Attention !!! Ce chapitre contient un passage d'une violence extrême. Ames sensible, abstenez-vous de le lire pour votre bien. Aux autre je vous dis que votre réaction n'est pas de mon ressort et de fait je n'en suis aucunement responsable.
Le général Stephen Von Garlidel était satisfait. Il avait réussi à rassembler presque 10 000 hommes pour cette opération punitive envers les Géants. Il ne les avait jamais vu mais nourrissait une haine maladive envers cette race qu'il considérait comme dangereuse.
Les hommes qu'il avait rassemblés venaient de tous les coins du pays et était d'origine sociale différente. Il y avait évidemment des militaires mais aussi des mercenaires et des paysans appâtés par le gain offert pour toute aide dans cette mission.
Il avait peiné à rassembler tous ce monde dans la discrétion, car le roi n'approuvait pas cette opération et le général s'était résigné à la faire dans le secret comme son seigneur la refusait.
Il avait bataillé pendant vingt ans pour cette opération, sans résultat !!!!!! Mais maintenant il allait enfin pouvoir rayer cette race d'abomination que sont les Géants.
Stephen regarda son armée depuis un surplomb avant de donner le signal de la marche. Ainsi 10 000 hommes se mirent à avancer plus ou moins de façon disciplinée vers la frontière entre leur pays et le pays de ces monstres.
Un seul pays pour toute une race. Quelle blague. Mais bon, cela l'arrangeait en ce moment vu que comme ça il n'aurait qu'un pays à raser et non plusieurs.
Il avançait donc d'une marche rapide vers sa cible.
En approchant de la frontière il vit un jeune homme assis sur un rocher avec une jambe rabattue ers sa poitrine, tenant une faux ne ressemblant en rien aux outils des paysans qu'il avait vus jusque-là. Elle était finement travaillée, entièrement faite de métal de couleur rouge et noir, la lame semblai d'un tranchant sans pareil. C'était clairement une arme de guerre.
Le jeune homme regardait le ciel. Ainsi Stephen put l'observer : il était brun, comme lui, avec des yeux de la couleur de l'émeraude. Ses habits étaient simples mais pratiques. Un pantalon beige avec un t-shirt noir. Aucun ne pouvait gêner ses mouvements mais sa protection était nulle.
Le général continua son chemin jusqu'à ce qu'il entende le jeune homme parler d'une voix autoritaire :
« Arrêtez-vous ici général. Si vous vous stoppez maintenant et que vous faites demi-tour vous resterez en vie, sinon votre sort et celui de votre armée ne sera pas enviable. »
Le concerné ce retourna vers celui qui venait de parler et cria :
« QUI ES TU POUR ME PARLER AINSI ? NE SAIS TU PAS QUE JE SUIS LE GENERAL DU ROI ? EN AUCUN CAS TU NE PEUX ME PARLER AINSI !!!!! »
Après cela je garçon lui répondit calmement : « Je sais très bien qui tu es. Et si je suis ici c'est pour vous arrêter et préserver la paix entre deux pays avec un trop grand écart de force. »
Il ne le regardait toujours pas ce qui énervait passablement Stephen. Rien ni personne ne se mettrai en travers de sa route.
Il allait ordonner la mise à mort de l'homme lorsque celui-ci se leva et sauta souplement les 15 mètres qui les séparaient.
« Votre réponse général ? »
Stephen sortit son arme, une épée longue et lourde, et l'abattit sur la personne devant lui. Malheureusement pour lui, ce dernier l'avait prévu et esquivé la lame en se tournant.
« Très bien. Alors votre choix est fait. Adieu »
Et il sauta au milieu de l'armée, atterrissant quand Stephen ordonnait sa mise à mort.
Un homme de forte carrure l'attaqua. Il avait une épée à double tranchant faisant bien un mètre 80 qu'il n'eut le temps d'abattre tant la faux bougea vite et précisément.
En moins de deux secondes il perdit, dans l'ordre, son bras droit, sa jambe gauche, son bras gauche, sa jambe droite et sa tête et son corps démembré se retrouva au bout de la lame de la faux, dressée en l'air comme avertissement.
