Miroir, Mon Beau Miroir

The story of Marry

( Pour ceux qui ne connaisse pas le jeux : image et physique des personnages tirées du jeux Hide and Seek: The story of Dorothy, et le personnage de Garry est Dio du jeux Mad father. )

Aucunes des vidéos et images ne m'appartienne

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" Assis toi, je vais tout te raconter "

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«Je m'en souviens comme si s'était hier. Et malgré tout mon bon vouloir, ma patience ainsi que de ma persévérance, je ne pus réussir à m'en défaire. Se souvenir réussis même à survivre aux années qui se sont écoulées, dans une douloureuse lenteur. Qui était pour moi, jour après jour, comparable à des coups de couteaux portés en plein cœur. Il restait ancré dans ma mémoire. Incruster dans mon esprit pourtant bien vide et confus. Comme s'il avait été imprimé à l'encre de Chine sur une toile vierge de touts écrits. Bien décidé à rester à jamais dans les archives de ma piètre existence passé.
Alors, à chaque fois que je ferme les yeux, je revis encore et encore la même histoire.

Me noyant dans le cadre idyllique et apaisant de ce qui était autrefois, ce que j'aimais appeler, "ma maison".

Je me remémore tout: le paysage, les sensations, les odeurs ainsi que les différents son, comme si tous mes sens sortaient de leur torpeur dès que c'est brides de souvenirs rejaillissaient.

Comme la pellicule usée d'un vieux film je revis mon passé encore et encore, comme si j'y étais encore.

Je ressens, je vois, j'entends chaque petit détails :

Le vent qui chatouillait tendrement les branches des nombreux arbres qui entouraient le grand jardin, si vieux, mais pourtant si bien entretenu.
Les feuilles et pétales qui s'empressaient d'aller se perdre dans les profondeurs bleu du ciel, disparaissant derrières les nuages blanc moutonneux. La douce chaleurs des rayons du soleil qui réchauffaient les environs, chassant au loin la fraîcheur du soir.
La senteur des brindilles d'herbes fraîchement couper et recouvert par les fine goutes de la rosée, ainsi que l'odeur des différentes types de fleures, embaumaient le jardin.

Je me souvient aussi des vieilles balançoire, située entre deux grand vieux chêne, si familier, qui avaient su résister aux intempéries, ainsi qu'aux griffes impitoyable du temps qui passe. Je les revoit encore se balancer doucement au rythme du vent, qui les portaient comme les flots porteraient un bateaux, créant, dans leur balancements de petits grincent et couinements.

Je ré-entends les oiseaux, qui au loin, commençaient leur chants, créant une symphonie de gazouillis.

Au centre de ce grand jardin, à l'orée d'une sombre et imposante forêt d'arbres aussi imposant les un que les autres, se dressait une vielle et grande bâtissent, bâtie vers le début des années 1600.

Les murs de pierres brunes foncées, si rugueux au touchés, étaient à certains endroits noircies et le lierres les avaient assaillis, les transformant en leur terrain de jeux, escaladant la vielle façade et en s'entortillant les un avec les autres.
Le toit de tuile noire scintillait sous les rayons de soleil ,et une fumée épaisse s'échappait de la vielle cheminé en pierre. Les vielles fenêtres étaient,pour certaines propre, et pour d'autres sales et fissurées. L'intérieure de la vielle demeures était cachée des regards indiscrets par de vieux rideaux blanc, tandis que pour les fenêtres plus usées, aucune précautions n'avait besoin d'être prise, car rien ne pouvait être vue à part une masse de noirceur sans fin, qui semblait cacher dans ces profondeur les plus horribles créatures.