Just A Fantasy ?

CHAPITRE I

En l'an 2006, j'avais alors 16 ans, je peux me rappelez que brièvement de cette année. Car cette année là, tout ma vie avait basculé. Du jour au lendemain ma maison fut bruler, ma famille fut assassinée, mais je ne sais malheureusement pas par qui. Pourquoi ? car nous étions différent.
De ce que je sais, ma sœur cadette n'est pas morte ce jour là...Elle aurait été enlevée par l'assassin lui même de ce qu'on m'a raconté, mais d'un autre côté, celui de la police. Elle aurait  aussi été tuée par ces "cinglés" car tout le reste de ma famille fut retrouvée morte au même endroit... lors d'une réunion de famille le 13 juin 2006. Le jours où ma maison fut réduite en cendre, le seul qui était censé être là ce soir là, c'était moi. Mais, par "chance ?" je n'y était pas...dois-je appeler ça une "chance" ?

je ne pense pas...

depuis maintenant 10 ans je ne fais que fuir. Courir et tuer mes traqueurs est devenu mon quotidien, pourrais-je m'arrêter un jour ? Oui ? Non ? Jamais ? je ne sais pas... Les gens savent ma différence extraordinaire alors ils me pourchasse pour en avoir un peu. Mais, je ne peux pas leur en donner.  Cela fait partie de moi, je ne l'ai pas acquis. Pourquoi veulent t'il alors l'avoir ? Les être humain sont si avare...c'est l'une des leçons que j'ai appris durant ces dix années de fuite. Si je ne l'avait pas révélé...jamais je n'aurais eu à fuir ma ville...

Oui, c'est moi même qui l'ai révélé. Oui, je suis comme on peux dire, con. Enfin, je dirais plutôt naïf.  Car, à l'époque, je faisais confiance à tout le monde, surtout à mes meilleurs amis et à ma petite amie...
Le jours où ma "différence" c'est révélée j'étais tellement heureux d'être comme toute ma famille que j'en ai parlé à ma petite amie et mes amis. Mais, ils ont prit peur... et m'ont délaisser... puis c'est de là d'où vient tout ce qui est arrivé ce jours là et mes traques de maintenant. Ces "amis" sont maintenant devenu mes traqueurs. Pour eux, un être tel que moi et ma famille ne doit pas exister. Lorsque je leur est dit pour mes parents, ( car oui, au moment où c'est dérouler l'assassina et cet tentative de meurtre pour me tuer. Je n'avais pas encore conscience que tout cela était dû à ma naïveté et à ces personnes que je croyais être mes amis.) et bien, ils m'ont regardés d'un air de méprit et mon dit " Bien fait pour toi. Sale MONSTRE".  À ce moment précis j'ai sus qu'ils m'avait abandonné et rejeté. En dix ans, j'ai sus fermer mon cœur, mettre fin à tout sentiment débile qui m'ont presque emmener au porte de la mort.

J'ai mis fin à ces émotions au point où je ne peux même plus me souvenir de ce que ça fait d'aimer, d'haïr, d'être triste, de ressentir de la joie, de la peine et bien autres... Ces choses, sont maintenant inconnu pour moi... pourrais-je un jours ressentir toutes ces choses à nouveau ? je me le demande..

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Me voilà arrivé dans une nouvelle ville, devrais-je fuir comme à chaque fois ? Où alors...aurais-je la chance de pouvoir y rester... Je vis alors une pancarte qui indiqua alors la ville. Ce nouvel endroit ce nomme Séoul. Je suis bien mal tomber...Séoul...la capital...jamais je ne pourrais y rester plus de 2 jours cela est sûr à 100%... de toute façon au point où j'en suis ... autant y aller je verrais bien. Pensais-je.

Oui, en dix ans j'ai eu le temps de me cacher partout sauf à Séoul...car tout simplement j'en avais peur...du coup je passais de maisons en maisons, de ville en ville tout en évitant Séoul. Mais cette fuite me lasse peu à peu. Séoul, c'est une grande ville, je pense pouvoir y trouver refuge...du moins je l'espère.

Il est minuit, je viens d'arriver dans un hôtel. Encore personnes ne m'a pourchasser depuis que je suis arrivé. J'espère que cela sera pareil le jour d'après... j'allais donc vers la salle de bain histoire de me laver un bon coup. je retire mes vêtement puis me pose devant le miroir pour me regarder. Mes yeux était à présent de couleur doré, mes ailles étaient maintenant déployé dans toute le pièces, deux ailles noirs cendre. Les marques dû à mes "origines" apparaisses petit à petit. Mon corps est maintenant recouvert des symbole familiale. Ce sont les seuls souvenir de ma famille qui me reste...