ACE of Crime

L'orchestre

L'agent Manser n'avait pas uniquement enquêter sur le passé de la jeune femme, mais également sur ses façons de procéder. En effet elle faisait Tout dans l'extravagance. Il remarqua que lorsqu'elle n'agissait pas seule, elle entrait en formation orchestre dans la salle où elle compte faire un crime. La formation orchestre c'est le nom quil a donné au placement et à l'armement de ses hommes. Elle porte toujours son sabre, et derrières elles se place des hommes portant chacun une arme. Celle ci est différente en fonction de ce qu'elle compte faire. Elle dirige chaque coup de chaque arme, comme si elle dirigeait un orchestre.

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Cette formation permet à tous ses hommes d'avoir une visibilité sur chaque ordre qu elle donne. Synchronisation, discipline.. Elle dirige un véritable orchestre de la mort.

La seconde fois que Mason Manser vit ACE, il eut l'occasion de confirmer son hypothèse. Effectivement, chaque arme correspond à un instrument, et elle ecrit une symphonie sanglante.

C'était deux mois après la fusillade dans les locaux du FBI. Plusieurs agents etaient sur la scellette étant donné que la criminelle s'était introduit jusqu'au coeur du FBI sans que personne ne réussisse à l'arrêter. L'agent Manser faisait parti d'eux, non seulement car il etait le chef de l'opération Epsilon, mais aussi car depuis le début beaucoup de personnes refusaient qu'il ait ce poste.

Fatigué et chamboulé, il s'était accorder une petite pause dans un bar miteux afin de se soûler. II l'ignorait mais ce bar appartenait à Don Luc, ou Lucifer comme on l'appel dans le milieu. Et Lucifer n'est nul autre que le bras droit d'ace.

Enfin elle n'a pas réellement de bras droit. Disons seulement qu'il etait le plus super de ses supers vilains personnels.

Surprise de trouver un agent du FBI sur les lieux, Senya Bron ne put s'empêcher d'aller lui parler. Elle s'approcha de lui, telle une panthère.

-Agent Manser, que faites vous la ? Chuchota-T-elle doucement.

L'agent déjà à moitié saoûl sursauta. Ses muscles se raidir lorsqu'elle balada ses mains pour le fouiller.

-Qu'est ce..
-Les armes sont interdites dans ce lieu. Lucifer et moi n'aimons pas trop la violence.
-Tu parles !
-Enfin bon, que faites vous la.
-Je bois.
-Oh, moi qui pensait que vous aviez avancé dans l'enquête. Enfin, ça tombe bien que vous soyez là, j'ai.. Prévu un petit spectacle.
-De quoi vous parlez?
-J'ai un contrat sur la tete de Lucifer.

Etait elle prête à enlever la vie d'un de ses hommes pour de l'argent ? Oui elle l'était. Cela prouvait qu'elle n'avait aucuns scrupules. L'agent Mason, qui n'était plus en état de "faire régner l'ordre", n'avait pas eut le temps de bouger qu'Ace avait déjà disparue. Laissant l'agent seul, désespéré, mais curieux de savoir de quoi elle parlait. II n'attendit pas bien longtemps, un peu plus d'une dizaine de minute, avant qu'elle ne débarque accompagnés de ses musiciens.

L'agent reprit des esprits en voyant les armes. Un Smith et Wesson, une kalashnikov, des shurikens.. Mason Manser tenta d'agir mais il se levai à peine que da tete tournait. Il tenait mal l'alcool, ce qui donnait un avantage à ACE. Elle attrapa l'agent par le bras et de son autre main elle dirigeait les hommes. Elle en désignait un à chaque fois, qui tirait un coup stratégique sur don Luc qui était venu après avoir entendu du bruit.

-ACE qu'est-ce que tu fais ? Salope.

Elle l'ignorait et désignait un autre homme. Aucuns d'entre eux ne tirait un coup mortel. C'était fait exprès. Elle aurait pu le tuer d'une manière à ce qu'il ne ressente rien, mais elle ne le fit pas. Le dernier coup, c'est elle qui lui asséna. Le coup de feu du beretta bleu ciel de la jeune femme acheva celui qui portait le nom du diable.

L'agent Mason avait vue toute la scène, retenu par les hommes de ACE.
Il remarqua que cette dernière n'avait fait qu'une victime malgré tout le cirque qu'elle avait fait. Don Luc etait un enfoiré de la pire espèce, ACE venait de supprimer une ordure de la terre, et Mason Manser voulait presque la remercier pour ça. Seulement il se rappella qu'elle aussi etait une enfoiré de la pire espèce.

Il entendit son rire, puis trou noir. Il se réveilla avec une énorme migraine, dans son lit. A côté de lui il y avait le New York Times, en titre : L'AS DU CRIME A ENCORE FRAPPÉ. Il ne trouva pas nécessaire de lire l'article étant donné qu'il etait présent. Il prit une aspirine et une bonne douche. Sa frustration était grandissante, comment était-ce possible que personne n'ai jamais reussi à attraper cette femme ? Elle est extravagante, bruyante.. Les criminels de son envergure sont d'habitude si secret.. Mais elle est presque un personnage public.