Chapitre 4

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Elle était victime de l'automutila tion. Elle jouait ce rôle, le rôle de faire semblant, ellele avait peur. Elle ne voulait pas de pitié et pas de jugement.

C'était le prix de sa différence.

Elle était spectateur de sa propre déchéance, elle se retrouvait impuissante. Elle vivait dans la douleur du passé et dans la peur de demain, dans l'attente de jour meilleurs mais qui souvent ne viennent pas. Elle se faisait du mal pour ne pas s'arrêter de respirer.

Sa maladie n'était pas un jeux, elle était bien réelle.

Elle à mis fin à sa vie, par faiblesse et non par lâcheté, c'est fait du mal pour combler son manque.. Ce mot de désespoir que l'on appelle souffrance.

À fleur de peau, écorchés vifs, souffrants au plus profond de non chairs, nos émotions son déculpées.

La souffrance engendre la solitude,

la solitude engendre la dépression,

et la dépression engendre l'autodestruction.

Les traces du passés révèlent l'existence d'un coeur meurtris mais les gens ne savent pas lire entre les lignes.

Parce qu'il y à toujours un peu de vérité derrière les « je rigole »..

Un peu de curiosité derrière les « je demandais juste »..

Un peu de mensonges derrière les « je m'en fous »..

Mais beaucoup de souffrance derrière les « ça va merci ».

Conscients de la vie et de ses tragédie.. une différence de vécu fuyants du connu, souciants l'inconnu. La peur de l'échec, voici ce qui nous lie !

Un passé propre à soi même mais une détresse commune.

                      The End.

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⏰ Dernière mise à jour : Dec 29, 2013 ⏰

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