she had the chance. {Ereri/Eruren/Rivetra}

Chapitre sept.

" Je t'ai entendu, ne t'en fais pas. "

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J'ai dis une bêtise en sortant de l'hôpital. J'ai dis au médecin que j'étais son fiancé alors que tout ce que je pensais n'était qu'au passé. En passant par la sortie, j'ai vu Petra mais par chance, elle ne m'a pas vu. Je suis en train de me culpabilise car c'est moi qui l'aurais poussé à vouloir s'enlever la vie.

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Flashback de deux heures.

J'entre à l'appart et j'enlève mon manteau pour ensuite regarder à la fenêtre s'il était déjà parti. Il pleut, que dois-je faire... Livaï vient de partir de chez moi sans parapluie, bien que je pu constaté qu'il n'avait pas de voiture également.

Je remis simplement mes chaussures et parti à sa recherche, je ne dois pas le laisser sous la pluie et puis... Il devrait appeler quelqu'un disons, sa femme pour qu'il vienne le chercher ? Il pleut tellement fort que j'aurais dû prendre un parapluie, au moment où je l'es trouvé.

Le seul truc que je fais c'est courir vers lui, en commençant à pleurer, le temps passe terriblement lent. Son corps saignant un peu de partout, salissant mon pull gris. Les larmes coulent sans cesse, qu'avait-il en tête ?

C'est de ma faute...

Retour au présent.

J'appelle Erwin pour qu'il vienne me chercher, mais je tombe sur sa boîte vocale. Est-il toujours occupé ? Aucune idée... Je lui laisse un message avant de marcher jusqu'à chez moi. J'ai besoin de ne plus y repenser. Mon esprit s'embrouille de plus en plus, je ne peux y pas croire. Pourquoi je me culpabilise ? Est-ce de ma faute ? Eren... Arrête d'y penser. Je secoue la tête. Deux klaxons et je sursaute, ça m'a totalement réveillé de mes pensées. Je tourne ma tête vers la voiture, et la fenêtre s'ouvre.

- Jaeger ! Vous m'avez tellement man-
- Erwin.. dis-je en lâchant quelques larmes, étant presque à vouloir éclaté en sanglots.

Il me regarde puis m'ouvre la porte sans dire un mot, j'entre dans la voiture, m'attachant. Il ne me posait pas de question sur le sang sec qui avait entre mes mains et sur mon pull. Il ne fit que me reconduire chez moi, silencieux. Je pleure mais silencieusement, essuyant sans cesse mes larmes, reniflant quelques fois. Rendu devant chez moi, il détache sa ceinture, sort pour ensuite ouvrir ma portière et va me prendre tel une "princesse" lorsqu'elle tombe au sol, inconsciente. Refermant bien la porte derrière lui, verrouillant bien également sa voiture. Je me laisse faire tel un mort dans ses bras. Lui murmurant que la porte n'était pas verrouillé. Il ouvrit la porte en m'amenant directement au canapé.

- Je reviens, je vais te chercher des vêtements. Me dit-il, sans vouvoiement pour une première fois.

J'enlevais simplement mon pull pour me retrouver en torse nu, regardant mon corps horrible avant de le revoir revenir avec des vêtements propres. Il me regarde, me tendant celles-ci et partit à la cuisine.

Je me sentais de plus en plus à l'aise, avec lui. L'interrogatoire n'a pas eu lieu encore. J'enfile les vêtements et j'attend patiemment celui-ci.

- Attention, c'est chaud.

Je tourne mon regard vers lui, qui arrivait avec deux tasses de thé. Il vint se mettre à mes côtés. Je soupire légèrement avant de parler d'une voix craquée.