Partie 3

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Bismilah

*Chronique Fictive*

Partie 3 :

Lui : Je peux venir te faire un bisou ?

-Nan t'approches pas de moi

Lui : Je peux au moins venir m'asseoir à côté de Toi

-Nan

Lui : Je vais pas te frapper WAllah

Il vient s'asseoir à côté de moi sans attendre ma réponse, je le laisse et puis il me parle à cœur ouvert

Lui : Sokona je peux pas vivre sans toi, j'ai trop mal agis avec Toi et je veux rattraper le coup

-Nan je veux plus moi

Lui : Pourquoi ? C'est à cause de Moctar ?

-Nan il a rien fait lui et je sais même pas pourquoi tu parles de lui. Parce que moi, WAllah je m'en fou de lui, tu m'a encore frappé pour rien ! Tu me frappe toujours sans raison et la trop c'est trop, alors je préfère qu'on arrête là

Lui : Désolé bébé WAllah désolé

-M'en fou de tes excuses, tu voulais me tuer alors pourquoi tu veux t'excuser ?

Lui : Nan je voulais pas te tuer

-Je t'ai dis d'arrêter sinon j'allais mourir et t'as continué, je t'ai supplié mais t'as continué. J'ai même dis la chahada, je croyais que j'étais partie mais t'as continué

Il attrape ma main mais je l'enlève direct, il attrape de nouveau et la lache plus

Lui : Pardonnes moi mon amour, je suis trop jaloux, pardonnes moi

-Je veux plus être avec toi

Lui : Nan arrêtes bébé, moi je...je... moi je t'aime ❤

Ça fait 8 ans qu'on est ensemble et c'est la première fois qu'il me dit je t'aime 😍❤💕

Lui : Ouai je t'aime vraiment Sokona, je te l'ai jamais dis mais je t'aime WAllah

-Je veux rien savoir juste laisses moi

C'était mission impossible pour moi de dire cette phrase, en réalité je voulais trop dire «Moi aussi je t'aime» mais nan, il m'a frappé. Il me frappe tout le temps et un jour il va finir par me tuer.

Lui : Tu t'en souviens quand t'as faillis dire je t'aime

*Flashback*

Ça c'était quand on a faillis coucher ensemble, j'ai dormis chez lui et puis comme on dort dans le même lit ? Ça pouvait déraper.

Il faisait grave chaud, j'étais en robe de nuit et lui en caleçon, on s'est regardé vite fais et puis on a eut chaud tout les deux. Il s'est collé à moi et faisait que de me regarder dans les yeux, tout comme moi

(En Correction) Sokona : «Tu seras toujours mon homme malgré tes excès» [1] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant