Amour impossible .. Mariage forcé.. Une vie pour la sienne .. Etc

Nbriiik yemma Allahyrahma ..

Une fois qu'il fut parti, je me suis lever pour préparer à manger, Abrar me suiva et me prit par le colle en me serrant très fort il était méconnaissable, il me dit que si j'accepter je n'étais plus rien pour lui et qu'il nous tuerais moi et Karim.
Younes me dit qu'il était fier de moi et qu'importe les propos d'Abrar c'était à moi de prendre ma décision et quoi qu'il en était il serait la et m'aimerait éternellement.
Ma mère fut très épanouie elle attendais ce moment avec impatience, elle voulait que cela ce passe dans les semaines à venir par peur de rendre l'âme avant ...
Je n'ai put retenir mes larmes , je ne savais si je devais être heureuse ou alors être chagrinais car j'allais certes acceptée la demande de Karim mais j'allais perdre ma mère pour toujours alors à quoi bon ?
Mon père m'appela et me fit redescendre de mon petit nuage ... Il me dit qu'il ne voulait pas de ce mariage, il voulait un homme de chez nous, qu'il jouait la comédie devant Karim pour ne pas passer pour le méchant mais que je devais y mettre moi même un terme... , avec ma mère et Younes nous passion nos jours à lui faire changer d'avis mais rien n'y faisais il ne voulait rien savoir et ne me voulais surtout pas me voir à ces coter à l'extérieur sinon j'allais y passer ...
Depuis ce jour mon cœur c'était éteint, mon chagrin s'agrandissais, Abrar me faisait vivre un enfer... Il me tapait parfois pour déchaîner sa colère, ma mère aurait voulu arrangeais les choses mais elle n'en avait pas la force, elle s'affaiblissait de plus en plus.
Karim me rassurait, c'était un homme exceptionnel jamais je n'aurais pu rêver mieux mais malheureusement il fallait croire que le destin ne nous voulait pas ensemble ... Il continuait à espérer et jurait de ne rien lâcher, j'aurais voulu avoir un bout de son optimiste mais cela était impossible mes Demons reprenait toujours le dessus et me faisait tomber dans de long couloir sombre sans issu.

...

2 mois passére et rien ne s'arrangeait, ma mère demeurer a présents dans le centre hospitalier qui dégager l'odorat de la mort.
Elle souffrait a n'en plus tenir, je ne cessée d'être à son chevet, je rentrait quelques fois pour préparer de quoi manger et revenait aussitôt.
C'était une journée orageuse, j'avais depuis peut un mauvais pressentiment qui ne faisait qu'atténuer ma tristesse,
Alors que nous étions tous auprès de ma reine, elle nous dîmes que c'était l'heure qu'elle allait partir , je ne voulait pas y croire malgré que je m'y était préparée, je n'arriverais pas à le supporter je ne pourrais plus vivre sans elle elle est toute ma vie sans elle je ne pourrais plus avancer ... Elle nous parla à chacun d'entre nous elle nous ordonna de revenir repentant en pleine soumission au seigneur des mondes elle exigea à mon père d'accepter Karim, elle le fit promettre, et me dit de prendre soin de ma famille car a présents elle me léguer cette tâches qu'il fallait que je reste forte et que je sois la pour ceux qui en ont besoin elle continua dans son monologue mais je n'avais plus la force d'écouter je prier dieu de ne pas me l'enlever il ne le fallait pas oh non oh seigneur je ne pourrais plus sans elle comment faire pour tenir je ne me relèverais jamais âpre cela, je fait la forte mais wAllahi que cette épreuve je n'arriverais pas...

Elle leva sont doigt au ciel et récita c'est toutes dernières paroles " ach adou en la ilaha ilalah wa achhadou enna mohammed rasouloulah "

Sur ces paroles elle inspira un grand coup , et la voila de l'autre cotés dans ce monde invisible auprès du tout puissant ...
Je ne réalisa pas tout de suite, j'observais tout d'abord chaque geste de mes proches.
Abrar avait les yeux rouges on pouvait y apercevoir des larmes poignantes il mit un gros coup au mur et s'en alla, Younes était désemparée ces larmes coulait silencieusement il leva ces mains au ciel et fit de longues invocations mon père était comme moi il resta figeait sur sa bien aimée lui tenant fort la main il ne put à son tour retenir ces larmes qui me fit l'effet d'un électrochoque.
À mon tour je suis sortit de la pièce je n'arrivais plus à supporter cette scène mes jambes me conduisit au toit je me suis assise et est explorer la vue, tout en repensant au minutes précédentes... Un cris horrifiée venait de mettre accordée ce cris chagrinée d'une fille en détresse venant de perdre sa reine ...