Il y resta quelques secondes avant que le manieur ne l'envoie en l'air et le déchiquette. En très peu de temps il ne restait que de la chair informe et des morceaux d'os de l'homme, dans une flaque de sang sans qu'une seule goute ne sois arrivée sur la peau ou les habits du manieur de faux.
Il y eu un flottement après cela. Personne n'osait bouger chez les « soldats » et l'homme tenait sa faux sur ses épaules avec une mais de chaque côté, la tête baissée.
Après quelques secondes il annonça :
« Un seul. Il ne restera qu'un seul survivant, un seul témoin de ce qui va se passer ici, et vous ne voulez pas être ce dernier car son sort ne sera enviable... Comme celui de toute personne ici en fait. »
Tout le monde l'entendit et, personne ne voulant mourir, se mit à l'attaquer. La bataille commença. La mise à mort débuta.
Le jeune homme bougeait à toute vitesse, parant, tranchant, déchiquetant, tuant, toujours avec un grand sourire. Ses ennemis eux, tentaient de lui porter des coups, mais aucun ne put ne serait-ce que l'effleurer ou le mettre en danger.
La plaine dans laquelle ils se trouvait se trouvait recouverte de sang, de chair et d'os mais rein ne semblais pouvoir atteindre le manieur et sa faux. Rien ne les salissait, ce qui les rendaient encore plus malsain dans ce carnage sans pareil. Ils ne restaient pas immobiles dans ce charnier, bougeant dans toute la plaine, rattrapant toute personne tentant de fuir et la massacrant, ne laissant d'elle que de la chair informe et du sang.
Stephen ne comprenait pas ce qui se passait. Il voyait 10 000 hommes se faire massacrer par un seul. Il en venait même à se demander si ce dernier était réellement humain. Il n'eut la réponse que lorsqu'il passa pour lui. Non, il n'était pas humain. Personne ne peut aller aussi vite et surtout personne ne peut avoir des yeux comme les siens : de la couleur de l'émeraude et brillant d'une telle lueur de puissance. Ce fut la dernière réflexion qu'il eut avant de rejoindre la moitié morte de ses soldats.
Tout cela dura plusieurs heures. Plusieurs heures pendant lesquelles l'espoir disparaissait peu à peu dans cette plaine rouge de sang, marquée à jamais du passage de cette scène.
A la fin, seul un jeune homme de l'armée, un jeune soldat, restait. Il avait vu quelque chose que personne n'avait vu et avait arrêté de se battre. Il avait aperçu la tristesse de leur bourreau dans ses yeux. L'auteur de ce massacre voulait vraiment les laisser en vit au départ, il en était certain, mais ne s'était sans doute pas fait d'illusion quant au futur si tout le monde restait en vie.
Ce jeune homme n'était quand même plus sain. Il avait vu ce que personne n'aurait dut voir et se retrouvait maintenant en état de peur et de trauma constant. Il ne réagit que quand le manieur de la faux lui chuchota quelque chose à l'oreille et lui donna une lettre pour le roi.
Après il repartit, comme un zombie en quelque sorte, comme si son âme était partie et ne reviendrait jamais. Comme si il était mort en vie. Il repartit en direction de la capitale et ne s'arrêtera que quand il aura donné le pli à son roi.
Le manieur repartit ensuite dans la forêt, vers le pays des Géants, en soupirant. Il laissant la plaine tel quel et ne reviendra pas ici avant longtemps. Il allait devoir oublier tout ça, sinon il pourra plus s'occuper des gamins.
Désolé pour ce chapitre mes chers, mais je n'ais pas que des inspirations classes ou joli. Dites moi ce que vous avez penser que ce sois sur le chapitre ou les personnages apparaissant dedans.
Bonne vacance et joyeux noël car je ne posterais peut-être pas avant.
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Histoires en vrac
RandomCeci est un livre dans lequel je ne vais mettre que des chapitres sans réel rapport entre eux. Ces histoires serons des choses que j'aurais imaginé comme ça avec plus ou moins d'inspiration. Vous retrouverez des personnages de mes autres livres que...