Le Souffres-douleurs

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Faudrait que j’écrive pour oublier mes soucis. Oui faudra bien que je m’y mis à méditer ces contemplations présumées faire partir du passé, Ces fausses méditations qui ne cessent de m’intriguer la tête, de me bouleverser et craquer le crane comme une pierre précieuse en verre.

Auparavant, je disais que les mots me manquaient totalement, pour dresser mes pensées, mais c’est le pire contraire. Les mots sont là, toujours présents, toujours en mouvement, mais difficile de m’y apprendre pour les extorquer, en vue de le ramasser et de le mettre dans un lieu parfaitement sur ; qu’est ma crane, ma tête, ce minuscule cerveau que j’obtiens, que je contrôle à chaque instants qui découle, à chaque moment qui passe si lasse, j’en passe. Oui qu’est ce qui m’arrive au juste, est ce cette fille qui est victime de ma situation actuelle ? Celle qui est rentrée brusquement dans ma vie, pour me chérir, pour que je laisse tout et toute suite.

En fin que je me rends dans un monde étrange, étrangement conçut, là où on ne trouve ni penseur, ni philosophe, ni écrivains, que je dois imiter une fois apparus dans cette province étrangère.

Je crois bien que c’est bien et belle elle qui ma métamorphoser, car je me trouve diffèrent depuis la première fois  qu’elle m’a demandé de l’embrasser si fort, si tendre, si parfaite, si séduisante outre jouissante.

Peu importe le mal ou la déception que je veux subir en l’ignorant, j’assumerai les séquelles, parce qu’il s’agit bien de mon avenir, un avenir pertinente je guette depuis des lustres. Sur ce je ne dois guère laisser aucune obstacles me piétiner sur mes parcours, mes projet à venir, bref, mes ambitions les plus précieux, les plus pertinentes et les plus appropriées.

Je suis un homme très normal mais j’aimerai que le fait d’être un vrai homme soit ma devise, c’est-à-dire un responsable, capable d’assumer n’importe qu’elle de mes responsabilités  ou devoirs, dans n’importe qu’elle condition. Car on m’a raisonné que l’homme ne doit rien craindre s’il s’agit de sa carrière, s’il s’agit de son avenir vers une vie future très cher et appétissante, sur quoi on ne peut point s’en apprendre une fois atteint le sommet de son épisode, jadis espérer et actuellement obtenue et intellectuellement bloquée et sécuriser, donc difficile d’affranchir, pour espionner ou déconnecter la source.

A force de penser à elle, je me sens parfois submerger par la terreur intense qui ne cesse de m’intriguer la tête, tout en me piquant d’un pincement gravissime et maléfique ; qui s’éteint parfois et qui s’enflamme quelques fois comme un volcan.

J’avais aussi du mal à dormir durant cette nuitée où tout le monde dormais, à l’instant où  on entendait ni aboiement, ni jappement, ni grisollement etcetera.

Le faite de penser à elle et de l’aimer m’a fait un vrai noctambule, somnambule à la fois. Je ne dormais point, je n’essayais même pas de fermer mes sacrés yeux. Je passais des nuits blanches à l’accoutumée, je restais éveiller comme un vrai fou ; surtout le jour où elle passa sa première nuitée à ma compagnie jusqu’au déclin du jour.

Cette nuit fut l’une de mes meilleures nuits, car c’est fut ma première fois de partager un même lit avec une copine, je m’excuse pour cette parole précédente mais fallait bien que je l’avoue ainsi. C’était extrêmement faramineuse voire romanesque, j’avoue ! 

La vérité est que ça dure des semaines que je ne parviens guère à écrire, à rédiger mes spéculations les plus imaginaires, sans pénitence ni contrition.

Ces rêveries qui n’arrêtèrent en aucune occasion de me divorcer de ce châtiment algique, atroce. Depuis qu’elle est apparue, ma vie à complètement changée. Elle m’a obligé à l’affecter, depuis notre première rencontre ; qui fut très classique mais captivante, séduisante à la fois.

Les mots se dispersèrent et s’envolèrent dans l’atmosphère, alors difficile de les collecter à nouveau ou pour l’éternité ; pour pouvoir les décrypter continuellement sans crainte dans mon ordi. C'est même  grave de penser à ces contemplations remarquables.

Hélas ! C’est réellement elle qui me tourne le dos encore. Je crois donc qu’elle est en train de jouer avec mes sentiments les plus favorables faites pour elle, depuis quelques jours.                                          

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