Chapitre 2 : En quittant Tymar.

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Après avoir repris son arme et payé Yumi, Kodoku reprit son chemin vers l'Ouest.

À la sortie de Tymar,

Kodoku se retrouva piégé dans une embuscade. Cerné par des brigands. Kudoku ne souhaitait pas utiliser sa magie à proximité du village. Il décida de ne rien faire pour l'instant.


Le chef desbrigands : Un de mes hommes a dit que tu avais beaucoup d'argent sur toi. Comme moi je suis pauvre, j'ai besoin de cet argent. Aurais-tu l'extrême obligeance de me céder tout ce qui a de la valeur t'appartenant ?

Kodoku ne répondit pas.

Le chef des brigands : Vous autres, allez le dépouiller.

Trois brigands s'avancèrent vers Kudoku. Lorsque l'un d'eux allait saisir l'arc de Kudoku, celui-ci dégaina son Katana et lui coupa la main. En voyant cela, tous les brigands se ruèrent sur lui. L'homme fit un simple pas de côté pour éviter une attaque, au passage il trancha une jambe.

 L'homme fit un simple pas de côté pour éviter une attaque, au passage il trancha une jambe

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Deux brigands n'étaient plus en mesure de se battre. Il restait maintenant trois brigands, dont leur chef. Kudoku, voulant vite terminer ces combats attendit qu'ils soient tous à la portée de sa lame. Il s'accroupit et leur faucha les jambes. Leur chef était resté en retrait. Kudoku s'approcha de lui.

Le chef des brigands : Ne me fait pas de mal ! Je t'en supplie ! Je plaisantais ! C'est tout

Kudoku lui asséna un coup avec la garde de son Katana sur le crâne. Le chef s'effondra, assommé. À l'entrée de Tymar, des gens s'étaient amoncelés pour voir l'étendue du combat. Parmi eux se trouvait Yumi, étonnée par le calme et la rapidité de Kudoku.

Voix de femme : Ecartez-vous, laissez passer !

La foule s'écarta, des murmures s'échappèrent de la foule : " C'est Saber ! Le général de la Garde Rapprochée du Roi. Que fait-elle ici ? "

 Que fait-elle ici ? "

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Saber s'approcha de Kudoku : Merci étranger d'avoir arrêté ces brigands. Comment t'appelles-tu ?

Il ne répondit pas. Il nettoya son Katana, tourna le dos à Saber et partit.

Saber : Je t'ai posé une question, étranger !

Kudoku s'arrêta et s'exclama : Je m'appelle Kudoku. Maintenenant, c'est à moi de vous poser une question. Où se situe la capitale ?

Saber (en souriant) : Dirige-toi vers l'Est, jusqu'à la mer. Ensuite vers le Sud pour arriver à la cité nommée Jilo. Depuis cette citée, tu prendras direction Sud-Est pour arriver à Fali. Puis tu continueras dans cette direction et tu arriveras à la capitale. J'y vais aussi. Ça te dirait de faire la route ensemble ?

Kudoku : Je voyage seul.

Il continua son chemin dans la direction indiquée par Saber.

Saber, rouge de colère, pesta puis alla préparer ses affaires.

Elle pense : Mais qui Est-ce gars ? Il se croit tout permis ! Il a quand même arrêté cinq brigands. Il est bizarre..

Elle alla aux écuries, sella son cheval puis quitta la ville. Sur le chemin pour aller à la mer, Kudoku entendit un bruit de sabots non loin.

Il se cacha dans les buissons et vit passer Saber sur son cheval. Il attendit qu'elle soit loin pour reprendre sa route. Le soir Kudoku chercha une clairière dans la forêt.

Après avoir construit son campement, il partit chasser. Kudoku s'empara de son arc, grimpa à un arbre puis avança en sautant de branche en branche. Il s'arrêta lorsqu'il se trouva au dessus d'un terrier.

Il patienta. Quelques minutes plus tard, couple de sangliers arriva. Il encocha une flèche et se tint prêt à tirer.

Le gibier était tout près. Kudoku décocha sa première flèche qui se ficha dans l'œil de l'un d'eux. Celui-ci tomba raide; il était mort. Le second prit la fuite. Kudoku descendit de son arbres et commença à dépecer le sanglier. Quand il ne resta plus que les os, Kudoku retourna à son campement.

Après avoir fait cuir et mangé la viande, il se coucha et s'endormit. Quelque instant plus tard, il fut réveillé par un petit bruit de feuillage que l'on agite. Kudoku : Tu te décides enfin à te montrer ou c'est la faim qui t'y a forcée ?

Yumi : Comment as-tu su que j'étais là ?

Kodoku : Si tu avais été intelligente, tu aurais éteint ta bougie au moment où je suis monté dans l'arbre

Yumi, enragée se jeta sur Kudoku et lui retourna une gifle.

Yumi : C'est comme ça que tu me remercies de t'avoir sauvé du blizzard ? Tu es parti comme un voleur sans même laisser un mot de remerciement ! (les larmes aux yeux) J'ai eu peur que tu m'aies dérobé quelque chose, ce matin.

Kodoku : ... Je m'excuse. C'est vrai, j'aurais dû te laisser un mot, mais je préfère rester discret, ce qui a foiré ce matin.

Yumi : Et pis, je n'ai pas faim. (son ventre gargouilla) ... Enfin si.

Kodoku : Il reste du sanglier sur le feu, sers-toi.

La jeune Yumi se dirigea vers le feu, se servit puis se tourna vers Kudoku et le remercia. Kudoku ne répondit pas, il était déjà partit dans un profond sommeil.

L'épée des roisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant