Chapitre 2

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Quand la porte s'est ouverte, je suis resté figée car un très grand et TELLEMENT beau garçon avait ouvert la porte. Torse-nu avec les cheveux un peu décoiffés juste assez pour que ce soit sexy... je reprends mes esprits en m'apercevant que j'avais un peu de salive qui coulait sur ma lèvre. Je lui explique que je suis la voisine et que mon père fait un AVC en entendant les ambulanciers s'approcher avec les sirènes, je me dépêchais de lui dire qu'il fallait qu'il garde ma sœur et que je viendrai la chercher probablement demain.

Il me suit jusque dans la maison. Il voit ma sœur pleurer en voyant mon père monter dans l'ambulance, alors il la prend dans ses bras malgré qu'il ne la connaît pas. Il a l'air très gentil. J'essaie de retenir mes larmes devant et essayer d'être un peu positive devant ma sœur. Je le salut et entre dans l'ambulance...

Je tiens la main de mon père très fort. Je verse une larme qui coule le long de ma joue et par la suite tombe sur sa main. Il avait le côté gauche entier qui ne pouvait plus bouger. L'ambulancier n'ose pas trop m'expliquer les conséquences et son état. Il préfère attendre de voir un adulte. Car je n'ai que 15 ans. Une fois à l'hôpital, comme d'habitude il te pose plein de questions et ensuite ils ont appelé ma mère pour lui annoncer la mauvaise nouvelle. Mais ils m'ont dit qu'elle n'a pas répondu et que je devrais essayer avec mon téléphone. Alors je fais un hochement de tête car j'avais de la misère à parler la boule dans ma gorge m'empêchais de parler. Je pris mon cellulaire et en ayant de la misère à voir le numéro que je composais à cause de mes larmes, mais je fini par composer le numéro du cellulaire à ma mère. Elle ne répond pas... J'essaie de composer le numéro de William (mon grand frère) en ayant autant de difficultés, mais lui finit par répondre...
-Conversations téléphoniques-
Moi : ... snif !
William : Allo ?
Moi : je... Je te passe l'infirmière...
-Fin de la conversation téléphonique-
Dès que j'ai entendu sa voix je me suis mis a tellement pleurer que je ne pouvais pas lui annoncer cette nouvelle à propos de notre père. Je lui ai donc passé l'infirmière qui était surprise de recevoir un téléphone aussi rapidement sur l'oreille. Après avoir vidé la boite de mouchoirs, l'infirmière me repasse le téléphone.
-conversation téléphonique-
William : Marie ?
Moi : Je suis désolée je n'ai rien vu venir, j'aurai voulu intervenir plus vite. Quand allée vous revenir ?
William : Marie... premièrement ce n'est pas du tout ta faute d'accord ne t'en veux pas du tout l'infirmière ma expliquer et papa devrais s'en sortir bientôt avec les bon soins des médecins... cependant j'ai moi aussi une mauvais nouvelle a t'annoncer

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Bonjour, voici la suite je devrais reposter peut être demain.

Bisou xx

MarieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant