Forget Happiness (Tome 5 d'Each Turn)

Chapitre 2

Niall Horan

-Je suis tellement désolée... Mais je peux pas faire l'amour ici..

-T'excuse pas bébé, je rigole et embrasse son front. Je suis pas venu pour te faire l'amour même si je t'avoue que j'en ais très envie...

-Niall, elle couine et j'explose de rire

Kay est assise sur le lit tandis que je suis allongé, la tête sur ses cuisses. Sa main passe doucement dans mes cheveux et je soupire de soulagement. Lorsque je l'ai vus courir vers l'intérieur je pensais que c'était pour m'éviter encore une fois sauf que quand je suis entré et que je l'ai vu... Attention niaiserie, mon cœur s'est de suite réchauffer. C'est tellement compliqué avec les filles à la maison, qui ne comprennent pas comment leur mère ait pu partir... Surtout Eden qui m'a demandé si s'était sa faute. Ça brise le cœur quand votre enfant vous pose ce genre de question, alors que c'est tout le contraire.

Mon rire calme rapidement quand je remarque que Kay a cessez tout mouvement mais surtout quand elle fixe le plafond retenant ses larmes. Je serre mes lèvres et me relève, je tiendrais pas deux ans à la voir comme ça. La personne qui lui a fait ça va payer et grave. Sa mine se crispe de plus en plus vus qu'elle retient toujours.

-Pleure.

-Qu..Quoi ?

-Pleure, arrête de les retenir tes larmes Kay. Je veux pas que tu joue à la forte avec moi ça t'enlève cette part d'humanité qui t'ai si chère. Allez lâche toi, tu as le droit. Je sais que les filles te manquent..

-Je..je pleure assez... Je veux pas devant toi..

Je me relève et remonte son menton doucement, l'obligeant à me regarder. Mon pouce passe doucement sous ses yeux lorsqu'elle relâche son visage. Kay vient caler sa tête contre mon épaule et petit à petit ses sanglots deviennent plus grand. Je préfère la voir transparente plutôt qu'elle se cache derrière son visage de grande dure, qui ne pleure jamais, qui n'aie jamais brisée. Sa main est enlacé à la mienne et je maintient ma femme contre moi. Lorsque Kay essaie de relever la tête, je la remet dans mon cou. J'ai peut-être besoin de sentir son contact.

-Tu as changé de parfum ?...

-Yep, tu aimes ?

-Oui, elle rit doucement en relevant le visage

Kay essuie de nouveau ses larmes et je dépose un léger baiser sur le bout de son nez qui la fais sourire. Je donnerai tous l'or du monde pour voir se sourire si précieux à mon cœur.

-Je te sortirais de là ok ? Alors ne te prend pas la tête mon cœur, tu reste pas ici deux ans.

-J'ai sûrement le meilleur mari de tout Londres

-Nop, tu as le meilleur mari du monde !

Ont se met à rire et je la sens mieux que quand je suis arrivé. Ses yeux pétillent légèrement, ses yeux ont toujours était la partie de son corps que j'aime regarder. Ils ont quelque chose que aucune autre femme n'ont hormis mes filles. Tout se passe par ses yeux, sa tristesse, sa joie, sa colère. Et je suis le seul qui peut lire en elle, comme ont lit un livre.

*

Je remonte dans la voiture côté conducteur, hors de question de laisser Harry conduire. Les visites sont fini pour aujourd'hui et ça m'a fais un bien fou de la voir, de la prendre dans mes bras, de l'embrasser, la toucher. J'ai besoin de la sortir de cet prison pour elle mais surtout pour nos filles et moi aussi par la même occasion. Harry arrive dix minutes plus tard, la chemise de travers et je soupire en retenant mon rire. Si autant je peux pas le faire avec Kay, Harry n'a aucune hésitation à le faire avec sa femme. Il monte, son sourire de béatitude toujours accroché à sa sale tronche de mouton. Ouais je sais, je suis adorable.