Chapitre 3

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PDV Anko:

Je me laisse tomber sur l'herbe caché par les arbres de la forêt en laissant échapper un soupir de ... Désespoir ? Oui c'est le bon mot. Je suis tellement désespérante parfois que même moi ça me fatigue ! Moi qui voulait me faire un minimum bien voir et ben c'était rater !

Tout ça à cause de lui et de mon putain de trouble !

J'étais assise dans les petits escalier, qui permettais à aller dans la cour, je mangeais mon bento, sans vraiment l'apprécier. C'était mon père qu'il l'avait préparer et seul pour couronné le tout. Et il ne sait toujours cuisiner ! C'est vraiment dégueulasse.

Des ombres sur le sol s'approchaient de moi, mais je n'y faisais pas attention, après tout j'avais laissé de la place alors s'ils voulaient passé, ils pouvaient le faire.

" Eh bin alors, la grande Anko Fumetsu perd de sa splendeur ! On ne fait plus la maligne maintenant qu'on est dans la classe des déchets ?! cracha-t-il, en s'approchant de mon visage que j'avais relever pour écouter ses pitoyables provoques."

Ne tenant plus du tout, je lâche le fauve qu'est l'irritation accumuler depuis ce matin et je devins une folle enrager, je peine à articuler un simple : "Parle pour toi..." Avant de voir un sourire satisfait sur le visage de Terasaka.

Et dire que s'était mon meilleur ami avant !

Je me jette sur lui, plaque mon bento dégueulasse sur son visage tout aussi dégueulasse et de tout mon poids je le fais tomber en arrière. Je me relève avant qu'il ne fasse quoi que se soit, lui donne un petit coup de pied, reverse toute la bouffe qui reste de mon bento sur cette merde et le range dans mon sac.

Puis...

Je me rend compte que...

Je ne suis plus du tout en colère...

Et maintenant

JE REGRETTE !

Je prend vite mon sac, me sauve de Terasaka, de sa bande de potes, de mes nouveaux camarades qui me regardent et m'engouffre dans le bois qui entour le vieux bâtiment pour hurler contre moi-même et ce maudis trouble qui me gâche la vie depuis toujours.

Et maintenant me voilà à me morfondre, dans l'herbe...

Je devrais peut-être m'excuser ...

Et puis quoi encore c'est lui qui a tendu la perche, je n'ai fais que la prendre !

Cette ordure n'avait pas qu'a m'énerver !

Mais n'empêche, j'ai été méchante, moi qui voulais passer une journée tranquille c'est raté en plus de ça, après ce que j'ai montrer, mes camarades vont me prendre pour une folle...

Mais on s'en fout ! J'ai l'habitude d'être seul, alors je vois pas où est le problème !

J'entendis un rire s'élever, un ricanement moqueur, ce que je n'aimais pas du tout. Je dirigea ma tête vers le rire pour voir qui était l'enfoiré qui ce moquais de moi, je vis alors une tête de poivrons, avec un sourire moqueur collé à son visage de thon ! Je rigole, il est pas trop mal fait, mais là n'est pas le problème !

"Ehh~ toi t'es pas toute seul dans ta tête ! s'exclama-t-il en montrant son téléphone passant une vidéo de moi entrain de me rouler par terre en me lamentant."

J'ai eu un moment de non-réaction, puis je comprend ce qu'il est entrain de se passer, ce type venait de me filmé entrain de pensé à voie haute !

"Oh, Marie-Joseph , dit-moi c'est pas vrai ! m'exclamais-je choquée.

-C'est pas vrai ! dit-il en rigolant de plus belle .

-Arrête de mentir ! hurlais-je en me levant et en me précipitant vers lui pour lui prendre son téléphone et effacé cette vidéo."

Mais je n'arriva qu'à me prendre un arbre en plaine tronche sous le rire de Karma Akabane, mon voisin de classe... Je me releva, le regarda avec sérieux et lui dis :

"Tu vas effacer ; cette vidéo de ton téléphone et ce moment de ta vie de ton cerveau ...

