Mes spéculations africaines

76 1 1
                                    

L'immigration

Peur d'être pulvérisé, comme un œuf sur une colline
Peur d'être détesté comme un chien qui reçoit à perdre haleine  des cailloux mortelles
Peur d'être parmi les citoyens terrorisés
Peur d'être Commandant d'une telle foule InconscIente
Peur d'être expulsé Comme un philosophe expulsé de la société occidentale
Eh ! OUI peur d'être submergé dans la claustrophobie triviale
Peur d'être la risée de la jeunesse malienne
Peur d'être la haine du monde contemporain
Peur d'être l'assassin de cent innocents tuaient à coups de kalachnikov
Peur d'être parmi ces politiciens semant la corruption dans la nation entière sans trêve
Peur d'être ces gens soi-disant défendeur des droits des étudiants maliennes
Peur d'être coupable des désarrois inextinguible
Peur d'être abnégation aux yeux d'un tel roi malhabile
Peur d'être encré dans un gouffre blasphématoire
Peur d'être obstacle devant ce régime aléatoire
Peur d'être un reflet empli des bredouilles imaginaires
Peur d'etre une veritable bassesse, pleurant les parents
Peur d'être irresponsables dans notre hutte héritée
Peur d'être ombre d'une telle dignité
Peur d'etre importé dans une prison pénitentiaire des États Unis d'Amérique (le Gouantamo)
Je demeurais constant, sans dire un mot
Bouche coite,  Je ne fis que discerner le creux régnant dans ces frimousses ingenues
Peur d'être sans travail dans un pays où le mensonge demeure dominante
C'est dans cette perspective, que j'eu l'élucubration de ce leitmotiv périlleux, qui ne rien d'autre que L'IMMIGRATION
L'aventure sans retour probable
Impossible de s'envoler avec les vautours, l'action demeure palpable
Saounera Idrissa (le bénévolat)

Ma Nation

Sous la fulgurance de la nouvelle lune, je marchais
Couronné par la brise matinale, je Chialais
Vécu dans le berceau de l'humanité, je combattus
A cause du barouf des pruneaux, je me suis tus,
L'existence dans le gouffre impie de ma nation, Je sanglotais,
Submergé dans la frénésie, je demeurai Sage
En dévoilant ma rage contre ma page, dans ma base  confisquée depuis des lustres,
Par ce terrorisme monopolisant, demeurant  persistant AU NORD de ma superpuissance vénérée par ses générations fanées,
Et de la progéniture à venir dans le futur,
Flottée par la postérité du présent, Espérant Une Constance durable Et fameuse dans la cohésion et dans l'harmonie de chanter leur HYMME NATIONALE,#
  A TON APPELLE MALI,
ET leur DEVISE, Un Peuple-Un But-Une Foi,
Avec une pertinente foi, A fin de connaître chacun ses droits, Avec un bon respect des lois
Une personne qui pense
Ne se trouve jamais dans le désordre

Comme un bébé dans un berceaux enfantin
Je percerai un jour
Blanc comme neige
Je regrettai les mauvaises fréquentations
Étoiles et constellations
Jsui une nouvelle lune
Qui illumine l'univers
Toute personne avant de mourir, meurt enceinte, oui dans une véritable grossesse


Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Jul 01, 2017 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

La Poésie Dans L'africanitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant