Luxure et Vanité

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Elle ne sentait plus ses jambes et pourtant elle continuait à avancé broyant le bras de son compagnon qui la coller littéralement contre son torse grognant par moment et au premier pan de mur d'un couloir vide arracha la dentelle de sa vampiress qui frissonna et tira sur son jabot pour reprendre la route avec plus de force tout en défaisant son nœud dans une respiration forte que Leegah trouva plus que surprenant car il semblait parfaitement conscient de sa situation d'immortel mais il continuer à avoir ses réflexes humains puis une conversation en compagnie de sa mère quelques semaines après l'ansøgning lui revint.

Étouffée dans ma front-zone à l'anglaise aux couleurs de mon futur clan, devant une tasse de thé factice face à ma mère je regarde cette pauvre fleur au fond de cette tasse qui fane progressivement alors que l'infusion deviens de plus en plus rouge pivoine.

-Leegah ?

Je lève lentement la tête pour croisé le rouge de ses yeux et ses cheveux de feu qui tenait en une natte complexe et truffé d'épingles d'or. Je lâche le manche de la tasse et repose mes mains sur mes cuisses serrées.

-Mère ?
-Ton union avec le futur Souverain des Olphuis sera éminente, sa soeur succédera à la Reine Trish uniquement si son apprentissage est abouti et concluant et également si elle trouve un compagnon et de se point de vue
-Je suis plus abouti que la princesse Giselle, Finis-je à sa place. C'était donc cela, tout ses cours de langue et de tenue, ses heures d'apprentissage approfondi, ses leçons longues et épuisantes, je suis donc destiné à .. à quoi suis-je destiné ? Je n'enfanterai jamais, je ne gouvernerai pas, je n'aurai jamais de trône alors qu'est ce que vous allez bien pouvoir faire de moi ?
-Te faire Reine-mère d'un clan allié, les enfants il y en a une jeter dans le clan des Olphuis non ton destin se trouve dans l'ombre d'un futur Roi qui ne jurera que par toi et dans la persuasion de la Souveraine Trish que tu ferait une bien meilleure successeur que Giselle ainsi tu gouvernera et nous aurons une alliance durable et solide de plus Aron n'est pas si ancien que cela il a exactement 30 ans et toujours les même réflexes humain c'est d'ailleurs se qu'il fait son charme il te convient à la perfection.
-C'est
-C'est la dure loi de la politique. Préparez vous à présent, nous avons un repas royal dans deux heures.

Elle quitta la pièce dans un velours de beige qui glissa sur le parquet blanc de la pièce de vie des dames.

Elle prit une profonde inspiration alors que Aron extirper l'un de ses seins du corset à présent partiellement lasse depuis l'écartement violent offert par son Altesse le Prince Aron qui s'attaquait à son sein charnu dont le bout de chair sombre durcissait sous ses assauts alors qu'elle le repoussait pour pouvoir reprendre le contrôle, elle réussit à lui prendre le visage en coupe et trembla en croisant le vert de ses yeux et dans un gémissement plaintif l'embrassa avec désespoir face au plaisir ressenti. Lui baladait ses mains sur son manteau de robe venant pincer son fessier rebondi et chassa tout les produit de beauté et petit bibelot d'un buffet peint de rouge, souleva ses jupes et aventura sa langue dans des parties gonflé de désir de la jeune monarque qui hurla de plaisir et froissa son taffetas tout en se cognant contre le mur alors que des grognements bestiaux lui déchiré la gorgé et qu'un feu intérieur réduisait en cendre son bas ventre devenu douloureux, elle l'appela pour qu'il lui laisse un temps de répit, mais au lieu de cela chassa le sous-vêtement et revint vers la métissée qui l'accueil entre deux bras tremblants aux mains maintenant recouvertes de griffes et non de simple ongles déjà bien long, sont regard argentés vira sèchement au bleu cyan et elle se fixa dans le psyché réalisant sa situation d'affamée alors que le prince lui baiser le cou avec vivacité. C'est lorsqu'elle fut prise de pulsion qu'elle le repoussa violemment essoufflée par sa résistance face à sa soif, mais Aron n'était pas non plus dans un meilleur état, ses yeux verts était de nouveau argentés et ses crocs proéminents, menaçants, Leegah le fixa partager entre la teriffication et l'envie de mordre l'homme face à elle qui se redressait avec lenteur et enlevant son frac maintenant irrécupérable, son jabot était de travers et ses ongles sombre et aiguisé s'enfoncer dans le premier meuble qui fut la pauvre bergère bordeaux de Leegah qui laissa volé des plumes d'oies et d'autruches dans tout les sens et c'est d'une voix caverneuse que le vampyr au regard d'argent s'adressa à elle

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