La Vengeance

7 : jours ? la peur (2)

J'avais sauter dans les bras de Roméo.

- Vous m'avais tellement manqué, je suis tellement contente de vous voir!

Je ne pouvais plus m'arrêter de pleurer, je restais tranquillement dans les bras de mon Roméo. La vie était si belle à cette instant, tout ce que j'avais vécu semblais disparaître encore plus loin.
Mais avant que j'eus le temps profiter d'eux la terre commença à tremblais.

-Oh Non...

Roméo, Noé et Clovis me fixaient le regard en coins. Je prie Roméo et Noé par le bras et j'avais crié :

"-Clovis coure on est dans le cube !"

Tout les trois on se mirent à courir, je ne lâché ni Roméo ni Noé, sûrement à cause du stresse. Effectivement j'avais pour la énième fois raison, dernière nous les immeubles tremblaient. La ville n'était plus calme! Un tremblement de terre, d'un peu prés d'échelle sept était en action. Les habitations n'allaient pas tardé à s'écrouler.

- Plus vite !

Plus je disais ces mots, plus je me rappelais qu'on étaient que des humains et qu'on ne pouvaient pas courir plus vite. Sur le coup, La vie était tellement mal faite. Un moment de bonheur gâché par une catastrophe naturelle qu'elle fiasco! Bref Pour le moment il fallait courir vite. Au bout de la route, la mer nous barrait le passage. Roméo Clovis et Noé c'étaient retourner alors que moi je regardais à l'horizon pour trouver une solution.

Clovis: "Rah ! Faut se bouger, on va finir par mourir sinon"

Il parlais tous en même temps,

Noé :"je veux pas mourir maintenant !"

Comme si personne s'écoutaient,

Roméo :" Comme si on avaient le choix, il faut trouvaient un abris."

Ils parlaient sans arrêté, or ils auraient du se retourner pour voir une chose qui m'avais laisser sans-voix, il était trop tard, bien trop tard.

Roméo :"On bougent Raphaëlle, Aller vient"

Sur ce, il me tira par le bras et s'arrêta à coter de moi, la bouche ouverte, devant la catastrophe qui arrivait droit sur nous quatre. Sans le regardais je lui avais répondu sèchement :

"trop.. tard"

Clovis et Noé se retournèrent. Noé avais hurlé puis avait détalait en courant. Une énorme vague sûrement causé par le tremblement de terre nous arrivaient droit dessus, autrement dit, un tsunamis, un pu*** de tsunamis ! Elle devait faire près de quinze mètre à vue d'œil. Un monstre a qui rien n'échappe. Il nous restaient cinq secondes avant que celle-ci touche le sol et ce casse contre les immeubles en nous engloutissant sur son passage. On avaient juste eux le temps de se tenir la mains est de remarquait que Noé avait pris la fuite. La dernière phrase que j'eus prononçait avant que l'eau inonde la ville étais:

"Il est où Noé ?!"

La vague ne lui aura laissait aucun chance ! En effet le tsunamis nous avaient emportait très loin, on se tenaient temps bien que mal les mains, le plus fort possible. J'avais l'impression de ne plus respirais ce qui était un peu le cas, l'eau nous emportaient vers le fond. L'oxygène commençais tellement à manquer que j'en avais fini par m'évanouir.

Quand enfin l'aire rentrait dans mes poumons, j'ouvris les yeux, j'étais allonger sur le sol, tout mon corps étais mouillé. Je repris mes esprit pour vérifier si Roméo et Clovis étaient aussi vers moi ! Effectivement eux aussi entièrement mouille été coucher l'un à coter de l'autre. Ou avions-nous atterri ?

Noé n'était pas avec nous, sans doute c'était t-il noyé, l'eau lui avait pris la vie. Nous trois avions eux beaucoup de chance ! Sans que je m'en rende conte mais larme courais sur mes joues une fois de plus. J'avais essayer de réveiller les garçons mais aucun résultat. Je m'étais donc levé, peu à peu je m'approcher du vide, on ce trouvaient sur l'un des plus grands building d'une ville qui ressemblais étrangement à New York. Mais la seul différence avec celle-ci c'était que celle-la brûlait de font-en comble. La plus par des immeubles étaient en feu, juste le notre était encore intacte. En faite plus pour longtemps, la porte qui se trouvais un peu plus loin sur le toit du building commençais à prendre feu. Il fallait absolument que Roméo et Clovis se réveil :

"Roméo répond faut partir si te plaît..si....te plaît, Répond !"

En le secouant je pleurais énormément. Jusqu'à se que enfin il ouvris ces beau yeux bleu et dit :

"Qu'elle chaleur!"

Sur le coup je n'avais pas remarqué qu'il faisait une telle chaleur. Je n'avait pas prie le temps de le constater car il y avait plus urgent à faire comme réveiller Clovis, il fallait s'enfuir !

Roméo : Raphaëlle faut y allait l'immeuble brûle!

Déjà prés pour foutre le camps, il m'attendait, furieux, il tournait en rond. Pendant que moi je parlais et je secouais Clovis dans tout les sensés comme je l'avais fait pour lui, mais il ne se réveiller pas.

Roméo : Mais tu vois bien qu'il bouge plus, aller viens !!

Je voulais pas partir, il allait se réveiller c'était obligé !

Roméo : RAPHAËLLE ! IL EST MORT !!

Moi : Non non NON !

Je ne voulais pas l'avouer, deux amis mort noyer, c'était trop. tellement dure, mais pour ne pas perdre à mon tour la vie, j'avais pas le choix que de le laissais ainsi.

Roméo : Moi aussi j'avais pas envie qu'il meure, moi aussi ça me fait de la peine mais j'ai pas non plus envie de mourir brûler!

Je m'étais mis à genoux à coter de Clovis et je regardais Roméo dans les yeux. il pleuraient eux aussi, autant que les miens.

Roméo : Cette fois on y va !!

Il me tira pas le bras, puis me serra fort contre lui. Le feu prenait de plus en plus de place. Roméo me dit à l'oreille :
" À trois on courent et on sautent "

Puis il commença le décompte ...3...2... ...1... il me tenais la main quand on se mit à courir ensemble, tout les deux. On venais de sauter dans le vide. Le choix était vite fait, sauter pour pas mourir en abandonnant le corps d'un amis.
Déjà deux mort de plus...