La nuit enfin venue avec elle emporta
Ces peurs si intimes, ces fameux cauchemars
Qui laissent la place, sans le moindre retard,
Aux rêves et espoirs, souriants, dans nos bras.
Quand la nuit s'achève, laisse le trône à Râ,
Heureux enfant du ciel dont la joie est tout l'art
Qui, face au désespoir, est le dernier rempart,
Les deux seront heureux, et le temps le saura.
Mais tout devient flou, quand cet homme sans mœurs
S'assoit sur ce monde tout nouvellement né
Et l'on s'interroge sur cet être borné.
Sous son hégémonie, et décroissent les fleurs,
Et meurent les rêves. Le monde condamné
Veut se débarrasser de ce mal incarné.
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Paper-dreams
PoesíaRecueil de poèmes en tout genre. La plupart seront sous forme de sonnet, mais cela n'exclue pas des vers plus libres...