Je sors de chez moi, j'ai presque l'impression que mon envie de la voir guide instinctivement mes pas.
Je remonte les rues en pensant d'avance à ce que j'ai envie de lui faire. Je saute la barrière en bois et m'approche de sa fenêtre.
En grimpant le treillage, je m'imagine toute les caresses tout les baisers que je vais lui donner. Arrivé en haut je toque doucement, mais la vitre est entrouverte. Je m'approche de son lit et la trouve endormie, je me met au dessus d'elle et l'embrasse doucement. Elle ouvre les yeux, me sourit et m'invite à venir dans son lit. Je retire tout mes vêtements et me précipite sur le corps tant désiré. Je glisse ma main dans sa culotte et trouve son sexe humide et plein de désir. Je l'embrasse passionnément et la pénètre lentement. Ses yeux s'écarquillent de plaisir, mais aucun son ne sort de sa bouche. Je lui impose un rythme très lent et appuyé, elle me chuchote à l'oreille d'un ton provocateur :
_De toute manière, jamais tu ne réussiras à me faire crier.
Très bien elle veut jouer ? On va jouer. Je la retourne brusquement sur le ventre et la pénètre sans prévenir, je la baise durement. J'embrasse sa nuque avant de relever ses fesses. Je lui met une fessée et commence mon va et viens. Je sens son vagin se resserrer légèrement autour de moi, signe qu'elle va bientôt arriver au paroxysme de son plaisir.
Pour autant elle n'a pas encore crié. De simples halètements lui échappent. Je m'arrête donc, la retourne et là porte jusqu'au bureau.
Je l'embrasse langoureusement mais refuse de la pénétrer malgré ses coups de bassins insistants. Quand je sens qu'elle est un peu redescendue, je la pénètre lentement, et alterne entre un rythme lent et effréné. Des gémissements commencent à lui échapper à mesure que mes coups de butoir ce font de plus en plus rapides.
Soudain, elle enroule ses jambes autour de moi pour que je rentre au plus profond d'elle , et ce met à hurler de plaisir tandis que ses chairs se resserrent d'un coup autour de mon membre.
Victorieux, je souris et bâillonne ses lèvres d'un baisé passionné. Et je viens à mon tour en elle dans une dernière poussée.
_Alors, lui chuchotais-je, j'ai relevé le défi ?
