Avant de partir je me suis habillée chaudement, même s'il ne faisait pas froid, je ne voulais pas que ma peau sois exposé, avec un masque de fortune fais à partir d'un masque à bec pointu qui faisait offices de structures, avec une compresse stérilisé qui faisait offices de filtre. Je ne suis pas sûr que ce soit pour le moins du monde utile mais bon, ça me rassurer.
Je sortis, pour la première fois depuis 3 mois! Ce fut une extase! Le soleil brûlant mes yeux à l'instant ou je sortis me fus re rentrer. Quel idée de le regarder directement non plus... C'est comme ce réveillé et allumés la lumière de sa chambre, mais en bien pire! Au final, c'est comme si je dormais depuis 3 mois... Je pris une paire de lunettes de soleil au verre épais et ressorti, à ce moment un nuage bien plus épais et noir que mes lunettes sortis lui aussi, il ce répandue plus vite que je remplit mes yeux de tristesse en pensant que maintenant plus personne ne pouvait m'aider et ne le voudrai. À cette époque je pensais rejoindre mes parents dans la tombe bien plus vite que je ne l'aurai voulu... Maintenant il n'y a que moi, je le vois bien dehors, les gens ne sont pas seulement cacher, ma soeur me le disais, tout le monde est parti, et la nourriture avec...
Je me rendis au supermarché un peu plus loin, un peu d'argent en poche, espérant trouvé de la nourriture mais aussi quelqu'un pour me la vendre. Sur le chemin tout était sombre, les lampadaires de marcher plus, mais il n'y avait pas que ça, je me suis trompé, je ne semblais pas seul dans ce village, la mort l'habitait avec moi. Des cadavres partout, d'animaux, d'oiseaux et bien sûr d'hommes... je fus content d'avoir fais ce masque, «les oiseaux sont touchés?» me suis je dis, «ça passerait aussi dans l'air?», bien sûr que non sinon je serai parti intégrante de ce décors de films d'horreur, mais la fatigue, le stress, la peur, et le manque de nutriments n'arrangeait rien, j'étais au bout de la mort, je ne voulais vraiment pas sortir...
Ah enfin, on arrive au supermarché, je me sens oppressé et en danger, mais je continu, de tout façon si je ne le fais pas c'est la mort assurer... la magasins est entièrement fermer, et intacte, si personne ne la piller, sois il reste plein de choses, sois il ne reste plus rien! Quitte ou double, je n'aime pas les jeux de hasard mais bon. Je m'approche des vitres, les rideaux de fer sont baissé... Ça ne sert a rien d'essayer de casser les vitres, les rideaux de fer tiendront quoi qu'il arrive! Au collège j'ai fais un stage ici, je sais qu'il y a une entré dernière, je mis dirige est puis... «Merde!..» j'avais oublié... il y a un digicode... je fais travailler ma mémoire, « oui je me souviens! 7-6-9... euh 3! Oui!» un espoir mais le son du digicode lui me disait non... Tant pis, un code a 4 chiffres à 9999 possibilité... Ce n'est pas le temps qui me manque!
3H plus tard, 8-7-6-9, je le savais! C'est 3 chiffres gravés dans ma mémoire était juste! Mais je n'avais jamais vu le premier... pas grave entrons vite! L'entrepôt est vide, les rayons aussi, mais par «chance» il reste une carton, «pitié sois de la bouffe!...» me répétais je. Oui a mangeais, mais quoi? Des boites pour chat, ah bah oui, ça personne n'avais voulu le prendre, et les gens avaient peur que les animaux leur refile la maladie, alors pourquoi les nourrir eux? Dans tout les cas, faute de choix et de temps à la vitesse à la quel ma vue ce troublait, j'ouvris une boites, pris un peu de cette pâté avec ma mains, et je la mangeais, pour ma langue ce fus comme du pâté de canard de premier choix! Quand on a plus de choix on apprécie..