Je veux vivre [ Version Bellarke ]

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Cela fait un jour que je suis rentrée chez moi, j'ai appelé Bellamy pour m'excuser de l'avoir rejeter et il m'a dit qu'il passerait pour me parler. Je sais que je suis quelqu'un de difficile, la vie ne m'a pas fait de cadeau et aujourd'hui j'ai peur que l'on m'abandonne mais Bellamy m'a prouver plus d'une fois qu'il tenait à moi et qu'il ne me laisserait et je pense que cette discussion même si elle à l'air très gênante va pouvoir me rassurer et mettre au clair notre relation. En l'attendant je me repose en lisant un livre, quelques heures plus tard j'entends la sonnerie et un porte s'ouvrir, je descend mais quand je vois mon père s'approcher de Bellamy pour lui parler je m'arrête des les escaliers et me fait très discrète pour écouter.

-Bellamy je suis au courant de la situation entre toi et ma fille et sache que même si je ne suis pas d'accord, je ne ferais rien contre mais avant il faut que je te dise quelques choses.

-D'accord

-Tu sais Clarke est malade, elle à une leucémie, je ne sais pas si tu sais ce que c'est ou si tu t'es renseigné sur sa maladie mais c'est très grave...

-Monsieur sauf votre respecte, je sais que Clarke va mourir, je sais aussi que cette maladie fait des ravages vers la fin.

-C'est bien je voulais juste que l'on soit claire, je ne voudrais pas que le moment où la vie deviendra le plus dur pour Clarke tu la lâcherait... Je ne veux pas qu'elle souffre c'est tout.

-Tout ce que je pourrais dire ce vous ferra sûrement jamais changer d'avis mais je vais le dire quand même. J'aime votre fille, je l'aime sincèrement et je sais que l'on est jeune et que Clarke n'est pas la dernière fille dont je tomberais amoureux mais aujourd'hui je suis amoureux d'elle, j'ai mis le temps à m'en rendre compte et ça serait mentir de dire que je n'ai pas penser à la fuir elle et mes sentiments pour elle mais ils sont trop important à mes yeux pour que je les laisse. J'ai essayer de vivre sans et je n'y est pas arriver, votre fille est la première personnes qui me comprend vraiment et qui me rend heureux. Je sais que notre histoire ne sera pas un conte de fée, je sais que la fin sera fait de malheur et de larmes, mais je ne peux m'empêcher de penser que ce que l'on a aujourd'hui est beau et que la fin ne gâche en rien ne bonheur que nous vivons aujourd'hui. Je veux profiter des dernier bons moments que j'aurais avec elle pour avoir de bon souvenir. Je sais que tout le monde pense que je sors avec elle pour la sauver mais la véritable raison est que je sors avec elle parce qu'elle m'a sauver et non l'inverse.

-Clarke ?

-C'est vrai ? demande-je les larmes aux yeux.

J'étais descendue pendant sa déclaration, je ne pensais pas qu'il pensait autant de choses et je ne pouvais pas faire comme si je l'ignorais alors je suis descendue pour le rejoindre.

-Oui, bien sûr que oui... Je sais que c'est assez brusque mais tout ce que j'ai dis est vrai, je suis amoureux de toit Clarke et je ne compte pas te laisser tomber, je serais là jusqu'à la fin.

-Je t'aime aussi dis-je en avançant pour aller l'embrasser.

Je sais que l'on dit que l'on naît seule et que l'on meurt seul et c'est vrai mais ce que l'on ne dit pas c'est que le moment entre les deux, ce moment où l'on est censé vivre notre vie qu'elle soit longue ou courte, on n'est pas obligé de la vivre seule. J'ai choisi de faire confiance à Bellamy car j'ai compris que la vie mérité d'être vécus à deux et que quand cette chance ce présente il ne faut pas la laisser passer.

On a pas les semaine suivante à profiter des bons moments, on est aller au restaurant, au cinéma, à la patinoire. On est rester chez moi ou chez lui, on a jardiner, on a parler, on s'est embrasser mais surtout on à passer de bons moments. Des vrai bon moment, ces moments où tu ne peux pas t'empêcher de sourire et ce sourire est vrai et remplis de bonheur. Les semaines passaient et j'avais l'impression de vivre éternellement avec Bellamy. Au bout de un mois, je me suis décidé à lui montrer la liste, bien sûr je lui en avais déjà parler mais il ne l'avais jamais vue et j'ai peur de sa réaction face à un certain vœux.