Les journées se ressemblent toutes pour une fille banale de 17 ans comme moi ; le matin on se lève, on mange, on va en cours, on mange encore et on revient pour enfin manger une troisième fois. On refait les mêmes gestes, on voit les mêmes amis, on redit les mêmes expressions et la semaine passe, et les mois, et les années, mais pourtant tous cela passe si vite. Vient l' heure de ce coucher : le moment le plus reposant de la journée, où on repense a ce qu'ont a fait toutes la journée. Enfin, c'est ce que font les autres mais, pas moi car toutes les nuits je vis, je ressens le même cauchemar. Peut être que ne suis pas aussi banale que ça. Même mes parents ne le savent, pour peu qu'il me prenne pour une folle.« Tous se passe la nuit, dans une rue. Je vois un homme assez grand, habillé de noir, avec un cuir ainsi qu'un pantalon souple et ces chaussures étaient de longe botte, muni de clou et des sangles en guise de lacet. Son visage était dissimulé par une capuche mais effectivement pas assez grande pour cacher un bout de mèche brune.
J'aperçois une lumière bleue qui jaillit en lui. Il se battait avec un garçon similaire à lui, tous de noire vêtue ainsi que les bottes. Mais ce n'était pas une lumière bleue qui jaillit de lui, mais une boule de feu.
Le garçon qui détenait la lumière bleue lui envoya un coup de pied dans les côtes si fort, qu'il en tomba par terre. Son adversaire, se releva à une vitesse, qu'en un seul battement de cil, il étais déjà posté devant lui, à lui infliger un cou de genou dans la jambe. Il roula par terre. Péniblement, il se releva et se déplaça sur la droite pour éviter de justes l'homme qui lui foncé dessus.
Il boitait, mais cela ne l'empêcher de lui lancer un coup de point dans la joue.
Il vola en éclat. En se redressa, il sortit un couteau de sa poche, et le pointa vers son ennemi. Il lui lança plusieurs couteau qui venaient de nul pars. Afin de les éviter, il fit des figures de Capoeira. Mais un couteau lui effleura l'avant bras. Derrière eux, des ombres qui se battaient, des ailes, des crocs et le coup finale, mais ce n'était que des ombres. Le garçon à la boule de feu, fut tout de suite affaibli, il était essoufflé. Je vis une lueur de tristesse dans ces yeux, mais ça n'arrêta pas l'autre qui lui infligea son couteau dans le cœur.
C'était la première fois que je voyais quelqu'un se faire tuer, j'avais un haut le cœur. Mais son corps était déjà parti en poussière. Le vainqueur se rapprocha de moi. J'étais derrière un tonneau, en boule, je grelotais de froid mais pas que.... Sa blessure à l'avant bras, avait dégouliné de sang bleu noire jusqu'à sa main. Il déchira un morceau de sa chemise pour se faire un bandage.
Sa présence me mettait en sécurité.
- Viens, il ne faut pas traîner, les autres arrivent, dit-il.
Il me prit par la main et de force, je le suivis. Quand soudainement tous devient flous. Je ne contrôlais plus mon corps, mes yeux se recroquevillaient, mes jambes ne me supportaient, mes pieds étaient empourprés dans le sol, ma tête devenait lourde, les battements de mon cœur étaient de plus plus forts. Et enfin, je m'évanouis dans les ténèbres. »
C'est ainsi que tous les soirs et tous les matins, je me demande si je n'ai qu'un rêve ou bientôt une réalité. J'attends mais rien ne vient. Les questions se posent et se reposent mais je n'ai toujours pas les réponse.
Peut être que si je me présentais, vous comprendriez un peu mieux mon histoire. Je m'appelle Léonie, mon nom signifie « force et courage ». Mes parents pensent que je vais accomplir de grandes choses, mais ce ne sont que des superstitions. Je suis rousse avec des yeux verts, ce qui se fait de plus rare en ce monde. J'ai un caractère bien trempé mais seulement avec ma famille et avec les autres je suis plutôt timide. Je ne dévoile pas souvent mes sentiments, je suis quelqu'un de renfermée dans son monde et j'aime bien être seul. Il y a juste une personne qui a brisé ces barrières, c'est mon meilleur ami, Thomas. Ce qui m'aide à me détendre, c'est la peinture. J'ai une obsession pour les félins, particulièrement les tigres. D'ailleurs j'en ai un. Il est un peu plus petit mais il en a l'allure, il s'appelle Pyrame. Il a un pelage très complexe : il est tigré, marron, noir et un peu de blanc au niveau des moustaches. Il est tellement adorable ! Il me suit partout et ne demande qu'à être caressé, et par dessus le marché, il est très paresseux, comme un peu tous les chats. Je l'envie tellement, il y a tellement d'avantages de dormir, manger, dormir encore et encore.
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Le Livre Des Âmes
FantasyTous le monde a un destin, il ne peut l'alterer, ni le changer. Chaque actes dans une journée, change la deuxieme, mais le bute est toujours le même. Un destin plus grand peut controler tous les autres. Il ne repose que sur les epaules d'une seul pe...