Ses parents n'étaient pas au courant de la souffrance qui l'a hantait. Seul dans son monde, perdu de toutes réalité, elle pensait trouvé une èchapatoire ou elle pourrait s'évader sans que personne ne s'en aperçoive. Muni de son compas, de ciseaux et lame de rasoir, elle finit par céder. Rien ni personne ne pouvait l'arrêter car elle s'était égarée. Personne pour en parlé.
Au fond elle avait peur de ce que pourrait penser les gens.
Elle n'était plus elle même. Elle voulait luté, jusqu'à ce que son coeur ne cesse de battre, et ne jamais abandonné. Elle savait ce qu'elle voulait, être heureuse. Elle se battait contre elle même.
Il y avait des jours si gris, des jours de pluies. Des nuit si noir, des nuits de désespoir.
Des instants de souffrance, sans espérance. Des moments de silence, des moments d'èrrances.
Elle trouvait refuge dans les lignes rouges. Elle était très forte pour cacher ses souffrances intérieures et encore plus forte pour cacher ses blessures extérieures.
