Derniers combats dans l'arène

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PDV DE JASON:

Je regarda un peu l'arène. Je n'avais pas remarqué jusque là que le sable de l'arène était devenu rouge accause du sang qui avait coulé aujourd'hui. Ce qui allait bien avec le rouge des murs qui entouraient l'arène. Le public avait l'air légerement fatigué et ne criait plus. Le chef et sa femme étaient toujours là, impassible sur leurs fauteuils. Je vus aussi que la plupart des cellules étaient maintenant vide. Je m'attarda sur ma cellule et vit que sur un tabouret était posé un pantalon rouge rayé noir, un débardeur assortit et des baskets noir. Mes habits étaient en lembeau je ne me fis pas prié pour me changer. Je repensa à ma journée, elle avait si bien commencé, j'avais trouvé mon objectif en seulement quelques jours. Je l'avais coincé dans une clairière, il était à ma merci mais un lache m'attaqua par derrière. Je bouillais de rage. Je me retrouvais là avec tout ces morts, cela ne me faisaient aucun effet, j'en avais l'habitude mais je me posais des questions. Vont-ils me libérer ? Vais-je mourir ?   Qui vais-je affrontter en finale ? Et surtout pourront ils repondre à mes questions, je suis allé dans toutes les bases de données. Celle du conseil, celle des chasseurs de primes et même celle des humains mais rien, j'ai demandé aux plus grands scientifique. Personne, personne ne connaissait la réponse, comme si mes origines avait été éffacées. Je m'étais engagé comme chasseur de prime esperant un jour avoir comme cible quelq'un comme moi. Cela faisait pourtant 5 ans que je faisait ce métier, depuis que j'avais quitté l'orphelinat a 18 ans. Mais je me demande maintenant si c'était la bonne décision. Toute ces questions se bousculaient dans ma tête, je voulais mais ne pouvais pas arrêter de me les posers. Je regarda dehors et vit que le dénommé Sébastien était déja sortit, lui aussi avait un ensemble mais bleu contrairement à moi. Tout le monde regarda ma cellule, elle s'ouvrit et je sortis pour aller prendre mon arme.

Sébastien prit de nouveau un trident et moi un bouclier. Je sais c'est surprenant mais j'avais une idée derrière la tête. Le roi fit un discour.

-Bravo ! Vous vous rapprochez de la liberté, mais un seul survira !

Les cries du public retentirent bien plus fort que les autres fois et il y eut ensuite un silence de mort.

Les cornes de brume retentirent de nouveau et le combat commenca.

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Combats pour la survieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant