Chapitre 2

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3:00am
J'étais assise sur le porche en bois de la maison, mon crayon à papier  à la main et une feuille en carton blanche dans l'autre, dessinant l'arbre qui se dressait devant mes yeux à l'entrée de la villa. La douce brise froide vient caressée ma joue et me procure une chaire de poule, j'ajustais la légère couverture qui couvrait mon corps presque nu, les étoiles brillaient de milles éclats et l'obscurité reignait dans la nuit. C'était une très belle soirée, je vivais pour se genre de moment, seule avec ma conscience. Je passais ma main droite, tremblante dans mes cheveux et celle-ci prît du temps avant d'en sortir à cause du nombre de nœuds que j'avais. Je basculais la tête de droite à gauche et marmonnais la mélodie de "Dark Paradise".
C'est losque le bruit de la moto de Dean commençait à se faire entendre que je me redressais.
Lorsqu'il fût complètement devant  mes yeux, j'arrivais à distingué ses yeux rouges et l'odeur de l'alcool entrée en contact avec mon nez, je pris un ton sévère et commençais:
Moi: Donne la moi.
Il rit amèrement sans aucune raison.
Dean: Je vois pas de quoi tu parles.
Moi: Tu sais très bien de quoi je parle.
Dean: Tu pourrais être plus éxplicite?
Dean est plus grand de taille que moi, c'est pour ça qu'il arrivait à me pousser facilement et à tracer sa route. Je le retins par l'avant bras et le retourne face à moi.
Moi: Dean, je plaisante pas avec toi, arrête de rire comme un débile.
Dean: Destiny, je pourrai te brisé une cote si j'en ai envie, t'as mal choisis ton moment grande sœur.
Moi: Donne la moi. Ordonnai-je.
Dean: Vas te faire foutre.
Sans que je m'en rends compte ma main froide se trouver immédiatement contre sa joue et son visage basculait vers la gauche, il perdit l'équilibre à cause de son état d'ivresse et la couleur de ses yeux.
Moi: Jusqu'à nouvel ordre, c'est moi l'aîné de la famille alors c'est à moi de te donner des ordres et non l'inverse.
Je lui arrachais la clé des mains, lui jeta ma couverture au visage et retournais à l'intérieur de la maison quant à lui, il était resté allongé par terre.
J'attendis qu'il rentre pour fermer la porte à double tour puis je remonte à l'étage.
Je n'avais même pas remarquée que je tremblais de la tête aux pieds, c'est vrai que se retrouver en short, tee-shirt dehors au milieu du mois de Décembre n'était pas la meilleure chose à faire. Ce n'est que lorsque je fûs bien installée dans mon lit que je me rendis compte que j'avais laissée mon dessin et mon crayon sur le porche.
Je me relève immédiatement et me précipite dehors.
Après avoir déballer les escaliers, je m'arrêtais net, voyant qu'une personne vêtue de noir était débout, dos à moi.
...: C'est un très joli dessin.
Moi: Qu..qui êtes vous?
...: Les traits sont si bien tracés.
Moi: Je vous préviens, si vous ne partez pas, je vais appeler la Police.
Ma respiration se faisait moins régulière et mon cœur se mit à battre la chamade.
...: Et puis ses couleurs, c'est toi qui l'a dessiné?
J'avançais avec prudence vers lui, mes pats faisaient craqué le bois du porche.
Moi: Je comptes jusqu'à trois et vous partez.
...: Un garçon ne peut pas dessiné avec autant de finesse, ça ne peut pas être ni Dean ni Jackson.
Mon sang se glaça, de La sueur froide commençait à coulée le long de ma nuque et mes mains se faisaient moites comment connaissait-il les prénoms de mes frères. J'arrêtais de marcher et reculée doucement.
...: Cet arbre à une quelconque importance à tes yeux?
Il se retourna finalement mais ça restait toujours très dure de distinguer son visage même sous la légère lumière que dégageait une lampe accroché au plafond, cette voix rauque m'était complément inconnue.
