dear wonwoo | FR

Chapter Five

11/08/15;

"Merci pour ce délice Hari!"

"Oui, pas de problème."

C'était un chaud mardi après-midi. Pendant le déjeuner, Hari a demandé si Wonwoo voulait retourner au café afin qu'elle puisse le faire.

Elle était fière d'elle. Hari fut la première à parler à la place de Wonwoo. Après tout, Wonwoo est la première personne avec qui Hari aie commencé la conversation.

Les deux marchèrent ensemble dans un parc voisin et s'assirent sur les balançoires. C'était juste eux et un petit garçon avec ses parents.

Je dois lui dire bientôt. Seulement environ 20 jours restent disent les médecins, peut-être même moins, jusqu'à ce que je devienne un souvenir faible. Je ne peux pas ne pas lui dire. Pendant le déjeuner, il verra que je ne suis plus là et ça l'amènerait à se demander pourquoi.

"Wonwoo, fais-tu quelque chose ce samedi?"

"Hum, non, pourquoi?"

"Génial, alors viens me voir ici à quinze heure okay?"

"Ah d'accord." Wonwoo allait en dire plus quand le téléphone de Hari sonna.

"Bonjour?"

"Hari, pourquoi n'es-tu pas encore à la maison, où es-tu?" Elle roula des yeux.

"Je suis au parc, papa."

"Pourquoi es-tu au parc? Reviens à la maison, maintenant." et la ligne se tut.

Hari soupira. "Je suis désolé, je dois y aller, à demain!" puis Hari était hors de sa vue.

Je n'ai pas pu lui demander. Je n'ai pas eu à l'avouer.

Et il regarda vers le ciel.

"Excuse-moi?" et quelqu'un lui tapota la jambe.

"Oh salut!" c'était le petit garçon.

"C'était ta petite amie?"

Wonwoo rit doucement. "Pas encore mon pote."

"Pourquoi pas encore?"

"Je ne lui ai pas demandé, mais bientôt."

"Oh, elle est jolie."

"Oui, elle l'est, je ne peux pas attendre qu'elle soit à moi."

Le petit garçon riait. "Si vous sortez ensemble, assure-toi de bien la traiter! Juste comme mon père traite ma mère, okay?"

Wow, pour un petit garçon, il en sait beaucoup.

"D'accord, je le ferai."

"Taeguk! Nous rentrons à la maison!" appela sa mère.

"Okay maman, salut hyung!"

Wonwoo hocha la tête et se sourit à lui-même.

Pas encore mon pote, mais assurément, elle sera mienne.