Let's Play

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Aucunes des vidéos et images ne m'appartienne

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" Le monstre ici... C'est moi. "

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Un petit visage rond au teint de porcelaine avec de joufflue joue rouge.

Deux grands yeux écarlate, brillants comme des rubis, bordées de long cils noir.

Une flamboyante chevelure rousse au reflet brûlant, coulant gracieusement comme une cascade de lave, coiffée avec un bandeau brun.

Et deux petites lèvres dodues rouges, comme le sang, en forme de cœur.

Un adorable visage, appartenant à une adorable petite fille.

Plus âgée que Garry, ou sur le même âgés, c'était compliquer à dire à cause de ces traits juvénile.

Elle était vêtue d'une longue chemise blanche, avec un ruban de velours rouge, noué autours du coup.

D'une longue jupe brune, avec de hautes chaussettes de laine blanche et des souliers vernies noir.

C'est yeux d'un rouge profond semblaient au première abord brillant et plein de vitalité, mais avec un peu de recule, Garry pouvait discerner une grande tristesse et... autre chose qui le mettait mal à l'aise.

D'abord trop surpris et tétanisé par l'apparition soudaine de la jeune fille, dont la réflexion était subitement apparue dans le miroir, il ne tarda quand même pas à se retourner pour lui faire fasse.

En se retournant son sang se glaça.

" - Ce n'est pas possible...non... Je dois rêver c'est impossible, impossible.

- Moi aussi j'aurai aimé que se ne soi qu'un mauvais rêve. "

La voie douceâtre et enfantine de l'inconnue aux yeux de rubis, donna la chair de poule à Garry. Sa voie était vide, triste, dénuée de toute trace de joie et de vie.

Et après se qu'il venait de voir, elle ne contribuait pas à le calmer.

En se retournant il croyait se retrouver nez à nez avec un être de chaires et de sang, mais tout se qu'il avait rencontré s'était le vide.

La petite fille derrière lui n'était pas vivante.

Il se retourna rapidement, constatant qu'elle était toujours là, mais dans le miroir.

" Ha...aa...haa...Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!! "

Garry poussa un cri trident avant de se précipité vers la sortie, affolé.

Dans sa fuite, il manqua plusieurs fois de trébucher, se cognant contre les coffres au bout des lits, ou en glissant, tout simplement contre le sol poussiéreux de la chambre.

Il avait presque atteint la porte, la vielle poignée ronde bientôt à porter de main, quand...

" NON !! ATTEND !! NE PART PAS, NE ME LAISSE PAS SEULE !!! JE T'EN SUPPLIE !! "

Un crie d'épouvante retentit de derrière lui. Le crie était imprégné d'un tel désespoir, que Garry se stoppa net, la main en suspend, planant, toute tremblante, au-dessus de la poignée, et tout doucement, encore une fois, se retourna.

Miroir, Mon Beau Miroir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant