Un homme grand et maigre d'une élégance parfaite était assis dans un parc à contempler le paysage plongé dans ses pensées. Il n'était ni heureux, ni triste, ni en colère. Il n'avait pas peur. Il était seulement assis là comme tous les jours et comme tous les jours il attendait l'heure où il pourrait rejoindre son poste aux bureaux situés près du parc. Ni trop près, ni trop loin. Il prenait toujours le temps de trouver du temps à nouveau. Pour profiter de son reste de vie.
Il n'avait aucune femme qui l'attendait impassiament en se demandant si son homme était fidèle. Aucun enfant à l'école à aller chercher à l'heure pour ne pas qu'il rentre seul pour finir par croiser des personnes louches. Plus aucune famille de qui s'occuper. Il n'avait jamais souhaité que des gens l'entoure. Il ne voulait rien de plus que ce que sa petite vie pouvais déjà lui offrir.
Cependant une seul chose le fasciné à un point inimaginable. L'immortalité. Depuis tout petit déjà il y songeait d'une imprudance pure. Mais c'était la seul chose qui ne l'est jamais tourmenté. Alors, se disaient ses parent, laissons le avoir une source d'espoir, même pour la chose la plus futile au monde. Il oubliera et il trouvera une vrai passion. Seulement jamais il n'oublia. Il avait fait pire que ça, des recherche des nuits durant sur des potentiels possibilité. De soi-disant magiciens au voyante les plus folles. Il était passé par tous les moyens du monde. Mais à chaque fois, une somme d'argent d'une quantité qu'il ne pouvais pas se permettre lui étais demandé. Et pour lui c'était formel, l'immortalité n'avait pas de prix. Et même s'il étais capable de tout pour y arriver, c'était son principe. L'immortalité lui viendrais d'une personne sage sans lui réclamer de l'argent ou un service en retour. Mais cette personne n'existait peut-être pas. Cela le deprimait dès qu'il y pensait. Mais sans le décourager pour autant.
La montre accrochée à son poignet vibra. Il ne pris pas la peine de regarder l'heure qu'il étais. Il savait qu'il étais l'heure d'aller travailler. Il se leva, pris la malette à ses pieds et parti dans la même direction que d'habitude. Il marcha 7 min 24 précisément.
Il aimait cette précision. Il aimait le temps c'était fascinant voilà pourquoi il voulais être immortel. Vivre à travers le temps pour toujours. C'est ça qu'il souhaiter.
Il poussa la porte d'un immense bâtiment blanc et pris les escaliers pour se rendre au 3ème étage.
Il ne prenais jamais l'ascenseur. Car si celui-ci restait en panne il perdrais un temps précieux. Ça lui étais arrivé la première fois qu'il l'avait pris. Il le maudit et jura qu'il ne prendrais plus que les escaliers. Et ce fut ce qu'il fit.
Arrivé au 3ème étage il tourne à droite pour se retrouver dans le bureau de son collègue. Il n'est pas encore là alors il décide de commencer son travaille et continue son chemin jusqu'à arrivé à son bureau. Il s'assis à sa chaise et commence à sortir des document de sa malette.
Il commenca son travail habituel.
Sa vie ressembler à ça. Mais ça lui convenait. Il ne voulais ni plus ni moins. C'est pour ça que personne ne l'avais jamais compris. Qui pourrait comprendre qu'avoir une vie banal et ennuyeuse pouvais convenir à quelqu'un. Il n'avait jamais étais triste comme ça.
Mais pour une fois il étais en manque. En manque de quelque chose mais il ne savais pas quoi. Et ça ne le préoccupé pas plus que ça. Malgré le fait que pour une fois il rêver de quelque chose. Il rêver d'être immortel.
À la fin de la journée, il n'étais jamais épuisé mais jamais en pleine forme non plus. Il sortit du bâtiment dans lesquel il avait passé tout son temps et se diriga pour la première fois vers un bar.
Il se disait que partout ou il aurait pu trouver quelqu'un pour l'aider, il n'y avait personne. Alors il devait aller là où il ne pouvait jamais trouver quelqu'un pour l'aider. Ce raisonnement pouvait sembler stupide pour certaine personne mais pour d'autre c'était brillant.
Il entra dans le bar et alla s'asseoir au comptoir. Il commanda un verre d'eau qui arriva assez vite et le bu très lentement.
Il attendait que quelque chose se passe. Que quelqu'un se présente à lui peut-être. Mais même au bout de 20 min personne ,appart quelque âmes ivres et égaré, ne rentrerent dans le bar. Mais sa patiente étais si fiable qu'il ne partirais jamais avant d'avoir trouvais quelqu'un ou quelque chose.
Le brouhaha qui résonnait dans le bar lui donnais mal à la tête et même s'il n'avait consommé que de l'eau il avait le vertige et ses yeux lui piquaient. Il n'étais jamais restait aussi longtemps dans un endroit pareil. Un endroit "nuisible" à sa santé pensait-il. Mais ce n'étais pas en mal, il n'avait rien contre les gens qu'y frequentait des lieux comme celui-ci. L'évolution lui avait été trop rude apparemment. Il ne comprenais juste pas certaine chose de la vie.Comme tous le monde.
La porte qui s'ouvrit laissa le froid entrait et fit frissoner le chatain assis au bar. Cela lui deplaisait encore plus mais il ne fit rien, il ne regarda même pas qui étais l'auteur de ce cet acte désagréable. Ça ne servait pas à grand chose. Il savait que la porte serait de toute façon fermer, ce qui ce fit quelque instant plus tard.
Une présence sinistre entra et se dirigea vers le bar. Arrivé dans la lumière qui trônait au dessus du comptoir on pouvait distinguer qu'il ne s'agissait que d'un homme très simple au regard noir et à la chevelure foncé. Il avait tout de même l'air un peu perturbé mais personne n'y fit attention. D'ailleurs presque personne ne lui accorda un regard ou un bonjour. Il alla s'assoir près de l'homme en costume et ne fit plus rien d'autre pendant un bon moment. Puis il commanda un verre d'alcool le plus fort. Il le bu délicatement comme s'il s'agissait d'un prevage rare et indispensable. A chaque gorgé c'est comme si il renaissait. Il fermait les yeux pour boire et les ouvret à nouveau après. À la fin du verre, un sourire satisfait apparut sur ses lèvres. Il devait se sentir mieux.
