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    Albus était monté furieux dans sa chambre, il posa l'enfant dans son berceau et se laissa tomber sur son lit.
Il regarda le plafond en essayant de contenir sa colère , ce gamin était l'être le plus haïssable qu'il est rencontré et en plus ! Son abruti de frère avait prit sa défense alors qu'il avait parler sur leurs mère !
Il soupira , était-il le seul être intelligent dans les environs ? Évidemment sa femme Skacharina était puissante et intelligente mais pas autant que lui , et puis c'était une femme après tout .
Il sera les dents en repensant à se gamin blond insolent , il allait lui faire payer son arrivée à poudlard , là-bas il était le roi et personne serai là pour protéger son jolie postérieure bulgare .
    Il se leva et alla à la fenêtre , de la il pu voir Geller qui écrivait sans doute une lettre .
Il le fixa, regarda chaque détail de son visage , son joli visage , avec ses belles joues rougits par la colère , ses jolies boucles blondes , ses petites lèvres pulpeuses . Il s'approcha de la fenêtre et continua à le fixer , faisant attention à chacun de ses mouvements , de son petit pincement de lèvre quand il eu aire agacé puis à ses beaux yeux bleus , ses beaux yeux bleus qui étaient grands ouverts avec une lueur  de colère et d'incompréhension dans le regard qui... Le regardait .
Albus ne pu s'empêcher de sourire , il le salua de la main .
-Comment vas tu boucles d'ores ? -Je te demande pardon !? , le plus jeune se leva et alla vers la fenêtre les joues encore plus rouges
-j'ai dit : Comment vas-tu boucles d'ores ? , es-tu sourd ?
-j'interdis un rustre comme toi de me nommer ainsi !
-parce que si je deviens ton ami j'aurais le droit de te nommer ainsi douce boucles d'ores ? , il rie légèrement devant l'aire colérique de Geller
Ne boude pas mon beau bulgare , ça donne des rides
-ferme la Dumbledore ! , il ferma ses volés sous le rire moqueur de l'anglais

     Pendant les semaines suivantes Albus ne cessa de taquiner Geller sur son physique. C'était devenu son occupation principal dans la journée .
La veille de la rentrée Geller tapa de manière furibond à la porte des Dumbledore , c'est Albus qui alla ouvrir et en voyant il haussa un sourcil de surprise et souri de manière amusé
-Je te manque boucles d'ores ?
Geller le poussa a l'intérieur et le poussa contre le mur
-Tu vas arrêter ton petit jeu incessant !
Albus continua de sourire et écouta son petit blond
Tu te comporte comme l'un de ces cupide être à peine sortis du ventre de leurs mère au lieu de te comporter comme un adulte responsable que tu devrais être !
-Ferme la chéri , il ne pu s'empêcher de lever les yeux au ciel 
-Ne m'appelle pas com..., il n'eut le temps de finir sa phrase qu'il se retrouva contre le torse d'albus
-Ça t'arrive d'arrêter de faire ton coincé boucle d'ores ? Il lui caressa le dos de manière relaxante ce qui fit énormément rougir  le plus jeune 

-Lâche moi Dumbledore , se débâtit Geller , Albus le lâche et le regarda en souriant , geller recula.

-Ne me dit pas que tu as peur de moi Blondine , ria l'aîné 

-Laisse moi tranquille ! , Geller sortie en courant de la maison et rentra chez lui sous les rire moqueur d'Albus

Une fois son rire calmé , il s'assit sur son fauteuil et ferma les yeux , avoir le petit blondi dans ses bras n'était pas désagréable, il se dit qu'un jour il devrait recommencer , juste pour avoir le plaisir de voir les joues de Geller s'empourprer de rouge. Un petit sourire se dessina sur son visage , à ses yeux Geller n'était qu'une petite vierge effarouchée et Albus comptait bien s'amusé de ça.


Geller rentra chez lui et se mit contre la porte , il avait le souffle court , des mèches bouclées tomba sur son front et ses joue été toujours aussi rouges . Il n'arrivait toujours pas à croire se qui venait de se passer. Pourtant son plan été simple : voir l'autre abruti , lui ordonner de le laisser , peut-être lui lancer un petit sort et puis enfin repartir aussi vite qu'il été venu. Mais rien ne c'était passé comme prévu, jamais , au grand jamais il n'aurait prédit qu'il se retrouverait dans les bras d'Albus Dumbledore en se faisant caresser le dos. Il avait l'impression que l'odeur de son ennemi était encré en lui , que ses mains été toujours sur son dos et son souffle qui chatouillaient ses oreilles  .

Il monta dans sa chambre et alla se coucher en espérant oubliait cette affreuse entrevue  

Deux ans d'amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant