Un rêve, une promesse, un objectif

Chapitre 25

Je m'en vais, passablement énervé. Je sais , je pousse un peu mais elle m'a vrai énervé à chercher la petite bête. Si je lui dit que c'est pas ça, c'est pas ça, elle n'a pas à me poser toutes ces questions. Non mais sérieusement "une fille" quoi n'importe quoi, c'est elle ma meilleure amie, je lui aurai dit si il y avait quoi que ce soit. J'essi vraiment de me calmer, je sais que je suis anxieux pour l'examen médical de demain et cè n'est pas une raison pour m'énerver contre elle. Je me retourne pour voir si elle est encore dans le magasin mais elle est déjà parti. Je m'en veux quand même de l'avoir attristée mais je l'appellerai demain après avoir vu le docteur, je suis sûre qu'elle comprendra ma démarche. Je rejoins la maison quelques minutes après. Je finis mes devoirs pour la semaine prochaine et fini par regarder un film. "La face cachée de Margot" je sais vous vous dîtes c'est un film de fille, pourquoi il regarde ça et bien pour tout vous dire moi aussi je me pose la question mais je suis totalment accro à cè film. Je ne sais absolument pas ce que je j'aime dedans, l'histoire les acteurs, la musique. Je n'en sais rien, juste que je sis accro. Je finis par m'endormir devant l'écran de mon ordinateur.

Le lendemain, je me fais réveiller par mon réveil vous savez le genre de réveil " Il est sept heures, chers auditeurs, l'heure de se lever!!!!" J'émerge enfin de mon lit et m'habille directement. Je descends dans la cuisine où je trouve mon petit déjeuner déjà préparé et un petit mot de mère.

Coucou mon fils, désolé j'ai un rendez-vous avec ma boss, je ne peux pas t'accompagner chez le médecin, tu vas devoir te débrouiller tout seul pour y aller en tram. Les papiers qu'il faut amener sont sur le meuble de l'entrée. Tu me tiens au courant des nouvelles? Bisou maman

Je laisse échapper un soupir, de toute manière c'est toujours comme cela que ca se termine. Toujours tout au dernier moment. Je paris qu'elle avait complètement oublié cè rendez vous prévu depuis longtemps avec sa boss. Mais bon qu'elle soit là ou pas au final pour moi tout revis au même cè n'est pas si grave.

Je prends les papiers, mes clefs et j pars en direction de l'hôpital. Je monte dans le tram et m'installe confortablement pour une dem--heure de trajet. J'attrape mes écouteurs et lance une musique avec mon portable. Je suis assis sur un siège dans le sens inverse de le marche, contre une fenêtre. Toujours en écoutant de la musique je regarde la paysage défilé la vitre. De nombreux souvenirs refont surface, l'enterrement de grand-père, ma rencontre avec Charlotte, mon premier entraînement, ma première compétition, le stage. Tous ces moments géniaux, je ne veux qu'une seul chose, revivre les plus joyeux d'entre eux. J'étais totalement évadé dans mes pensées lorsque la petite voie du tram indiqua mon arrêt. je descends et rejoins le hall de l'hôpital. Je signale ma présence à l'accueil et attends patiemment mon tour.

Dans la salle d'attente il y a plusieurs personnes, une femme d'un très jeune âge qui semble être enceinte. Un homme au bras dans le plâtre avec deux jumelles qui se poursuivent partout dans les couloirs. Et moi, le pauvre enfant sans parents... Après une bonne heure de retard, comme d'habitude chez les médecins j'entre enfin dans le cabinet. Je m'assois devant le bureau u médecin et lui affirmé que j'ai bien reposer mon épaule, j'oublie juste par une faute d'inattention sûrement de lui parler de mon escapade de la nuit dernière.....Sous les instructions du médecin, j'enlève mon tee-shirt et celui ci vient manipuler délicatement mon épaule. Il m'invite ensuite à faire quelques exercices pour tester mon épaule. Je les réussis tous un par un et mon angoisse laisse enfin place à un sentiment de soulagement important. Le verdict tombe enfin " JE PEUX REPRENDRE LES ENTRAÎNEMENTS". Je sors de l'hôpital certainement le sourire aux lèvres puisque les infirmières me regardent sans trop comprendre la situation. C'est sûre qu'une personne aussi contente dans un hôpital ça ne doit pas se croiser à chaque coins de rue. Mais bon je communique mon bonheur