Mère, Père, Daniel. Étalés sur le tapis -anciennement blanc- du séjour, je ne suis sorti qu'une petite heure pour taillé les rosiers de mon jardin, juste une petite heure. Les yeux de Mère me fixe comme pour m'accuser de se qui c'était passé, ceux de Père sont complètement vide, surement retourné par la douleur, et Daniel, mon tendre, mon bien aimé grand frère, il est complètement... méconnaissable, démembré, éventré, dévoré sont visage si pâle jure avec le rouge de son sang, du sang, la pièce est recouverte de sang, les murs, les meubles, le sol. Les braises dans la cheminée sont encore chaudes. Juste une petite heure, rien de bien méchant.
J'ai les lèvres qui tremblent, j'ai peur, j'ai froid et chaud à la fois, je pose ma main contre mes lèvres pour retenir mes sanglots, j'ai les pieds trempés, je baise les yeux, du sang, je baigne dans le sang, je me mets à pleuré quand un grognement bestiale me fait hoquéter de surprise, je regard la pièce, rien, Un second grognement. Derrière moi.
- Ne te retourne pas fille en bleu. Dit-une voix roque mais pourtant si fluide.
Je tremble comme une feuille. Qui est cette personne ? Que me veut-elle r44? je serre mon poing libre et engage la conversation.
-Q.. Qu'avez vous fait à.. à ma famille ?
-Ils n'ont pas voulut coopéré mais toi si hein princesse ? Murmura-t-il au creux de son oreille.
Sans qu'elle ne s'y attend et moi non plus je me retourne mais reste tétanisé face à lui. Il est si grand, métissé, des lèvres à la fois fines et pleines, ses cheveux sont coiffés en brosse dans un brun sombre, mais le plus incroyable était la couleur de ses yeux, un rouge vermillon, un rouge sang.
-Merci. Dit-il alors que ses deux canines du dessus s'allonger pour devenir deux crocs acérés.
Je déglutis quand il grogne une nouvelle fois, sans demandé mon reste je fuis vers l'entrée, puis vers la grille alors que le vent frapper sur ma longue robe turquoise qui est beaucoup trop légère pour cette hiver des plus agressif. J'arrive à la grille entrouverte passe de l'autre côté et m'arrête devant la Forêt Perdue je ne bouge plus quand je me retrouve avec un corps inconnu contre le mieux puis sa voix qui raisonne dans ma tête et ses lèvres contre mon oreille me font frissonné de peur et des sanglots m'échappe tellement la situation est sans espoir. Il va me vidé jusqu'à la fin.
-Chuuut calme-toi Oriane Perez ça va être très rapide et indolore, tu ne sentira rien. Déclare le buveur de sang tout en lui caressant le cou alors qu'elle perdait tout ses moyens.
J'attends mon sort, je ne peux pas y échappé, non. Je ferme les yeux et attends quand je sens la pointe de ses canines contre ma peau tout mes sens se réveille, mon instint de survie prend le dessus et le premier geste qui me vient et de planté avec toute la rage que j'ai mon genou dans l'entre-jambe de l'inconnu qui comme n'importe quel homme gémit de douleur et tombe au sol.
- Je-Ne-Suis-Pas-Un-Vulgaire-Tas-De-Sang-Espèce-De-Gros Psycopathe !!! Hurle Oriane en frappant son ennemi à terre d'un second coup de pied bien placé.
Je fuis sans demandé mon reste vers la Forêt Perdue, le vent siffle à mes oreilles, des branches au sol se brise sur mon passage, je regarde sans cesse derrière moi, ma robe se prend dans une branche je tire dessus et me retrouve contre un arbre haletante alors que le nosferatu(3) ressemble de plus en plus à une bête sauvage.
-Fini de jouer maintenant. Rugit plus que autre chose le jeune homme.
-Non ! Cris la demoiselle horrifié.
Il plante violemment ses crocs dans mon cou et se mit à boire gouluteusement mon sang comme ci c'était un nectar rare et précieux. Je le frappe de toute mes force pour l'arrêter mais plus il me vide moins mes coups son fort et insistant, je faibli progressivement. Alors que je me sens partir il s'arrête, retire ses crocs encore rouge et me regarde avant de me dire avec un ton beaucoup plus doux presque protecteur :
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The Universal
VampireLorsque le destin rattrape les Perez c'est leur fille qui en paye le prix.. C'est avec un "si" que se construit cet univers... Et si les mythes, légendes et autres histoires fantastiques avaient eu lieu mais que seuls les plus ordinaires des êtres a...