La guerre a éclaté. Le pire est arrivé. Maintenant pour survivre, on doit rester chez soi. Enfermé. Seul. Si jamais on ose sortir, on risque de rencontrer des gens. Et si on rencontre quelqu'un, on est obligé de faire la guerre des pouces. Mais ce n'est pas seulement un jeu, c'est une question de vie ou de mort. J'explique: quand on croise une personne, peu importe la quel, on doit faire la guerre des pouces. Bon vous connaissez le principe j'ai pas besoin de vous l'expliquer. Par contre la différence est que si on perd on meurt car si on gagne on doit tuer notre adversaire.
Au début, je n'étais pas au courant de la situation alors je suis sorti voir Alice. Quand je l'ai vu elle s'est mise à paniquer. Elle m'a tout expliquer et jai voulu m'enfuir (elle aussi) mais bien sûr, pour nous surveiller, il y a des caméras partout dans la ville. Alors on a pas pu s'enfuir, il fallait le faire. J'étais hyper stresser. Car évidemment je ne voulais pas mourir mais je ne suis pas capable de tuer mon amie. Ma meilleure amie. Nous avons donc commencer. Et jai gagné. Je voulais pas. Jai paniquer et jai couru le plus vite possible. Je courais je courais mais un garde ma arrêter. Il m'a obligé à retourner avec Alice et cette fois, sur sa surveillance.
Jai essayer de le convaincre de me laisser partir mais en vain. Je n'avais plus d'options. Je me suis mise à pleurer et pleurer et Alice aussi. Le garde ma alors dit "Je vais être gentil avec toi". Yes! Il allait me laisser partir!! Il me tendit un fusil. Je n'ai pas tout de suite compris. "Ce sera plus facile de la tuer d'un coup que si tu la bat". Wow et il appelle ça de la gentillesse? Je pris le fusil. J'étais obligé. Je m'excusa auprès d'Alice au moins mille fois et tira. Elle est tombé par terre. Jai éclaté en sanglot.
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Les jeux de ma vie
FantasíaJe ne sais pas si vous savez à quel point vous êtes chanceux de pouvoir choisir votre vie en fonction de vos goûts et intérêts. Moi je vous trouve chanceux. Parce qu'à Hoxfild, ma ville natale, ce sont les jeux qui décide de votre vie. Mais pas n'im...