Inattendu

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Chaque jours nous somme tourmentée, chaque être humain a ses limites, nous avons chacun un moyen de nous détendre quand nous somme stresser et en l'occurrence la mienne c'est les long balade en prairie . Une balade, une promenade de simple mots qui en valent gros. C'est le seule moyen que j'ai trouver pour me détendre a chaque fois que la pression est trop forte ou bien quand je suis sur les nerfs comme a cette instant.
Je pense que vous vous doutez que mon géniteur y encore pour quelque chose. Lui et sont obsession pour me trouver la femme de vie ce qui n'arrivera que dans ces rêves les plus fou. Qu'elle malheur je vie, j'aimerais n'être qu'un simple citoyens inconnu du monde tout serait tellement plus simple. Mon père m'a clairement dit que si je ne trouvais pas enfin la femme qui finirait ces jours à mes côtés c'est lui même qui le fera sans que je n'es un mots a dire. Qu'il était déjà gentil de me laisser faire un choix, de pouvoir choisir ma femme, alors que lui n'a pas eu le choix. Je pense que ma mère aurait été ravis d'entendre ça, elle qui lui apporte tellement, qui a tout fait pour lui parce qu'elle l'aime de tout son amour propre. Sur l'instant je lui aurait bien mis mon poing dans sa tête. Comment peut-il dire ça ! J'ai toujours sue qu'il ne l'aimait pas beaucoup, rien que à voir comment il lui parle, mais la j'en suis certain, de toute façon il ne l'a jamais mérité elle est trop bonne et pure, face à lui-même. Comment veut-il que je lui dise "Père j'aime les hommes, vous savez ce avec lesquels nous somme sensé n'être que des amis et bien je suis l'exception à la règle." J'en suis certain, le connaissant, il me ferait suivre et tuerait mon bien aimé, mais malheureusement pour lui je n'en est pas.

Assez parler du passer, parlons présent.

En cette journée le temps est plutôt ensoleillée si on se remémore les jours précédent qui étaient aussi mauvais qu'une pluie battante.

Roméo mon étalon ma l'aire très en forme, il ne fait que remué, je décide donc de le détendre en le faisant galopé. Mais bien vite la situation se met a dégénère et je n'es plus aucun contrôle sur ma monture, elle traverse le chemin à vive allure, je ne vois même plus les arbres défilée. Un tronc d'arbre barre le chemin un peux plus loin, je sais d'avance que je vais chuter avant même que la situation ne se présente. Le moment prédis  nous sautons se tronc d'arbre, je ne tombe pas mais à la réception mon cheval donne un coup de fesse si je puisse le dire dans les aire qui me surprend, la tète la première  direction la terre ferme. J'ai à peine le temps de réalisé ce qu'il m'arrive  que je vois mon cheval repartir en direction du palet.

Je me relève soufflent de soulagement en ne détectant aucune blessure sur moi. L'agacement fus bien plus présent. Me voilà à pied, l'envie de rentrée au palet n'es plus la.
Le vent frais apaise mon esprit au dépit de cette chaleur qui pèse lourd.

j'avance de quelque pas ou je  m'arrête près d'un arbre au bord d'un lac, mon ventre commence a crié famine. La nature est donc de mon coter l'arbre en question est un jolie pommier. Je cueillie donc une pomme bien rouge ou j'y dépose mes dents pour la déguster,.

Un légée  bruit répétitif faire irruption dans mes oreilles quelque chose de doux  qui bourdonnant, sûrement quelque petit abeilles butinant dans les arbres plus loin.

Soudain un pincement m'interpelle puis d'autre répétitif  je réalise que je me fais piquer par des dizaine d'abeille a la fois, la sensation est insupportable les piqûres brûle ma peau et mon sang bouillonne, la douleur monte lentement jusqu'à ma tète , je commence à gesticuler dans tout les sens la panique  coule dans mes veines, un puissant cris sort de mon être le seul. je ne fait que bouger sur moi-même. Je ferme les yeux. Je sais alors que l'évanouissement est proche

Soudain avant que je me laisse tomber dans le pays des songes, ont me fait  pousse a reculer brusquement, je tombe dans l'eau froide du lac. Je peux nager seul, la personne semble l'avoir compris elle me prend par la taille avec difficultés et me remonte à la surface. Je ne bouge pas comme paralyser, sous le choque, mon cœur pompe dans mon corps comme la premier ou je suis née. Malgré mon état médiocre j'essaye de d'apercevoir mais mes cheveux son trop long me bouche la vue et comme mes bras ne fonctionne plus des masse je ne peux rien faire pour raccommoder tout ça.

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 03, 2018 ⏰

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