. Ont va faire un tour dans la cabane.

Lâche moi fils de pute !

Ta gueule la chienne !

J'appelle alors la police. Je leurs décrit alors toute la scène. 15 minutes plus tard, la police est là. Ils embarquent alors Blondie dans leur véhicule. Elle nous fit un regard noir avant de rentrer dans la voiture de flic. Nous quittons alors la forêt et nous repartons chez nous. Cette arrestation avait étais diffuser à la télé. Sur le chemin, tout le monde nous applaudis en signe de reconnaissance. Nous rentrons à la maison et tout nos potes nous acclamais ce qui nous fit rougir. Je dirige mon regard sur la table de la salle à manger et vis un apéro préparer pour nous féliciter. Nous posons nos armes et nous nous installons sur une chaise. Nous fêtons sa dignement. L'emprisonnement de Blondie me fais très plaisir. Mais se qui me ferais encore plus plaisir, c'est que Brioche sois parmi nous, pour fêter ça. Il me manque terriblement. Je veux qu'il sois là, à mes cotés, m'embrassant dignement comme dans toutes les séries romantiques.

Brioche, tu me manque trop. Mes nuit seront très longue sans ta compagnie. Je n'aurais plus tes baisers qui me faisais tant plaisir. Je n'aurais plus tes câlins qui me réconciliais quand j'allais mal... Je n'aurais plus ton cœur pour que puisse l'ouvrir. Je n'aurais plus rien de cela... Je n'aurais plus rien de toi. Je suis loin de tes yeux, loin de ton cœur. Mon proverbe est bien menteur car malgré la distance, ça sera toujours à toi que je pense. Je n'aurais plus rien de cela.