Moi: Comment tu connais Dean et Jackson?
...: Disant que je sais pas mal de chose sur eux.
Moi: J'appelle la police.
J'allais courir vers le téléphone de la cuisine quand il reprit:
...: Ce n'est pas la peine, j'allais m'en aller. Je pouvais comprendre à sa voix que cette situation l'amusait.
Il posa mon dessin sur une chaise en bois et se retourna pour s'en aller
Moi: Attends! Qui..qui es-tu?
...: Aucune importance.
Et il partit, les mains dans les poches, j'étais toujours choquée face à cette scène, je n'en croyais pas mes yeux.
...: J'ai toujours sûs que tu étais schizophrène.
Je sursautais et me retournais vers mon interlocuteur. Dean.
Moi: La ferme.
Dean: Tu parlais à qui?
Moi: Aucune importance.
Je ramassais mon dessin et mon crayon.
Je l'écrase et la jette dans un vase.
✖️
Samedi matin.
Je passais la plupart de mes samedi clouée au lit, regardant des animés et manger comme un gros porc.
Je descendais et pris place sur un tabouret. Mon père est sûrement au boulot pendant que mes deux frères vageaint à leurs occupations. Jackson devait être chez Carl, notre voisin qui était aussi sont meilleur ami et Dean, il devait être encore fouré dans les toilettes d'un bar à streaptease complètement soul, oui, même à 10h du matin. Je me servis un bol de céréales sans lait et m'asseyais sur le canapé en cuir en face de la télé, j'appuyais sur la commande de celle-ci et elle affiche un nombre incalculable de chaîne, je finissais pas mettre SerieClub et à ce moment il passait la saison 3 de Supernatural.
✖️
Après avoir déjeuné, je remontais à l'étage et m'allongeais sur sur mon lit mettant play sur le dernier épisode de Death Note. Un épisode plein de stresse, de suspense et d'émotion.
Tiic
Je me relevais mécontentement et me dirige vers mon téléphone -qui ne sonnait que très rarement dû au nombre d'amis que j'avais- et le saisis avant de répondre.
Moi: Allo? Commençais-je.
...: Destiny?
Cette voix.
Moi: Qu'est ce qu'il a encore fait?
...: Vendalisation d'une maison habitée.
Moi: J'arrive tout de suite.
Je souffle et me dirige vers mon dressing pour sortir un sweet noir et un jean également noir. Je lâchais mes longs cheveux bruns et enfilais ma capuche, je me précipitais dans les escalier et chaussais mes bottines noires, j'attrapais la clé de mon scooter noir et sortais de la maison et faisant attention à bien fermer la porte derrière moi.
Je roulais jusqu'au poste de police, je sentais le froid frappait contre mon visage, je relevais la tête et pris une grande inspiration.
✖️
...: C'est la troisième fois se mois-ci qu'il passe la nuit en garde à vue.
Moi: Je sais, mais je te promets que ça ne se reproduira plus.
Dean: Ouais.
Je lui donnais un coud de coude se qui lui avait fait mal.
Moi: Charlie..écoute, Dean n'a que 16 ans.
Charlie: Justement Des', c'est plus un gamain, il faut qu'il trouve une solution sinon il vont l'envoyer dans un camp de redressement.
À l'entente de se mot, Dean se redressait de sa chaise et décroisait ses mains.
Moi: Je te demande juste de le laisser partir aujourd'hui et tu ne le reverras plus jamais.
Charlie: C'est contre les règles et je l'ai déjà laisser sortir sans autorisation ni amande plusieurs fois. Dit-elle en soufflant.
Moi: C'est combien l'amande? Je demandais curieuse.
Charlie: 5000 dollars.
Dean et moi eurent la même réaction c'est à dire, les yeux écarquillés et la bouche en forme de O.
Une fois que Charlie accepte de laisser sortir mon frère, je le tire par l'épaule jusqu'au scooter.
Moi: Une maison? Une maison Dean? Hurlais-je en attirant le regard de quelque curieux.

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