Le Viol

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Le viol est défini par le Code pénal (article 222-23) comme tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par violence, contrainte, menace ou surprise. C'est un crime passible de la cour d'assise.
On distingue le viol des autres agressions sexuelles à travers l'existence d'un acte de pénétration qui peut être vaginale, anale ou buccale. Cet acte peut être réalisé aussi bien avec une partie du corps (sexe, doigt, ...) qu'avec un objet.
La peine encourue par l'auteur d'un viol est de 15 ans de prison. Cette durée est portée à 20 ans dans certaines circonstances, notamment lorsqu'il est commis sur un mineur de quinze ans ou par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacs. Le viol est puni de 30 ans de réclusion criminelle lorsqu'il a entraîné la mort de la victime.

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OMNISCIENT, passé

La fête battait son plein : des verres rouges jonchaient au sol, des gens de toutes sortes se trémoussaient ( et transpiraient, beurk), une fille aux toilettes vomissait pendant que sa fidèle amie lui tenait sa chevelure rouge, quelques personnes mangeaient les amuses-gueules posés sur une table, d'autres encore buvaient de l'alcool comme des soûlards, certains s'occupaient de leur partenaire sexuelle, quelques-uns ou plutôt quelques-unes pleuraient - elles ont surement dut se faire larguer un truc comme ça -, plusieurs personnes rentraient - quels rabat-joie! - exténuées de cette fête et au milieu de toute cette foule en action un garçon se faisait draguer et flirtais avec une brune aux yeux noisettes.

Vous me direz c'est une scène banale, et c'est la vérité, mais je veux qu'on regarde ce couple de jeunes-gens de plus près, c'est à eux que l'on va s'intéressez. Leurs prénoms, pour l'instant, ne sont pas très importants. Juste derrière ce gonze se trouve son meilleur ami qui est aux anges : son pote se fait enfin accoster par un être du sexe opposé, lui qui pensait que ce jour n'allait jamais arrivé, la réalité l'a rattrapé, il semblait même apprécier la conversation autant que le concerné. Les deux s'éclipsèrent au "bar" si on peut dire ça, laissant la fille au milieu de la piste de danse mal-à-l'aise, le plus guignol des deux commence la discussion :

- Je vois que monsieur ne laisse plus les filles indifférentes... Tu me fais penser à moi, repris-t-il.

- Orh c'est bon, rétorqua l'autre en roulant des yeux.

- On dirai un mini moi, dit-il en essuyant un fausse larme.

- Arrête!

- Je m'en rappelle comme-ci s'était hier personne ne venait te parler, les enfants grandissent trop vite!

Ils explosent de rire.

- Arrête tu me fait penser à ma mère.

- Mais c'est l'effet que je cherchait.

Son ami lui tapa l'épaule, leurs rire retentirent de concert avec leur chanson préférée qu'ils se mirent à entonner. L'un d'eux est un adolescent noir, drôle, plutôt baraqué pour son age, qui a faillit tombé sous les vices de la rue sauvé de justesse par son ami(celui qui se trouve à ses côtés) il a une complexion de peau qui fait fondre toutes les filles de son campus - et non il n'est pas clair de peau -, qui est peut être une des raisons pour lesquels toutes les filles de son âge se dirigent vers lui et non son ami. L'autre est un blanc, brésilien, de bonne famille mais en dépression lors de leur rencontre - ils ont tous les deux une sorte de redevance l'un envers l'autre, lui aussi avec un corps bien entretenu et une petite moustache dont il est fier, lui est plus posé et réfléchi que son ami qui lui est spontané. Ils commandèrent leur boisson.

Pendant ce temps-là la petite brunette, qui n'est pas petite d'ailleurs, s'impatientais, se demandais ce qu'il faisait et si ils allaient même revenir. Elle, de nature timide, avait longuement hésité avant de venir les accoster. Elle était extrêmement gênée par sa robe rouge moulante qui attirait beaucoup de regards malsains sur son corps, elle scrutait à chaque instant son téléphone presque déchargé. C'était une latino au tempérament calme, très complexée et indécise. Regrets et remords sont les seules choses qu'elle a dans la tête : elle est très anxieuse surtout avec la pression que ses parents et elle-même se met.

Retour aux deux gigolos.

- On va retourné là-bas et je veux que tu la mette dans ton lit : tu n'aura pas toujours cette chance.

- Et si j'ai pas...

- Ne fais pas genre que t'en a pas envie! Si tu veux pas, moi je veux.

Son ami n'avait pas totalement tord et puis il n'était pas puceau il s'avait y faire avec les femmes ou plutôt les putes, oui les putes, c'était le seul moyen pour lui d'avoir des relations... Il s'était même fait une amie - étrange? je sais.

- On y retourne et tu vas me faire le plaisir de la prendre comme il faut, ne me déçois pas.

Les deux savaient bien que c'était une menace.

- En plus c'est pas comme-ci elle était déplaisante, si tu vois ce que je veux dire.

Son ami était bien trop dans ses pensées pour rigoler avec lui : il réfléchissait à comment il allait s'y prendre; ses seules partenaires étaient payées pour le faire et s'y connaissaient bien en la matière.

Rien ne va se passer comme il le voudra...

Ils arrivèrent au niveau de la jeune fille, après une petite discussion les deux allèrent en haut. Ils commencèrent à se déshabiller et les deux furent surpris par leur corps. La fille avaient de belles jambes bien formés, surplomber par des hanches développées, un ventre plat grâce aux abdos et une poitrine voluptueuse avec des tétons rosés. Le garçon, de son côté, avait des abdos bien tracés, des bras en béton, des cuisses musclés et des mollets dures : son entité paraissait gigantesque à travers son boxer. Leur partie commença....

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Fin de la première partie : vous en pensez quoi? (Ne me mettez pas des vents s'il vous plaît)

J'espère que la suite vous plaira et elle ne sera pas simple... Et je vous préviens qu'il y aura des mots grossiers non censuré et des scènes à caractère sexuel...