5 : jours 4 mauvaise nouvelle

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Mes doigts étaient entourés d'une bande blanche. Pourtant je n'avais aucuns souvenir d'avoir été soigné. Sûrement je m'étais assoupie malgré mon éternel mal-être. Cette image horrible de Sacha qui tombait dans le vide, passait en boucle dans ma tête. Pourquoi tué quelqu'un ? Je commençais à regretter cette expérience. Pourquoi ? Pourquoi faire ça ! Pourquoi faire souffrir une personne par plaisir ? Pourquoi, pourquoi...pourquoi ? Pourquoi prendre un vie humain pour un expérience ?! J'en étais arrivé à la conclusion que Sacha était mort par ma faute ! Si je n'avais pas accepté cette expérience, il serrait encore en vie ! j'étais en colère puis, je me couvrais de lamentations. Toujours sans accepter la mort de mon amis. J'étais arrivé à un telle point, que je mis la faute sur Marie. Dans ma tête elle était toute aussi coupable que moi. Elle aurait put ce sacrifier pour Sacha comme il l'avait fait pour elle. Mais non ! Mademoiselle n'en avait pas eu le courage. Une âme forte était morte pour une âme faible. Au fond de moi, je savais que je ne pouvais pas en vouloir à Marie, elle étais comme une grande sœur pour moi. À mes yeux, ils contaient autant l'un que l'autre, mais Sacha, lui était mort et pas elle ! Ils auraient du vivre tout les deux !! Il restait une solution. L'expérience, c'était l'expérience, c'était elle et elle seul qui était responsable. Juste un minuscule détaille manquait à mon résonnement : une expérience ne pouvait pas payer pour un crime. Mais ces qui l'avaient organisé, oui. Les scientifiques : "Ces « foutus » WitheQubeboy".

Une idée de vengeance me hantait l'esprit. Malheureusement, je n'avais ni la force, ni physiques et surtout je n'avais pas le mental pour l'instant. Donc elle fut abandonné par mon cerveau.
J'avais fait le vide, il le fallait, je ne m'en serais jamais remise. De toute façon cette expérience m'aura détruite jusque au bout.

La tête dans les mains, alors que j'étais assise sur mon lit, une cris féminin avait retenti jusque à ma chambre. Et dans la seconde qui suivait, un cris encore plus fort, quant au troisième il était fort, aiguës et avait une particularité il était compréhensible, on venait de hurlait "MARIE".
J'eus une réaction violant, j'avais sauté comme une flèche sur la porte.J'étais enragé, même les chats de gouttière auraient eux peurs. Vu le brou-ha phénoménale que j'avais semé, j'étais persuader que les WhiteQubeboys allaient venir constater que tout ce passait pour le mieux dans ma cellule médiocre. Mon comportement avais totalement changer, j'étais devenu agressive, ils ne pouvaient pas sens prendre à un autre de mes amis.

Comme une enfants, je m'étais cachée pour les attendre et les prendre par surprise. Mais par rapport à quand j'étais enfant, ce n'étais pas un jeu. Je leurs en voulais réellement, toute la hargne que je dégageais pouvais ce lire dans mes yeux. Bien gentiment, j'étais assise sur le haut de mon armoire, qui, pour être franche, ne servait pas à grand chose, elle était là, vide, juste pour faire jolie et bonne figure. De toute façon je n'avais besoin de rien, j'étais enfermée et nourrie.

J'attendais qu'ils ouvrent la porte, j'attendais, prête à leurs sauter à la gorge. Je ne savais pas encore quelle châtiment je leurs réservais mais les scientifiques allaient subirent ma haine du moment.
Les WhiteQubeboys n'avaient pas tardé à arriver, à peine quelque minute après mon hurlement trois d'entre eux son entrèrent dans la pièce, accessoirement ma chambre. Au première abord, ils ne m'avaient pas remarqué, mais ça ne sus tarder. De suite, j'avais sauter sur le premier. J'étais derrière lui, le tenais serré contre moi, mon avant bras pressé contre sa gorge. Il suffoquait, l'autre scientifique me pris pareille, l'avant bras autour de ma gorge pour me faire lâcher prise. Mais je n'avais dans aucun cas défait ma saisie. Le troisième scientifique lui était partit en trombe pour sonner le code rouge. Une alarme retentissait sans interruptions dans tout le laboratoire. Et des multitude de lumières rouge clignotait dans tout les recoins. Pendant que je criais plus fort que l'alarme :

"QU'EST CE QUE VOUS AVAIS FAIT DE MARIE !"

Plus je le répétais, plus je serrais le coup du scientifique, et plus l'autre me serrait le coup. Je ne peux dire combien mais c'était la première fois que je voyais autant de scientifiques agglutinaient au même endroit. Ils avaient tous débarqué dans la pièce, cinq m'avais immobilisé et le pauvre scientifique que j'avais à moitié étranglé soufflait au sol. Deux autres avaient sortie une longe seringue d'environ vingt centimètres remplie d'un liquide bleu. Ils avaient injecté le produit, les deux en même temps dans les vaines du haut de mes bras. Le liquide fit effet immédiatement, je m'étais calmé, mon regarde noir avais disparut. Les hommes vêtue de blanc m'avaient lâché mais des traces rouge était resté incrusté sur mes avant bars. D'une lenteur démesurée, j'avais levé la tête et demandais calmement :

"Je veux voir Marie"

Une mauvaise nouvelle, un très mauvaise nouvelle qui allait me foute un choc, ma était annoncée par un des scientifiques :

" Marie ? Tu veux dire le "numéro 1", cette pauvre fille, elle était terrorisé, comme je la comprend. Elle a fait une sorte de malaise peu de temps après sa sortie du cube. Elle est tombée dans un chôma cérébral comme ils disent, un truc du genre. En bref son cerveau à arrêté de fonctionner. Et d'après les médecins ce n'est pas guérissable. En quelque sorte elle a rejoint Sacha. Pour ne pas dire quelle est morte."

J'étais choquée, je ne pouvais pas réagir physiquement les produit qu'on m'avaient injecter m'en empêchais littéralement mais je pouvais encore utiliser ma voie pour faire part de mon horreur en gueulant :

" MORTE !! ELLE EST MORTE, VOUS L'AVAIT LAISSER MOURIR !! VOUS ÉTÉ DES MONSTRE ELLE AVAIT RIEN FAIT, rien rien RIEN DU TOUT! Rien.."

Des larmes couraient sur mes joues, je continuais de répété quelle n'avait rien fait et quelle était morte pou rien, comme Sacha d'ailleurs, que c'étaient des monstres, de sale monstres. Je pleurais maintenant beaucoup et j'avais commencé à prétendre vouloir mourir pour quitter cette enfer.
Pour éviter tout acte qui aurait compromis leur projets scientifique. Ils m'avais endormie avec le même produit vert que la dernière fois, mais cette fois à double doses. J'allais dormir près de dix-sept heurs sans me réveiller. Ce qui n'était pas plus mal...

La VengeanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant