Chapitre 1

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CHAPITRE 1

C'est fini, la neige tombe doucement, le vent se lève et le soleil se couche aux pleurs des enfants. Rien ne sera le même. Dans un monde, où la ville s'étandait sur la peur des ombres et dans ce monde-ci où les regards peuvent tout dire. Dans un monde qui, n'aurait pas de cœur. Je ne regarderais plus les humains comme avant. C'est fini.

On voudrait dire et faire plus mais, la mort n'est qu'un trou dont le fond ne fini point. Une bataille, voilà. Le monde n'est qu'une bataille, une vraie guerre mais il avait Nalida. Nalida la guerrière silencieuse. Ses cheveux bruns long et lisses, des joues rosée et une peau pâle. Des petites mains fortes et une petite bouche dont les lèvres étaient rouge comme le sang sur les champs de guerre. Ses yeux, ses yeux te racontèrent une histoire.

Mais, les humains regardaient Nalida comme une folle car elle n'agissait pas comme le monde humain. C'est bien normal. Les humains marchaient vers la modernisation et Nalida, l'imagination. Vous en faites pas, je la surveille depuis sa naissance. Elle vit seule malheureusement. Sa tristesse et ses maleurs dont elle ne puit s'enfuir la mettait dans une vie dont les humains gardent égard.

Nalida avait au moins cinq ans quand elle est venu au monde des humains. Un gentil vieux couple la rapportèrent chez eux quand ils ont trouvé cette douce fleur sur le bord du trottoir dans la neige blanche. Avec tout les soins et l'amour qu'ils ont apporté à elle. Nalida ne parlait pas. Le mystère et la peur des ses souvenirs lui coupait la parole. Je ne la blâme pas. Elle est jeune, mais un jour j'espérais la voir grandir et oublier le passé pour enfin s'ouvrir et sauver le futur.

Son entourage était que du négatif. Elle n'avait aucun ami à cause de sa façon d'agir, d'apprendre et de communiquer. Elle se faisait souvent insulter à l'école primaire comme la "muette" ou "l'intrue". Même les professeurs n'osaient pas toujours la regarder. La pauvre, j'aurais tellement eu le goût de la protégé mais, on m'interdissait à la faire. Comme j'ai dit, il faut qu'elle s'oublie du passé et faire face à ses ennemis lors des moments difficiles. Cela brisait mon cœur car, elle savait que j'étais là et chaque jour, elle attendait que je vienne l'emporter en sécurité, hélas.

À 10 ans, alors que son anniversaire était le lendemain,à l'école, rien était de positif. Sa professeure, Me. Sotile posa de élève à élève un question sur la matière. Nalida, au bout de la classe, était la dernière. À son tour, Me. Sotile hésita et pensa de l'oublier et retourner à son cours. Mais non, elle lui posa une question assez facile et, Nalida ne répondit point et elle ne la regarda même pas.

Denis, un élève agressif et méchant, lui criait des insultes et des complaintes disant que Nalida n'était qu'une stupide muette qui n'a pas de tête, qu'elle est un gros bébé qui veut juste de l'attention et qu'elle s'est fait adopter par un vieux couple qui on jamais eu d'enfants alors ils s'en prennent des enfants qui vivent dans la rue car ils étaient trop stupides pour vivre dans une famille. Ces insultes menaient à d'autres méchants commentaires des autres élèves. Nalida se cachait dans ses bras pour cacher ses larmes. La rage l'envahissait mais elle ne exprima aucune actions ni de commentaires.

Ça continuait jusqu'à la cloche pour la récréation. Nalida était la première à sortir. Elle croyait que, une fois dehors, ils arrêterons tous mais, elle avait tort. Seul Denis et sa gang continuait. Ils l'encercla et commença à la pousser, à lui battre. Nalida tomba à terre désespérée. Les profs remarqua enfin et ils se dirigent lentement vers eux. Alors que Denis les apperçu arrivé, il décide de partir en courant en arracha le collier de Nalida. Il compris qu'il avait fait une très grosse erreur. Des ombres noirs, épais et effrayant sortit du cou de Nalida. La garçon s'arrêta net, et se retourna vers les ombres, terrifié. La pauvre était incapable de le contrôler, elle devenue faible et ses yeux était blanc. Les ombres se précipitèrent vers Denis et dans une hésistation, avant qu'ils se prenent au jeune garçon, il lui murmure: «Je vois tes rêves, tes désirs et tes cauchemars. Une seule façon de sauver ton âme, dit le moi et ta peau sera sauvé par ceux qui le désirons.» Mais, Denis terrifié, ne pus rien dire et les ombres le tua par un sombre nuage. Les ombres retournèrent dans Nalida. Nalida, effrayée, ne dit pas un mot. Elle essuya le sang qui coula sur son petit nez avec le revers de sa main. Elle se relèva en larmes et reprena son collier perdu dans la neige épaisse. Quand elle se retourna, elle ne voyait qu'une foule d'enfants et de professeurs terrifiés de la scène meurtrière.

Quand elle vit le vieux couple, elle se diriga vers eux espérant qu'ils la prennent des leurs bras et qu'ils la réconforte mais, lorsqu'elle s'en approchait, ils reculèrent sans la quitter des yeux pleins de peur et de dégoût. Elle compris donc, qu'elle n'était qu'un cauchemar. Alors qu'elle entendit la sirène des policiers, elle s'enfuya où elle espérait trouver la liberté, de l'amour et de bonté. Nalida n'était pas mauvaise ou une meurtrière au contraire, elle est merveilleuse, elle est seulement prisonnière d'un sort. La voir sourire est comme une fleur plein d'espoir dans les moments difficiles.

C'était comme cela quand elle rencontrait les Firal.

Ombres meurtrieresWhere stories live. Discover now