Le voyage

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Lauryann

Je ne savais pas où regarder. Ce chalet était splendide ! Il était très grand et étais entièrement fait de bois. «Hayes, ce chalet à du coûter une fortune à louer», je dis en me tournant vers mon petit ami. «Ne penses pas à ça ma belle. Je veux juste passer du bon temps avec toi. L'argent est un détail. Viens, on va aller voir la chambre», il me répondis en me tendant la main. J'allais prendre mon sac mais Hayes le prit avant moi en me souriant. Je l'embrassai en retour. Son sourire s'élargi. Il prit ma main et m'entraîna avec lui vers des escaliers. Nous montèrent à l'étage et je vis une chambre spacieuse décoré avec des teintes de gris et de brun. Je lâchai la main de Hayes pour aller sur le balcon qui nous offrait une vue sur la forêt. «Ce sera encore plus beau demain quand il fera jour», Hayes dit en me rejoignant. «Merci Hayes c'est magnifique», je lui dit en le fixant. «Tout pour toi princesse», il me répondit en m'embrassant. Il bailla. «Je suis si ennuyante que ça ?», je demandai à la blague. Il se mît à rire. «Ça fait plusieurs heures que je conduit et je suis réveillé depuis ce matin. Je vais me coucher», il me dit en m'embrassant sur la joue. «Je vais venir avec toi», je lui dit. Il prît son sac et allait descendre les escaliers. Je fronçai les sourcils. «Veux tu bien me dire ce que tu fais ?», je le questionna. «Bien j'ai cru que tu n'étais peut être pas à l'aise qu'on dorme dans le même lit», il me répondit en se tournant pour me faire face. «Ne sois pas ridicule Hayes on se connaît depuis au moins quatre mois  et tu es mon petit ami. Je n'ai aucun problème à ce qu'on dorme dans le même lit, mais merci pour ta délicatesse, j'apprécie énormément», je lui dit. «Comme tu veux alors», il répondit en soupirant comme si cela le dérangeait. Je fus surprise par sa réaction. Il me fixa et se mis aussitôt à rire. «Tu m'as vraiment cru ?», Hayes me demanda en m'attirant vers lui en m'attrapant par la taille. «Peut-être», je dis en baissant la tête. Il releva mon menton avec sa main et s'approcha très prêt de mon visage. «Ne doutes jamais de moi ou de mes sentiments, je serai toujours là pour toi», il chuchota. «Jamais je ne vais douter», je chuchotai en retour. Il m'embrassa et déposa son sac sur le lit avant de l'ouvrir. Je me glissai derrière lui pour ensuite lui voler un de ses gilets avant de m'enfuir dans la salle de bain avec en verrouillant la porte derrière moi. Hayes cognait violement à la porte. «Lauryann c'est mon gilet préféré donne le moi s'il te plait. Je voulais le porter, allez ouvre la porte !», il cria. Durant ce temps, je me changeait pour enfiler le gilet d'Hayes comme pyjama. J'ouvris enfin la porte après quelques minutes. Il s'arrêta et me regarda de la tête aux pieds. «Et bien merde, il te va mieux qu'à moi. En plus, ça te rend encore plus sexy quand tu portes mes gilets», il dit en allant s'asseoir sur le lit en faisant semblant de me renier. «Est ce que monsieur est fâché ?», je demandai avec un brin d'ironie. Il me regarda en faisant une fausse moue fâché. «Hayes pardonne moi. Tes gilets sont trop confortables. En plus, tu l'as dit toi même, il me vas bien», je dit en m'assoyant sur lui et en entourant mon bras autour de lui. Il me regarda avant de m'embrasser sur la joue. «Bon, on va se coucher», il dit. Il se leva en me porter telle une princesse. Il me déposa sur le lit doucement avant de se diriger vers l'autre côté du lit. Il retira son gilet et resta uniquement en pantalon de sport. Durant ce temps, je ne le quittait pas des yeux. C'est très compréhensible, il est tellement beau. Je me glissai dans les couvertures et il fit de même. Il entoura son bras autour de ma taille et il m'attira vers lui. Je mis ma tête sur son torse et il commença à jouer dans mes cheveux. Après un moment Hayes se pencha vers moi pour que nos regards se croisent. «Je t'aime» il dit. «Je t'aime aussi», je m'empressa de répondre en retour. Il se pencha d'avantage et commença à m'embrasser passionnément. Tout en suivant le mouvement de nos baiser, Hayes se positionna par dessus moi. Il commença à embrasser mon cou et mon visage. Nous nous arrêtèrent un moment avant que, sur un coup de tête, Hayes retira mon gilet. J'étais maintenant en sous vêtements. Il recommença à m'embrasser. Après quelques instants, nous nous arrêtèrent. «Je t'aime», il me répéta. «Moi aussi», je répondis en retour. Je m'allongeai à bout de souffle et il fit de même. Nous nous endormirent nez à nez, complètement exténués.

Cherche et trouve || Hayes GrierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant