Petites histoires de Gold Saint [ en pause ]

L'interrogatoire de Masque de mort

20H00, heure locale, dans un commissariat de Tokyo

- Puisque je vous le dit que je suis INNOCENT !!!! cria Masque de mort derrière les barreaux de sa cellule
- Mais oui, mais oui. lui répondit le policier. Et moi je suis l'empereur.
Masque de mort due se résigner, il s'assi sur le lit et observa la cellule, elle était minuscule, les murs fait de parpin de béton gris où que l'on n'avait pas pris la peine de couvrir de peinture, un lavabo, une serviette, du savon d'une couleur moche, un lit trop dure, une minuscule fenêtre, des barreaux vert irlandais, où de l'autre côté il y avait le bureau de police avec un policier moche comme un poux et fort  désagréable.
- Si au moi saurais été une policière sexy. se dit Masque de mort.
Au même moment une jeune policière rentra dans la pièce.
- C'est donc vous le fameux Masque de mort ?
- En personne.
- Ouvrer lui, il doit passer un interrogatoire.
- Comme vous voudrez madame. dit le policier en ouvrant la porte de la cellule, pour ensuite se diriger vers une piece tout aussi moche que la cellule, avec seulement une table, deux chaises très inconfortable et un miroir. Ils s'assirent. Elles mis ses jambes sur la table se qui la rendit encore plus sexy au yeux de Masque de mort.
- Alors ? demanda Masque de mort
- Alors quoi ?
- Vous êtes célibataire, mademoiselle ? lui demanda t-il avec un sourire
Elle lui mis un vent monumentale.
- Gros vent. se dit-il
- Hum, vous avez un sacré palmarès, complicité de deux homicide, dont un contre Athèna, meutres en série, complicité dans une tentative de domination de la terre et j'en passe des meilleur.
- Hé c'était il y a treize ans, il a prescription. se defendit Masque de mort
- Oui, mais, état d'ivresse sur la voie public et coup et blessures lors d'une bagarre de rue, c'était il y a cinq jours, donc il y a pas prescription... enfin... avec Masque de mort comme prénom, on voit le pedigree, au fait comment vous avez eu une armure ? En or en plus.
- Ho, pitié pas de leçon de morale.
- Non, mais, sérieux, vous  vous appeler Masque de mort, vous décorer votre maison avec des macabés et votre attaque c'est les vagues d'Hades. Ils dont con ceux qui donnent les armures où quoi ?
- Pas que je sache, mais sachez que quand on s'engage chez Athèna on se fait bien arnaquer, surtout lors des guerres sainte, non mais sérieux je me suis bien fait baisr sur se coup.
- Oui, moi aussi, mais je me duis rendu compte trop tard, c'est seulement quand j'ai vu votre tête que je me suis rendu compte que je me suis fait baiser en toute beauté par mon patron.
- Mon remarquable institution de la féminité me permet de savoir que vous êtes troublé, comment une jeune femme aussi séduisante puisse être troublée à se point ?
- Je devrais être sur une autre affaire depuis longtemps, je suis tellement prête.
Il lui tendis une flasque de rhum q'elle pris et bu.
- Entre nous, hum, hum, Lacy, je suis gold saint, et en tant que gold saint je pourrais vous aider ici sur le champ.
Elle eu un air dégoûté et recula. Et lui rendit sa flasque.
- Non merci.
- Pourquoi ? Il la suivais dans la pièce. Nous nous ressemblons beaucoup, vous et moi, moi et vous, nous.
Elle s'arrêta contre un mur et se retouna vers lui.
- Ha oui, excepté, notre conception de l'honneur, et... de la décence, et... et... nos valeurs morales, sans parlerde l'hygiène. lui dit-elle en regardant ses habits à Masque de mort
Il se renifla et s'aprocha d'elle.
- Broutilles, vous tomberait de vous même dans mes bras aller y et vous verrez.
- Vous en semblez certains.
- Un simple mot suffit, la curiosité, vous rêvez d'etre libre, vous rêvez de faire ce que vous voulez, parce que vous le voulez, vous rêvez d'êtres égoïste et impulsif, vous voulez savoir se que cela fait, un beau jour vous serez plus capable de résister.
- Pourquoi votre armure fonctionne pas ?
Il fit une tête troublée et vexé.
- Mon armure fonctionne à merveille.
Elle repris.
- C'est vrai, nous, nous ressemblons beaucoup, et un moment viendra où vous pourrez le prouver... en agissant avec honneur.
- J'lais adore ces moments, je les salut de la main quand je les vois passer. dit-il en marchant et en faisant signe de salutations dans le vide. Elle le rattrapa.
- Vous aurais enfin une chance de faire preuve d'un peu de courage, et vous savez se que vous découvrirez ? Que vous êtes quelqu'un de bien.
Il se tourna vers elle avec une tête pas convaincu.
- Tous me porte à croire le contraire.
Elle rigola.
- Nan, j'ai confiance en vous. Elle se tourna. Et vous savez pourquoi ?
- Surprenez moi, chéri.
Elle se rapprocha davantage.
- La curiosité... un jour vous voudrez...
Il se tourna. Elle repris
- Une chance d'être admirer, et reconpencer... et vous ne pourrez pas résisté. Elle raprocha d'avantage sont visage. Vous voudrez savoir se que sa fait... savoir quel goût ça a !!
- J'ai très envie de savoir quel goût ça a !
Ils se rapprochèrent encore davantage.
- Mais comme vous, êtes quelqu'un de bien je suis  certaine que vous me mettrez, dans une position qui pourrais compromettre mon honneur.
Ils allèrent s'embarquer que Masque de mort, remarqua l'autre policier qui arrivé avec Aphrodite, il s'arrêta net, la porte s'ouvri.
- Je suis fière de vous Masque de mort.
- Quelqu'un est là pour payer votre caution.
Elle partie, mais avant elle lui dit avec un sourire à Aphrodite :
- Pour répondre à votre question je suis... célibataire.
Aphrodite et le policier se regardèrent.
- Tu t'es pris un râteau ? demanda Aphrodite à Masque de mort
- Ho ça va, bon on se tire d'ici ?
- Comme tu voudra, au fait fsudra penser à me rembourser. lui dit-il tout en marchant une rose à la main.