-Très bien... Mais à une condition, ricane-t-il en s'amusant à faire tourner son téléphone dans sa main tout en me regardant comme si je n'étais qu'une chose fragile qu'on peut manipuler.

-Et qu'elle est cette condition ?

-Tu vas devoir m'acheter l'édition collector du Shonen Jump sortie la semaine dernière... dit-il en espérant sûrement voir me voir paniqué, après tout il coûte une blinde, mais je me contente de lui faire un petit sourire moqueur, sa stratégie n'a pas marché.

-Je l'ai à la maison, je pourrais te le passé, dis-je simplement, ça ne me fait pas mal de m'en séparer, je l'ai scanné pour l'envoyer à une amie qui habite loin, donc c'est comme si je l'avais en deux fois."

J'observe sa réaction, il semble surpris puis un peu déçu de ne pas me ruiner ou de me voir paniqué, de mon côté sa déception m'amuse.
"En vérité ce type, c'estest encore un gamin , je l'envie un peu de ne pas ce soucier de la définition "assassiner", enfin en observant la classe personne ne se soucie vraiment qu'ils doivent tuer un être vivant."

"Qu'est-ce qui te fait sourire comme ça ? Me demanda-t-il intriguer .

-Non, rien, je me disais juste que tu irais bien avec Nagisa-chan ! me moquais-je.

- Quoi ?! De un ; comment tu connais Nagisa-kun et de deux ; je ne suis pas gay ! répliqua-t-il

- Je n'aurais jamais penser que ce genre de taquinerie te mettrais mal à l'aise, Akabane-san ! dis-je en riant au éclat."

J'étais heureuse, très heureuse, pour une chose insignifiante, mais c'est à se moment précis que je me rend compte que la forêt est très jolie.

" Bon, on y va, ma maison n'est peut-être pas très loin, mais je tiens à en finir le plus vite possible ! continuais-je en essayant de reprendre mon sérieux."

Je fis volte face et commença à marcher vers le bâtiment principal, suivi de Karma, puis nous sortîmes sans trop de problème. Après tout c'est la pause de midi !

Après 15 minutes de marche silencieuse, nous arrivâmes chez moi. J'enlève mes chaussures, ouvre les stores en appuyant sur un bouton.

Il s'installa dans le canapé dans l'entrée-salon, pendant que moi je rouvrais la cuisine fermer à clés depuis ce matin, je pris deux briques de lait à la fraise les posa sur la table du salon, puis je monta dans ma chambre pour aller chercher mes cartons.

J'entrai dans ma chambre, elle était banal, des murs bleus, un lit, un bureau, mais il y avait aussi beaucoup de cartons, on aurait put croire que je déménageais, ce qui n'est pas le cas, la température de celle-ci était très froide et de la buée c'était former sur la vitre alors que nous étions encore en automne. Je pris un gros carton contenant des jeux vidéo et des mangas.

Je descendis les escaliers, je me dirigea vers le salon, et posa le lourd carton sur la table.

- Tu range tes affaires dans des cartons, toi ? demanda-t-il intriguer.

- Pas du tout, c'est juste que je vais devoirs me séparer de tous ces trucs, mon père veut se séparer de cette maison ! mentis-je, car je ne savais pas vraiment comment expliquer ma situation et en fait je ne veux pas l'expliquer.

-Et tu ne garde rien ? demanda-t-il surpris, alors que je cherchais le magazine.

-Bien sur que si, je me sépare juste des trucs pas très important, dis-je en lui tendant le magazine que je venais de trouver."

Après avoir feuilleté le magazine et avoir vérifié la date et son authenticité, il me passa son portable pour que j'efface la vidéo moi-même, je l'effaça d'abord de sa galerie, puis vérifia qu'il ne l'avait pas envoyer à un de ses contacts puis je lui rendis son téléphone...

Assassination Classroom - KarmaxOC [Tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant