(En Correction) Sokona : «Tu seras toujours mon homme malgré tes excès» [1]

Partie 1

Bismilah

*Chronique Fictive*

Partie 1 :

-(en pleure) Ça fait 2 ans que tu me fais du mal et la WAllah j'en peux plus de Toi ! J'en ai marre !

Il se redresse et me regarde, moi juste je pleurais. Quand il a voulut mettre ses mains sur mes joues, j'ai eu peur et j'ai bougé parce que je savais pas si c'était pour me frapper ou pour me réconforter

Lui (posant ses mains sur mes joues) : N'ai pas peur, je vais plus te frapper

Il essuie mes larmes avec son pouce

-C'est sur parce que je veux plus être avec Toi

Il me fait plein de bisou au visage mais vraiment plein, il finit par m'embrasser mais je le pousse direct

-Laisses moi, je veux rentrer chez moi

Lui : Nan, tu restes dormir avec moi, je vais rien te faire WAllah. Juste on reste comme ça et on dort ensemble

-Nan je veux plus te voir

Il reprend la même position que tout à l'heure en posant sa tête au dessus de mon épaule et me parle plus.  Je suis trop fatiguée, j'ai trop pleuré et puis je me suis endormie

Le matin je me lève en retard, Bakary était déjà parti, je me prépare vite fait (j'ai quelques affaires chez lui vu que je dors très souvent ici), à cause de ce salop j'ai un cocard.

Je vais direct à l'arrêt de bus et j'espère que c'est pas Bakary mon chauffeur de bus, parce que j'ai pas envie de le voir, et malheureusement c'est lui le chauffeur du bus. J'ai direct mis ma capuche et je monte dans le bus sans le saluer

Lui : Sokona reste devant avec moi

Je le regarde vite fais très énervé avec de la haine en vers lui, je lui réponds pas et je pars direct m'asseoir au fond du bus en écoutant ma musique. Je le regardais pas dans le rétroviseur, on arrive vers mon arrêt j'appuie sur le bouton arrêt demandé et j'attends. Il sait très bien que je descends la, je reste assise on sait jamais puis il passe mon arrêt, je savais et heureusement que je suis restée assise. J'appelle direct Yacine pour qu'il m'attende à la gare, il vient toujours en voiture et il me dit ok

J'attends d'arriver à la gare et puis on arrive. Comme il y avait que moi dans le bus, il s'arrête et ouvre pas les portes, il descend de sa place et vient vers moi très énervé

Lui : Quand je te dis restes devant avec moi, tu restes t'as compris !

-Je parle pas avec toi, juste laisses moi descendre

Lui : Nan

Il me regarde bien, et s'arrête sur mon cocard, il essaye de mettre sa main dessus mais je le pousse direct

-Si c'est pour aggraver ça tu t'abstiens, je veux plus que tu me touche

Lui : C'est moi qui t'es fais ça ?

-Et y'a pas que ça

Lui : C'est bon je me suis excusé hier