Après des fouilles intensives,
J'ai découvert finalement
Une planète à la dérive
Et qui vivait bizarrement.
A sa surface pullulaient
Une race aux idées infectes
Qui, sur leur monde surpeuplé,
Proliféraient tels des insectes.
Ils disaient être terriens,
Et ce modeste titre était
La seule chose qu'entre humains
Ils se partageaient volontiers.
Tout le reste n'était que guerre,
Ou alors broutilles futiles.
Cette terre n'est que misère
Dirigés par de grands débiles.
Et tous les humains, aveuglés,
S'empressent de saisir gaiement
Les petits morceaux de papiers
Dit "Argent" par les dirigeants.
Ils ont les moyens de sauver
Leur sublime environnement
Mais ils préfèrent l'abîmer
Plutôt que perdre tant d'argent.
Presque tous les individus
Rêvent d'un idéal de paix
Mais ce monde tant attendu
Ne sait jamais concrétisé.
Puisqu'ils se tuent déjà entre eux,
Ils ne pourront pas tolérer
Des étrangers différents d'eux.
Nous ne pouvons les approcher.
Je vais continuer ma route
A la recherche d'autres vies
Pendant que les humains, sans doute,
S'occuperont de leur survie.
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Mille et une strophes [FINI]
PoesíaPoésie versifiée en hommage à la vie et tout ce qu'elle nous apporte, aux petits miracles qui bordent les routes boueuses de nos existences, les bons sentiments, les mauvaises émotions, la société actuelle, le temps qui s'écoule et nos vies qui cont...