Ma vie de gay

4- Le bonheur dès le premier amour

Nous étions officiellement ensemble, du moins officiellement pour nous. Les autres ne sont toujours pas au courant, d'ailleurs aux yeux de tout le monde nous sommes devenu, pour diverses raisons, les meilleurs ennemis du collège. Cette situation nous va bien car elle permet de caché plus facilement notre relation. Grâce à cet amour que j'ai pour lui j'arrive enfin à avoir plus confiance en moi, j'apprends à m'ouvrir aux autres, à rigolé a leurs conneries même si je ne partage pas forcement les mêmes délires qu'eux, j'en ai d'ailleurs réussit à me faire des amis! Pour ces amis là, afin d'évité les questions du genre "elle t'as demander de sortir avec, pourquoi tu as dit non?" j'étaie en couple avec une fille, qui n'était pas de ce collège et qui s'appeler Nathalie (ou Nat, ce diminutif aura son importance dans la suite de l'histoire). Matthieu lui traîné toujours avec les mêmes mecs qu'avant, et lui officiellement sortait avec une Ophélie. On avais donc chacun nos amis, mais on se retrouvé toujours la plus part des soirs de la semaine derrière la salle des fêtes et les samedi dans les bals. Il nous arrivé parfois même de pouvoir discrètement se parlé dans les bals, où, même une fois, en regardant du coté de la sono et du DJ, il m'avais dit "j'aimerai faire ça, j'adorerai animé les bals". Pendant nos petites soirées dans notre coin secret également nous prenions le temps de se connaître de plus en plus d'ailleurs j'ai appris, au cours d'une de nos conversations qui durée des heures, qu'il était malheureusement atteint de la mucoviscidose. Cette relation, en plus d'être belle, duré dans le temps. Nous avons passé la 6ème, la 5ème, la 4ème... plus les années passé, plus notre amour était grandissant. Nous continuions toujours a nous voir de manière caché et je me disais qu'il n'avais pas tors dans se message de m'avoir dit "pour vivre heureux vivons caché" car c'était bien cela qui nous Un lundi d'hiver, après un week-end sans bal (les bals se font plus rare en hiver), en retournant en cours, j'ai pu constaté que Matthieu n'était pas la ce matin. Quelques minutes après que nous soyons rentré en cours, le directeur est rentré dans la salle, l'air un peu bizarre, nous nous sommes tous levé pour l'accueillir, il nous as demander de nous asseoir et à nous à dit des mots qui résonnent encore même aujourd'hui dans ma tête.