I. «Je vise un dieu vivant»

76 14 0
                                    

« Cher journal, je pense avoir trouvée l'idée du siècle pour séduire Sirius Black.

Tu sais mieux que quiconque qu'il m'a toujours attirée, et ce depuis ma première année à l'école de sorcellerie Poudlard. Déjà lors de la cérémonie de répartition je l'avais remarquée ; il était le seul première année à ne pas trembler de peur, je me souviens l'avoir vu remettre sa mèche de cheveux noir de jais sur le côté et s'être avancé fièrement vers l'estrade, comme si les centaines de paires d'yeux qui l'observait ne l'atteignait pas.

Il m'impressionne.

Callie me met souvent en garde, je ne te cache pas que c'est un coureur de jupons mon cher journal, mais l'amour n'est-il pas un sentiment étrange ?

Ainsi, j'avoue avoir été déçue de le voir rester à Poudlard pendant les vacances avec Potter. Callie allait pouvoir l'observer tout son soûl tandis que moi je ne le reverrais pas avant deux longues semaines, et ce à cause d'un sorcier malveillant dont le nom provoque une terreur incroyable.

Fort heureusement, bien que je ne connaisse aucun moldu appartenant à ma famille, les Robin ne sont pas de Sang-Purs. Ainsi j'ai pu rentrer passer Noël chez moi, au grand damn de Calli qui, elle, a dut rester à Poudlard. Je lui ai bien proposée de venir passer les vacances chez moi, mais elle a refusée, pretextant vouloir travailler ses Aspics. J'imagine qu'elle ne se serait pas sentit à sa place dans ma nombreuse et singulière famille.

Je suis donc restée coincée entre un cousin et une vieille tante pendant les deux longues heures qu'on durées le réveillon. Si Anofilia, ma grand-mère adorée, ne s'était pas trouvée assise en face de moi j'aurais sûrement prétextée une crise d'estomac pour m'échapper de ce repas ennuyeux et commun qui allait me faire prendre deux kilos au bas mots.

Mais comme Anofilia n'était ni ennuyante ni commune, je suis restée sagement à ma place en l'écoutant débiter toutes les bêtises qu'elle avait eu l'occasion de faire lors de sa scolarité à Poudlard.

J'ai toujours beaucoup admirée cette femme, sorcière excellente sous tous points de vus, mais surtout par son égocentrisme et sa façon de captiver l'auditoire en racontant toutes sortes d'histoires farfelus dont certaines pourrait même faire friser la barbe de Dumbledore. Oui, Anofilia était un spécimen unique.

Et c'est grâce à elle que je me rapprocherais de Sirius Black.

Ce fut lorsque mon cousin Philias interrogea la sorcière sur ses expériences amoureuse à Poudlard que je me redressais brusquement sur ma chaise. En effet, cette discussion promettait d'être intéressante, Anofilia s'était toujours vantée de n'avoir eu des aventures qu'avec des hommes particulièrement charmants et réputés inaccessible, ce qui correspondait à ma propre conquête.

Après tout, je vise un dieu vivant.

La technique d'Anofilia pour conquérir Derus Malefoy retint mon attention ; la sorcière nous expliqua n'avoir user d'aucuns filtres d'amour pour conquérir le coeur du prince de l'école alors qu'elle était en septième année. Elle avait flatté l'orgueil du préfet-en-chef, et pour ce faire elle avait créée un club.

Mais pas un club comme celui des Bavboules qui existait à Poudlard depuis des dizaines d'années, non un vrai fan-club ; un club dédié uniquement à une seule personne et que chaque membre adulait.

Je ne me permettrait jamais de critiquer Sirius Black, et je ne cesse de lui trouver un peu plus de qualités chaque jours. Mais, ce club, si il a marché pour Anofilia, pourquoi cela ne fonctionnerait-il pas pour moi aussi ?

Beaucoup de personnes pensent que je ne suis qu'une enfant naïve et particulièrement idiote de penser qu'il s'intéressera a une pauvre Serdaigle. J'aime Sirius Black, et il sera bientôt à moi. »

C'est trop trop bizarre d'écrire de cette manière, sans dialogue et à la première personne ! Mais sa change de d'habitude

Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.

C'est trop trop bizarre d'écrire de cette manière, sans dialogue et à la première personne ! Mais sa change de d'habitude.

Dans ce chapitre on parle beaucoup de Sirius comme dans les prochains enfete. Et toujours en bien évidemment ! Astrid est sa fan numéro 1. Vous en aurez marre de lui a la fin, une overdose de Patmol, c'est sympa non ?

Plus sérieusement, comme dit dans la partie précédente « Avant Propos » ce libre est en collaboration avec Wordream mais nous écrivons toutes deux sur des livres différents postés sur ce compte. Ainsi, pour suivre complètement l'histoire, il faut que vous ayez le point de vu de Calli également ! C'est pourquoi je vous invite à aller lire le « Journal de Calli ».

Au plaisir de vous revoir au prochain chapitre.

Journal d'AstridWhere stories live. Discover now