Chapitre 8 ❤️

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PDV JIMIN

- Park Jimin, agent du département des élites du combat, groupe sanguin A, 20 ans, ancienne petite amie, Kim Yuri du département des élites scientifique.

L'inconnu qui se trouvait devant moi marchait de droite à gauche, puis se posta devant moi et  jeta des feuilles sur le bureau de mon chef. Un coup d'œil sur celle ci, me suffisait pour voir qu'elles contenaient toutes les informations que la E.K.S.A avait sur moi; en autre, toute ma vie.

J'étais ligoté sur la chaise face au meuble sur lequel mon existence était étalé, de part et d'autre de moi, se trouvaient des hommes de cet inconnu qui détenaient des pistolets.

Que veulent t'il savoir au juste? De toute manière je ne suis au courant de rien... À pars si ces hommes sont ceux du gouverneur Lee? Non impossible, comment connaîtrait t'il l'existence de cette organisation? Personne n'est au courant omis le président. 

- Tu ne dis rien jeune homme?

L'étranger, qui je présume est le commandant s'appuya sur le bureau et me regardait.

À ton avis? Si tu n'entends pas le doux son mélodieux de ma voix, c'est que je ne parle pas. Imbécile il faut bac plus combien pour savoir cela. Je me retenais de ne pas cracher ce que je venais de penser sur ce sombre crétin.

Sa réponse à ma non réaction, fit que l'un des hommes musclés à ma droite, approchait son revolver de mon cou. Je déglutis, mais je ne laissais rien paraître. Il ne faut pas montrer que l'on est faible, sinon tout est fini. Telle est l'une des règles de mon organisation.

J'entendis un souffle d'agacement et un bruit sourd de chaise qui venait de s'éclater sur le planché. L'homme d'une vingtaine d'année qui essayait de me terrifier il y a quelques minutes serait il déjà agacé? Un rire étouffé sorti de ma bouche et je baissais la tête par réflexe croyant le cacher. Suis je suicidaire? Je crois bien.

L'énergumène en question me toisa et se permit de me gifler. Et non de main morte puisque je sentis un liquide couler sur ma peau. Je crachai le sang qui s'accumulait dans ma mâchoire sur cet enflure qui le reçu en pleine tête. Mes yeux rencontrèrent un minuscule détail sur la petite poche de sa veste de costard, et c'est cette minuscule chose qui me fit comprendre son identité...

PDV YURI

J'étais toujours à cet endroit, ma vue était couverte, flou, trouble, indécise, je ne pouvais plus  distinguer ce lieux qui était imprécis à l'un de mes cinq sens. Le corps de Jin disparaissait petit à petit de mon champs de vision, tous ce que je pouvais voir c'était son sang qui coulait et les blessures qui le recouvraient. Je savais qu'il n'avait pas changé de position et qu'il était toujours au dessus de moi mais je ne sentais plus rien, son poids s'écrasant sur moi ne se ressentait pas, c'est comme si j'étais anesthésié, je discernais à peine les sourires victorieux de ceux qui nous ont rendu dans cet état, mais je ne pouvais les entendre. La dernière image que je percevais, était celle du corps de mon coéquipier qui tombait sur le sol et une puis deux gouttes tombé de mon visage. J'étais en train de pleuré? Je ne sentais vraiment plus rien, ne serais ce que mes propres larmes. Ma mort sera vraiment l'une des plus pitoyables, à vrai dire comme mon existence. Je n'ai pas été capable de protéger ne serais qu'un seul de mes coéquipiers, c'est toujours eux qui me sont venus en aide. Si Jin ne s'était pas posté devant moi, si j'avais été assez forte pour subir ces coups, il ne serait pas dans cette état. À vrai dire si tout simplement je n'avais pas commis la même erreur, je ne serais pas là, et j'aurais pu le protéger. Je n'aurais rien fait qui mérite de la gloire au sein de la E.K.S.A au au sein de la population non plus, alors c'est bien que je meurs comme cela non?  Mais lui a fait tellement de chose qu'il ne le mérite pas, et il partira comme moi, comme une personne qui n'a rien fait d'héroïque dans sa vie. Et tout ça part ma faute.

Mes yeux se fermèrent, et les ténèbres obscurcissaient petit à petit ma vision, jusqu'à devenir du noir total.

PDV JIN

Je ne pouvais plus, je n'arrivais plus, mon corps tomba, le choc contre le sol me fit ouvrir les yeux, je la vis, ma coéquipière tomba elle aussi. Mourir ainsi? Je ne l'aurais jamais imaginé. Elle était ensanglanté, sont visage était méconnaissable, ses habits recouverts de son liquide rouge, enfin c'est ce que je pouvais percevoir à travers le brouillard qui était dans mes yeux, mais la réalité devait être encore pire.

Je la regardais ne pouvant rien faire, je ne pouvais que me remémorer ce que Jimin me disait à propos de son sujet. Le sourire niait qu'il faisait quand il parlais de cette mystérieuse Yuri, l'inquiétude qu'il se faisait quand elle partait en mission seule ou accompagnée. Les larmes qu'il avait verser lors de cette mission qui les avaient séparé. Son regard quand il l'apercevait. Toute ces choses qui le rendait fou amoureux. Une larme coulait je la sentais et je la vis tomber, c'est la dernière image que je percevais; ma larme s'écrasant sur le sous sol de ce gouverneur avec Yuri en arrière plan dans un état plus que critique.

Désolé Jimin. Je n'ai pas su la protéger. Pardonne moi.

PDV JIMIN

- Donner moi de la drogue liquide, on doit le faire parler.

Un des malfrats de l'homme qui ne l'ai plus inconnu, obéissait.

La porte claqua signe qu'il était partit, et le chef de cette opération s'approcha de moi. Il prit mon menton et me détailla. D'un coup brusque, il poussa la chaise d'un coup de pied, et ma tête heurta fortement le sol de la pièce.

J'entendis une fois de plus la porte claquer, et le jeune homme parti il y a quelque instant était revenu avec une mallette noir. Celui qui m'as tantôt donné un coup de poing et qui m'a fait heurté le sol l'ouvrit, et ce saisit d'une seringue et d'un flacon contenant ce qu'il désirait. Il mit le contenu dans la seringue et s'approcha de mon coup. Je sentis le métal fin s'implanter dans ma peau et venir me piquer, le liquide contenant des substances illicites pénétrer dans ma veine. Une fois cela fait, il ordonna à ses hommes de partir disant devoir laisser agir le mélange de plusieurs drogue en moi. Des bruits de pas se dirigeais vers la porte et ils partirent me laissant dans cette pièce....

Coéquipier? Où les histoires vivent. Découvrez maintenant